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  • 10ème Nuit des Témoins pour les chrétiens persécutés : 12-19 mars 2018

    Ces veillées de prière et de témoignages rendent hommage à ceux qui ont été tués parce qu’ils étaient des disciples du Christ.

    Elles permettent aussi de porter dans la prière ceux qui souffrent toujours et d’écouter leur témoignage.

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    Où et quand ont-elles lieu ?

    MONTPELLIER : lundi 12 mars, 20h-22h: église Saint-Thérèse

    ROUEN : mercredi 14 mars, 20h-22h: Cathédrale Notre-Dame de l’Assomption

    LA ROCHE-SUR-YON : jeudi 15 mars, 20h30-22h30: église Saint-Louis

    PARIS : vendredi 16 mars, 18h15 messe, 20h-22h veillée: cathédrale Notre-Dame de Paris

    LUXEMBOURG : dimanche 18 mars, 19h30-21h30: cathédrale Notre-Dame

    ROME : lundi 19 mars, 19h00 messe, 20h-22h veillée: église Saint-Louis des Français

    Qui sont les grands témoins ?

    L’AED invite des grands témoins pour honorer les martyrs de la foi, prêtres, religieuses, religieux et laïcs engagés ayant perdu la vie ces derniers mois par fidélité au Christ. Au cours de la Nuit des témoins, ils donneront leur témoignage sur la réalité de la situation des chrétiens dans trois pays phares:

    Mgr Kyrillos William SAMAAN
    Évêque copte catholique d’Assiout, ÉGYPTE

         L’ÉGYPTE en bref: 80% des chrétiens d’Orient sont égyptiens. Ils restent donc des cibles prioritaires pour les islamistes, malgré l’ostensible soutien que manifeste le président Sissi aux coptes : « Vous êtes notre famille et personne ne nous divisera », a-t-il proclamé à la messe de Noël 2017. L’enjeu : éviter le piège de la scission coptes / musulmans alimentées par les islamistes.

    Mrg Ramon CASTRO CASTRO
    Évêque de Cuernavaca, MEXIQUE

         Le MEXIQUE en bref: Deuxième plus grand pays catholique au monde, le Mexique est aussi le plus dangereux d’Amérique latine pour les prêtres. Une véritable guerre des cartels le ravage qui, en 2016, occupe la deuxième place au palmarès du nombre de morts, juste après le conflit en Syrie. L’Église est l’une des rares institutions à s’opposer au narcotrafic.

    Père Paul-Elie CHEKNOUN
    Prêtre en ALGÉRIE

         L’ALGÉRIE en bref: L’islamisme des années 90 a transformé le christianisme en portion congrue dans un pays à 99% musulman. En 2016, la révision de la Constitution conserve l’interdiction « d’ébranler la foi d’un musulman ». Pourtant, quelques catholiques osent à nouveau évangéliser. A quel prix ? Les élections présidentielles de 2019 diront si l’islamisme politique est aussi moribond que certains le prédisent.

    POUR EN SAVOIR PLUS SUR LES TÉMOINS, CLIQUEZ ICI

    Source : site internet de l’AED

  • Intention de prière pour le mois de mai 2017

    Chrétiens d’Afrique, témoins de la paix
    Pour les chrétiens d’Afrique afin qu’ils rendent un témoignage prophétique de réconciliation, de justice et de paix, en prenant pour modèle Jésus Miséricordieux.

    Source : prieraucoeurdumonde.net.

  • Regina Caeli de ce dimanche 19 avril 2015

    Lors de la prière du Regina Caeli, en ce troisième dimanche de Pâques, le Pape François a proposé une réflexion sur le sens du témoignage. « Dans les lectures bibliques de la liturgie d'aujourd'hui résonne deux fois le mot "témoins", souligne le Saint-Père. La première fois, sur les lèvres de Pierre lorsqu’après la guérison du paralytique, à la porte du temple de Jérusalem, il s’exclame : "Vous avez fait mourir le Prince de la vie, que Dieu a ressuscité des morts ; nous en sommes témoin" ( Actes 3,15). La deuxième fois, c’est sur les lèvres de Jésus ressuscité : le soir de Pâques, Il ouvre l'esprit des disciples au mystère de sa mort et de sa résurrection, et Il leur dit : "C'est vous qui en êtes les témoins" (Lc 24,48). Les apôtres, qui virent de leurs propres yeux le Christ ressuscité, ne pouvaient pas ne pas parler de leur expérience extraordinaire. Le Christ leur était apparu afin que la vérité de sa résurrection puisse atteindre tout le monde à travers leur témoignage. Et l'Eglise a le devoir de prolonger dans le temps cette mission ; chaque baptisé est appelé à témoigner par la parole et par les actes, que Jésus est ressuscité, qu’il est vivant et présent parmi nous. »

    Mais qui est le témoin ? interpelle le Saint-Père. Le témoin, indique-t-il, est « celui qui a vu, qui se souvient et raconte. Voir, se souvenir et raconter sont les trois verbes qui décrivent l'identité et la mission du témoin. Le témoin est celui qui a vu, mais pas avec un avec œil indifférent ; il a vu et il s’est senti concerné par l'événement. C’est pour cette raison qu’il se souvient, pas seulement parce qu'il sait reconstruire précisément les événements, mais parce que ces faits lui ont parlé et il en a saisi le sens profond. Alors le témoin raconte, non pas avec froideur et détachement, indique le Pape mais comme celui qui s’est remis en question, et qui depuis ce jour a changé de vie ».

    « Le contenu du témoignage chrétien n’est pas une théorie, une idéologie ou un système complexe de préceptes et d'interdits, mais un message de Salut, un événement concret, même une personne : le Christ est ressuscité, vivant et unique Sauveur de tous. Ceux qui ont fait l’expérience personnelle du Christ, dans son Église, à travers un cheminement qui a son fondement dans le baptême, sa nourriture dans l'Eucharistie, son sceau dans la Confirmation, sa conversion continue de la Pénitence rendent témoignage de cela. Grâce à ce cheminement, toujours guidé par la Parole de Dieu, tout chrétien peut devenir témoin de Jésus ressuscité. Et son témoignage est d'autant plus crédible, précise le Saint-Père, lorsqu’il irradie à travers un style de vie évangélique, joyeux, courageux, doux, paisible, miséricordieux. Si au contraire le chrétien cède au confort, à la vanité, à l’égoïsme, il devient sourd et aveugle à la demande de "résurrection" de tant de frères, comment communiquera-t-il alors Jésus vivant, sa puissance libératrice et sa tendresse infinie ? »

    Source : Radio Vatican.

    Naufrage en Méditerranée : le Pape exprime sa douleur

    Un chalutier qui transportait des migrants a chaviré à 110 kms des côtes libyennes, dans la nuit de samedi à dimanche. 28 personnes ont pu être repêchées, mais leurs témoignages laissent craindre le pire : quelque 700 personnes se trouvaient en effet à bord de l'embarcation. Selon le Haut-commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés, elles auraient toutes perdu la vie.

    Le Pape François, à la fin du Regina Caeli, a tenu à exprimer sa « plus grande douleur face à une telle tragédie ». « Mes prières vont aux disparus et à leurs familles. Je lance un vibrant appel à la communauté internationale, pour qu’elle agisse avec décision et diligence, afin que de telles tragédies ne puissent plus se reproduire », a notamment déclaré le Pape, le visage grave et ému, avant d'ajouter : « ce sont des hommes et des femmes comme nous. Des frères, qui cherchaient une vie meilleure... Affamés, persécutés, blessés, exploités, victimes de guerres. Ils cherchaient une vie meilleure, ils cherchaient le bonheur ». Le Souverain Pontife a ensuite invité les fidèles réunis en nombre sous les fenêtres du Palais apostolique à prier en silence pour ces migrants, avant de réciter un Ave Maria.

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral traduit en français sur Zenit.org.

    Texte intégral original en italien sur le site internet du Vatican.

  • A 16h00 à Rome, rencontre des catéchumènes avec le Pape François

    Le dernier événement de l’Année de la Foi, avant la Messe conclusive de dimanche, a été une rencontre du Saint-Père ce samedi après-midi avec quelque 500 catéchumènes, en chemin vers le baptême, accompagnés de leurs catéchistes venus d’une cinquantaine de pays dont la Bosnie Herzégovine, l’Algérie, la Chine, Cuba ou encore le Kirghistan.

    Sur le thème : « prêts à franchir la porte de la foi », la rencontre s'est déroulée dans la basilique Saint-Pierre sous la forme d’une Liturgie de la Parole rythmée par des lectures et des témoignages. Le Pape François avait accueilli 35 des nouveaux catéchumènes à l’entrée de la basilique Saint-Pierre. Dans sa catéchèse le Pape est revenu sur la signification de la vie nouvelle en Jésus-Christ à partir de l’Évangile de Jean.

    Texte intégral de l'intervention du Pape

    « Chers catéchumènes,

    Ce point culminant de l'Année de la foi vous réunit ici, avec vos professeurs et les membres de vos familles. Vous représentez aussi les nombreux autres hommes et femmes qui font, dans différentes parties du monde, le même chemin de foi. Vous venez de différents pays, de différentes traditions et expériences culturelles. Pourtant, ce soir, nous sentons que nous avons parmi nous beaucoup de choses en commun. Nous en avons surtout une : le désir de Dieu. Ce désir est évoqué par les paroles du Psalmiste : « Comme un cerf altéré cherche l'eau vive, ainsi mon âme te cherche toi, mon Dieu. Mon âme a soif de Dieu, le Dieu vivant ; quand pourrai-je m'avancer, paraître face à Dieu ? » (Ps 42,2 à 3). Il est très important de maintenir en vie ce désir, ce désir de rencontrer le Seigneur et de partager son expérience, son amour, sa miséricorde ! Si la soif du Dieu vivant vient à manquer, la foi risque de devenir un habitude, qui peut alors s'éteindre comme un feu qui ne sera pas rallumé.

    La lecture de l’Évangile (cf. Jn 1,35-42) nous a montré que Jean-Baptiste décrit Jésus comme l'Agneau de Dieu à ses disciples. Deux d'entre eux suivent le Maître, puis, à leur tour, deviennent des « médiateurs » qui permettent aux autres de rencontrer le Seigneur, de le connaitre et de le suivre. Trois passages de cette lecture évoquent l'expérience du catéchuménat. Premièrement, il y a l'écoute. Les deux disciples entendirent le témoignage de Jean-Baptiste. Même vous, chers catéchumènes, vous avez écouté ceux qui ont parlé de Jésus et vous ont proposé de le suivre pour devenir ses disciples par le baptême. Dans le tumulte de nombreuses voix qui résonnent autour de nous et à l'intérieur de nous, vous avez entendu et reçu la parole qui vous indiquait Jésus comme l’unique qui peut donner tout son sens à votre vie.

    Le deuxième moment est la rencontre. Les deux disciples rencontrent le Maître et restent avec lui. Après l'avoir rencontré, ils ressentent immédiatement quelque chose de nouveau dans leur cœur : la nécessité de transmettre leur joie aux autres, de sorte qu'ils puissent eux aussi le rencontrer. André, de fait, rencontre son frère Simon et le conduit à Jésus. Qu’il est bon de contempler cette scène ! Elle nous rappelle que Dieu ne nous a pas créés pour être seuls, renfermés sur nous-mêmes, mais pour nous ouvrir à la rencontre avec les autres. Dieu le premier vient vers chacun de nous, et cela est merveilleux ! Dans la Bible, Dieu apparaît toujours comme celui qui prend l'initiative de la rencontre avec l'homme : Il est celui qui cherche l'homme, et habituellement il recherche l’homme au moment où celui-ci fait l’expérience amère et tragique de la trahison de Dieu et de son éloignement de Dieu. Dieu n’attend pas de le trouver, il part immédiatement à sa recherche. Notre Père est un patient chercheur ! Il nous précède et est toujours en attente. Il ne s’éloigne pas de nous, mais il a la patience d'attendre le moment favorable de la rencontre avec chacun de nous. Et quand cette rencontre a lieu, ce n'est jamais une rencontre précipitée, parce que Dieu veut rester longtemps à nos côtés pour nous soutenir, pour nous consoler, pour nous transmettre sa joie. Comme nous aspirons à Lui et nous le désirons, lui aussi a le désir d'être avec nous, parce que nous lui appartenons, nous sommes sa « chose », nous sommes ses créatures. Lui aussi, peut-on dire, a soif de nous, a soif de nous rencontrer.

    La dernière partie de l’Évangile concerne le cheminement. Les deux disciples marchent en direction de Jésus et font un bout de chemin avec Lui. C’est un enseignement important pour nous tous. La foi est un cheminement avec Jésus ... et qui dure toute une vie. A la fin, il sera là. Bien sûr, à certains moments de notre voyage nous nous sentons fatigués et confus. Mais la foi nous donne la certitude de la présence constante de Jésus dans toutes les situations, même les plus douloureuses ou difficiles à comprendre. Nous sommes appelés à marcher pour entrer de plus en plus profondément dans le mystère de l'amour de Dieu qui nous comble et nous permet de vivre avec sérénité et dans l’espérance.

    Chers catéchumènes, aujourd’hui vous commencez le voyage du catéchuménat. J'espère que vous allez le suivre avec joie, assurés du soutien de toute l’Église, qui vous regarde avec une grande confiance. Marie, la parfaite disciple, vous accompagne : C’est beau de la voir comme notre Mère dans la foi ! Je vous invite à conserver votre enthousiasme du premier moment qui a fait ouvrir vos yeux à la lumière de la foi ; à vous rappeler, comme le disciple bien-aimé, le jour, l'heure, où pour la première fois vous êtes restés avec Jésus, où vous avez senti son regard sur vous. Ainsi vous serez toujours assurés de l'amour fidèle du Seigneur. Il ne vous trahira jamais !
    »

    Source : Radio Vatican.

  • Méditation : Dieu nous a choisis afin que nous fussions saints et immaculés

    « Dieu nous a choisis en Jésus-Christ avant la formation du monde, nous prédestinant à devenir ses enfants adoptifs ; non pas en ce sens que nous devions par nous-mêmes nous rendre saints et immaculés, mais en ce sens que nous avons été choisis et prédestinés pour devenir saints et immaculés.

    D'un autre côté, comme cette élection et cette prédestination sont de la part de Dieu l'œuvre parfaitement libre de sa volonté, si l'homme a le droit de se glorifier, ce n'est point dans sa volonté, mais uniquement dans la volonté de Dieu. En effet, le Seigneur, pour nous combler de ses dons, n'a consulté que les richesses de sa grâce et sa bienveillance infinie, personnifiée dans son Fils bien-aimé, en qui nous sommes élus et prédestinés selon le décret éternel de celui qui opère en nous toutes choses, et même le vouloir (Ph II, 13). Or, s'il agit ainsi à notre égard, c'est selon le décret de sa volonté, afin que nous devenions les témoins et les instruments de sa gloire. De là, ce cri sans cesse répété : "Que personne ne se glorifie dans l'homme (I Co III, 21)", ni par conséquent en lui-même ; mais "que celui qui se glorifie se glorifie dans le Seigneur (Id. I, 31)", afin que nous soyons les témoins et les instruments de sa gloire. Dieu, dès lors, opère en nous selon son décret, afin que nous soyons les témoins et les instruments de sa gloire, c'est-à-dire saints et immaculés, car c'est dans ce but qu'il nous a appelés et prédestinés avant la formation du monde. Par suite de ce décret, nous devons regarder comme son œuvre propre la vocation des élus, au bien desquels il fait tourner toutes choses ; car c'est selon son décret qu'ils ont été appelés (Rm VII, 28), et les dons et la vocation de Dieu sont sans repentance. »

    Saint Augustin, De la prédestination des saints, Ch. XVIII (37), Trad. de M. l'Abbé Burleraux, in "Oeuvres complètes de Saint Augustin", sous la direction de M. Raulx, Tome XVIème, Bar-le-Duc, 1871.
    Source : Abbaye Saint Benoît.

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    (Vitrail de l'église de Fécamp)

  • Audience générale de ce mercredi 22 mai 2013

    "Soyons des témoins courageux de l'Evangile"

    Le Pape François a consacré la catéchèse de l’audience générale à l’Esprit Saint, "sans lequel, a-t-il dit, l’Eglise ne pourrait vivre et réaliser la mission que Jésus nous a confié, celle d’aller et de faire des disciples de tous les peuples. Cette mission ne concerne pas seulement quelques-uns, c’est aussi la mienne, la tienne, la nôtre. Nous devons tous être des évangélisateurs surtout par notre vie... C’est pourquoi, nous devons nous ouvrir sans peur à l’action de l’Esprit Saint... A la Pentecôte, l’Esprit Saint fit sortir d’eux-mêmes les apôtres et les transforma en annonciateurs des grandes œuvres de Dieu...que chacun entendait dans sa propre langue.
    Il y a ici un premier effet important de l’action de l’Esprit Saint...l’unité, la communion... La confusion des langues, comme à Babel, est dépassée parce qu’aujourd’hui règne l’ouverture à Dieu et aux autres, qui mène à l’annonce de la Parole de Dieu avec un langage que tous comprennent, celui de l’amour que l’Esprit répand dans les cœurs... Qu'est-ce que je fais dans ma vie ? - a demandé le Pape en haussant la voix - Je divise en faisant des commentaires, en critiquant, avec des commérages, avec envie ?
    Le deuxième effet de l’Esprit Saint – a poursuivi le Saint-Père - est le courage qu’il m’inspire pour annoncer franchement la nouveauté de l’Evangile, à haute voix, en tout temps et lieu. Et cela, bien appuyé sur la prière, sans laquelle toute action reste vide et l’action manque d’âme puisqu’elle n’est pas animée par l’Esprit... Evangéliser, annoncer Jésus, est réjouissant, tandis que l'égoïsme nous rend tristes et amers".
    Il a alors souligné le rôle de la nouvelle évangélisation comme troisième effet important. "Une Eglise qui évangélise doit toujours partir de la prière, en demandant, comme les apôtres dans le cénacle, le feu de l’Esprit Saint. Seule une relation fidèle et intense avec Dieu permet de ne pas rester enfermé et d’annoncer avec courage l’Evangile".
    Avant de conclure, le Pape a rappelé les paroles de Benoît XVI : “Aujourd’hui, l’Eglise sent le vent de l’Esprit Saint qui nous aide et nous montre la bonne voie”... "Renouvelons, chaque jour, notre confiance en l’action de l’Esprit Saint, laissons-nous guider par lui, soyons des hommes et des femmes de prière qui rendent témoignage de l’Evangile avec courage, en devenant dans ce monde des instruments d’unité et de communion avec Dieu".
    Après la catéchèse, le Saint-Père a salué les quelque 50.000 pèlerins réunis sur la Place St Pierre. Il a invité, en anglais, à prier pour les victimes et en particulier les enfants, de l’ouragan en Oklahoma.

    Après l’audience générale, le Saint-Père, rappelant que le 24 mai, on célèbrera la fête liturgique de la bienheureuse Vierge Marie, Auxiliatrice des chrétiens, qui est vénérée avec une grande dévotion dans le sanctuaire de Sheshan à Shangaï, a lancé un appel pour la Chine, invitant tous les catholiques du monde à "prier pour implorer de Dieu la grâce d’annoncer avec humilité et joie le Christ mort et ressuscité, pour être fidèles à leur Eglise et au Successeur de Pierre et vivre quotidiennement au service de leur pays et de leurs concitoyens de façon cohérente avec la foi qu’ils professent". Le Pape a invoqué la Vierge avec ces paroles: "Notre-Dame de Sheshan, soutiens les engagements de ceux qui, en Chine, au milieu des difficultés quotidiennes, continuent à croire, à espérer, à aimer afin qu’ils ne craignent jamais de parler de Jésus au monde et du monde à Jésus... Que la Vierge fidèle soutienne les catholiques chinois, rende précieux aux yeux du Seigneur leurs engagements difficiles et fasse grandir l’affection et la participation de l’Eglise chinoise sur le chemin de l’Eglise universelle".

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 22.5.13)
  • Intentions de prière de Benoît XVI pour le mois de novembre

    - Universelle
    Pour que les évêques, les prêtres et tous les ministres de l'Evangile rendent un témoignage courageux de fidélité au Seigneur crucifié et ressuscité.

    - Missionnaire
    Pour que l'Eglise, pèlerine sur la terre, resplendisse comme lumière des nations.

    Et n'oublions pas que le mois de novembre est le mois des âmes du purgatoire : prions pour elles...

    A visiter : le site internet de l'Apostolat de la Prière.

  • Intentions de prières de Benoît XVI pour le mois d'août

    Universelle - Les Prisonniers
    "Pour que les prisonniers soient traités avec justice et que leur dignité humaine soit respectée."

    Missionnaire : Les jeunes, témoins du Christ
    "Pour que les jeunes, appelés à suivre le Christ, se rendent disponibles pour proclamer et témoigner l'Evangile jusqu'aux extrémités de la terre."

    Source : Apostolat de la Prière.

  • 17 mai : Méditation (2)

    « Frères, Jésus est vivant et nous en sommes les témoins ! Et parce qu'il est vivant et présent dans son Eglise, il continue d'appeler son peuple, il continue de proclamer la Bonne Nouvelle du Royaume, il continue de guérir toutes nos infirmités. Jésus-Christ, vivant et ressuscité, a toujours le même pouvoir et la même compassion pour ceux qui souffrent. En ces temps d'athéisme et de corruption si répandus dans le monde, le Seigneur nous bénit. En renouvelant les signes et les prodiges de son amour, c'est comme s'il nous disait : "Je suis ici, avec le même amour et la même compassion, tel que j'étais en Judée". Et le Seigneur est présent aujourd'hui dans son Eglise, et par ce renouveau de la foi, nous voyons se renouveler les signes et les prodiges de l'amour de Jésus. [...] Jésus est vivant et demeure le même aujourd'hui, hier et toujours. Jésus est le "Seigneur de l'impossible". Avec Jésus, frères, aucun cas n'est désespéré ! »

    Emiliano Tardif, Jésus a fait de moi un témoin, Editions de l'Emmanuel, 1990.
    Source : "Il est vivant !" n°292, avril 2012.

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  • 24 avril : Rappel - La Nuit des Témoins (AED)


    Pour la quatrième édition, l’AED vous invite à venir nombreux à la Nuit des Témoins annuelle, grande veillée de prière et de témoignage, qui aura lieu cette année dans quatre villes de France : Paris, Grenoble, Bayonne et Lille.

    La Nuit des Témoins à Grenoble, en la cathédrale Notre-Dame, le lundi 21 mai 2012.
    Messe à 18h30 et veillée de prière de 20h30 à 22h.

    La Nuit des Témoins à Bayonne, en la cathédrale Sainte-Marie, le mardi 22 mai 2012.
    Messe à 20h et veillée de 21h à 22h30.

    La Nuit des Témoins à Lille, à Notre-Dame de la Treille, le mercredi 23 mai 2012
    Messe à 19h30 et veillée de prière de 21h à 22h.

    La Nuit des Témoins à Paris, en la cathédrale Notre-Dame, le vendredi 25 mai 2012
    Messe à 18h30 et veillée de 20h à 21h30.