Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

messe - Page 10

  • Basilique du Vatican : Messe pour la clôture du Jubilé de la Miséricorde

    précédée de la clôture de la Poste Sainte
     
     
     
    Texte de l'homélie du Pape François traduite en français sur le site internet du Vatican.

  • Jubilé des sans-abris : Sainte Messe célébrée par le Pape François

     
     
    Texte intégral de l'homélie traduite en français sur le site internet du Vatican.
     
    Fermeture des Portes Saintes de la Miséricorde des trois des basiliques papales, où des messes seront célébrées en fin d’après-midi : à Saint-Paul-hors-les-Murs à 17h00, à Saint-Jean-de-Latran à 17h30, et à Sainte-Marie-Majeure à 18h00.
    Aujourd'hui seront également fermées les portes de la Miséricorde dans toutes les églises et les sanctuaires du monde.
    La porte de la Basilique Saint-Pierre sera fermée par le Pape François le 20 novembre 2016, jour où prendra fin l’Année jubilaire de la Miséricorde.

  • Du 18 au 21 novembre 2016, le diocèse d'Avignon fête le Père Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus à l’occasion de sa béatification

    Marie-Eugene_de_l_Enfant-Jesus_3a.jpg

    Une neuvaine préparatoire à la béatification du carme français Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus (1894-1967), qui aura lieu le 19 novembre 2016, est proposée aux fidèles du 10 au 18 novembre.

    Préparée par l’Institut Notre-Dame de Vie fondé par le p. Marie-Eugène, la prière commune inclut une courte intention de prière suivie du Veni Creator prié à une intention proposée chaque matin. Un petit passage de la Parole de Dieu et un extrait d’un texte du père Marie-Eugène seront également envoyés à tous les participants par message électronique tous les matins.

    Un programme des quatre jours de festivités consacrées à la béatification est annoncé dans le diocèse d’Avignon avec en point d'orgue la messe de béatification qui sera célébrée le samedi 19 novembre à 11h au Parc des Expositions d’Avignon. Elle sera présidée par le Cardinal Angelo Amato, envoyé spécial du pape François et préfet de la Congrégation pour les causes des saints.

    Neuvaine préparatoire à la béatification du P. Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus

    Télécharger la neuvaine en format pdf (et la diffuser largement !)

    Programme détaillé des festivités.

  • Jubilé des prisonniers : Sainte Messe célébrée par le Pape François

     
     

  • 11h30, Basilique du Vatican : Sainte Messe célébrée par le Pape François

    en suffrage pour les cardinaux et les évêques morts au cours de l’année

    En direct sur KTO

    Livret de la célébration

  • 16h00 : Messe au cimetière de Prima Porta (Flaminio) de Rome

    En direct sur KTO

  • Franz Schubert : Messe No. 3 en si bémol majeur, D.324 - II. Gloria

    Virtuosi di Praga, Prague Chamber Orchestra - Dir. Jack Martin Händler (1996)
    Ludmila Vernerova, soprano ; Lenka Smidova, mezzo-soprano
    Rodrigo Orrego, ténor ; Jiri Sulzenko, basse

  • Sainte Messe célébrée par le Pape François place Saint-Pierre avec rite de canonisation

    (cf. notre rappel du 14 octobre dernier)
     

    Le Pape François a présidé, ce dimanche 16 octobre place Saint-Pierre, la messe de canonisation de sept bienheureux, dont deux Français, Salomon Leclercq, des Frères des écoles chrétiennes et Elisabeth de la Trinité, carmélite originaire de Dijon, en France.

    Quelque 80 000 fidèles, parmi lesquels de nombreux Français ont assisté à cette célébration. Présentes également 5 délégations officielles : espagnole, mexicaine, italienne, française et argentine. La France était représentée par la Ministre de l’environnement, Ségolène Royal ; l’Argentine par le président de la République, Mauricio Macri qui avait été reçu par le Saint-Père ce samedi. Dans son homélie, le Pape a insisté sur la force de la prière qui était « au centre des lectures bibliques de ce dimanche ».

    Le compte rendu de Blandine Hugonnet à lire / écouter sur Radio Vatican.

    Texte intégral de l'homélie traduite en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Clôture du Jubilé marial à Rome

    Messe célébrée par le Pape François place Saint-Pierre

     Livret de la célébration

    Merci : c’est un des mots que le Pape François répète souvent lors de ses différentes interventions. Ce dimanche 9 octobre 2016, il l’a encore rappelé, le plaçant au centre de l’homélie de la Messe célébrée place Saint-Pierre à l’occasion du Jubilé marial, dans le cadre de l’Année de la Miséricorde. Revenant sur l’évangile des dix lépreux, ainsi que sur la première lecture qui raconte l’histoire de Naaman, il a souligné combien il était primordial de « savoir remercier, savoir louer pour ce que le Seigneur fait pour nous ».

    Sur les dix lépreux guéris par Jésus, un seul, un samaritain, revient le remercier, ce que regrette le Christ. Ce manquement amène le Pape à nous demander si nous sommes capables de dire merci. Non seulement merci au Seigneur, mais merci en famille, en communauté et dans l’Église. « Souvent, nous tenons tout pour acquis ! Et cela se produit également vis-à-vis de Dieu. Il est facile d’aller vers le Seigneur demander quelque chose, mais revenir pour remercier… »

    Le Pape François propose alors Marie comme modèle, qui « après avoir reçu l’annonce de l’Ange, a laissé jaillir de son cœur un chant de louange et de gratitude à Dieu ». En ce jubilé marial, il demande ainsi « à la Vierge de nous aider à comprendre que tout est don de Dieu, et à savoir remercier : alors, notre joie sera pleine ».

    Il faut aussi, ajoute le Pape, être humble pour dire merci. Humble comme Marie. C’est pourquoi Dieu l’a choisi pour se faire homme. Là encore, le Saint-Père interpelle les fidèles : « Demandons-nous si nous sommes disposés à recevoir les dons de Dieu, ou si nous préférons plutôt nous enfermer dans les sécurités matérielles, dans les sécurités intellectuelles, dans les sécurités de nos projets. »

    Enfin, le Pape souligne le fait que le samaritain des dix lépreux et Naaman, personnage central de la première lecture de ce jour, soient deux étrangers. « Que d’étrangers, y compris des personnes d’autres religions, nous donnent l’exemple de valeurs que nous oublions parfois ou négligeons ! Celui qui vit à côté de nous, peut être méprisé et marginalisé parce qu’il est un étranger, peut nous enseigner cependant comment marcher sur la voie que le Seigneur veut ». Là aussi, il faut savoir être humble, pour reconnaitre dans l’autre une part de Dieu.

    Le Pape a conclu son homélie exhortant les fidèles à s’accrocher à la foi simple de Marie, qui « a fait l’expérience de l’éloignement de sa terre », qui, pendant longtemps, a aussi été « une étrangère en Égypte, loin de ses parents et de ses amis ». Il faut avoir confiance car sa « foi a su vaincre les difficultés ».

    Source : Radio Vatican (XS).

    Texte intégral de l'homélie traduite en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Jubilé marial du 7 au 9 octobre 2016 à Rome

    C’est ce vendredi 7 octobre, en la fête de Notre Dame du Rosaire, que débuteront les célébrations du Jubilé marial dans le cadre de l’Année de la Miséricorde. À cette occasion, le Pape François présidera samedi en fin d’après-midi une veillée mariale place Saint-Pierre puis la messe dimanche 9 octobre au matin.

    Le Jubilé marial qui se tiendra du 7 au 9 octobre s’ouvrira à 18h00 ce vendredi lors d’une messe solennelle en l’honneur de la Vierge dans la Basilique romaine de Sainte-Marie-Majeure. Les fidèles sont ensuite invités à se rendre, de 20h00 à minuit, dans les églises jubilaires (Santa Maria in Valicella et San Salvatore in Lauro) pour célébrer le sacrement de la réconciliation et participer à un temps d’adoration eucharistique. Dans chaque église seront présents des confesseurs de différentes langues.

    Samedi après-midi, tous les pèlerins sont invités à se retrouver place Saint-Pierre pour un temps de prière. Un temps d’animation avec des chants et des prières mariales est prévu durant lequel aura lieu une procession des délégations provenant des communautés nationales présentes en Italie et des sanctuaires mariaux. L’icône de la Vierge « Salus Populi Romani » fermera la procession. La journée s’achèvera par une veillée de prière en présence du Saint-Père qui débutera à 17h30. Le lendemain, dans la matinée, le Pape François présidera à 10h30 une messe solennelle place Saint-Pierre clôturant ainsi ce jubilé marial.

    Source : Radio Vatican (HD-SB).

  • Voyage apostolique - Messe dans l'église de l’Immaculée à Bakou

    Le Pape François est arrivé en Azerbaïdjan en début de matinée ce dimanche pour une visite d’une journée. Dans ce pays de près de dix millions d’habitants sur les bords de la Mer Caspienne, à majorité musulmane, les catholiques ne sont que quelques centaines seulement. L’Église catholique ne dispose que d’une seule paroisse ; elle peut compter sur sept prêtres, quinze religieux et un séminariste. Une Église dynamique toutefois, qui a baptisé quatorze catéchumènes ces douze derniers mois.

    C’est dans ce contexte que le Saint Père a célébré la Messe à Bakou, dans l’église de l’Immaculée, la première église catholique d’Azerbadjan, érigée une première fois en 1909 avant d’être détruite par les bolchéviques en 1931, puis reconstruite seulement en 2007.

    S’adressant aux fidèles à travers l’homélie, le Saint Père s’est arrêté sur la signification de la « foi » et la notion de « service ». Le Pape François apporte soutien et espérance à la communauté catholique locale : « L’Église entière qui nourrit pour vous une sympathie spéciale, vous regarde et vous encourage : vous êtes un petit troupeau si précieux aux yeux de Dieu ! »

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral de l'homélie du Pape traduite en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Voyage apostolique - Messe au stade M. Meskhi à Tbilissi

    Le Pape François a célébré ce samedi 1er octobre au matin une Messe au stade Mikhaïl-Meskhi de Tbilissi, au deuxième jour de son voyage apostolique en Géorgie. Devant les fidèles catholiques et en présence d'une délégation orthodoxe, le Saint-Père a indiqué au cours de son homélie une mission « urgente » de l’Église : « recevoir et porter la consolation de Dieu ».

    Pour cela, le Pape François a invité à se rappeler que nous sommes toujours les enfants de Dieu, « au-delà du mal dont nous sommes capables ». « Laissons résonner dans notre cœur ces paroles qu’aujourd’hui il nous adresse : “comme une mère, je vous consolerai” », a poursuivi le Pape, reprenant la lecture du jour (Is 66, 13). Il a d’ailleurs rendu hommage aux grands-mères et aux mères géorgiennes « qui continuent à garder et à transmettre la foi » et « apportent l’eau fraiche de la consolation de Dieu dans de nombreuses situations de désert et de conflit ».

    Devenir petit comme des enfants

    Pour recevoir cette consolation, il existe une condition de fond a avancé le Pape : « devenir petit comme des enfants », comme le dit Jésus dans l’Évangile du jour (MT 18, 4). Car celui qui le fait « devient pauvre de lui-même, mais riche de Dieu ». Ainsi, il faut faire une place au Seigneur dans notre vie. « Il y a des portes de la consolation à tenir toujours ouvertes, parce que Jésus aime entrer par-là : l’Évangile lu chaque jour et porté toujours avec nous, la prière silencieuse et adorante, la Confession, l’Eucharistie ».

    « Mais Dieu ne nous console pas seulement dans le cœur », a ajouté le Saint-Père. Il vient nous rejoindre dans la communauté, dans l’Église « maison de consolation ». « Nous pouvons nous demander : moi, qui suis dans l’Église, suis-je porteur de la consolation de Dieu ? Est-ce que je sais accueillir l’autre comme un hôte et consoler celui que je vois fatigué et déçu ? » Pour le Pape François, l'Église doit « répandre l’espérance », « redonner courage » et « porter la lumière de Jésus, la chaleur de sa présence, le réconfort de son pardon ». Ainsi, les fidèles ne doivent pas s’habituer « à un “microclimat” ecclésial fermé » mais « partager des horizons larges, ouverts d’espérance ».

    Suivre la “petite voie” vers Dieu de sainte Thérèse

    « Bienheureuses les communautés chrétiennes qui vivent cette authentique simplicité évangélique (…) Bienheureux les Pasteurs qui ne courent pas après la logique du succès mondain (…). Bienheureuse l’Église qui ne se fie pas aux critères du fonctionnalisme et de l’efficacité dans l’organisation », a souligné le Pape. S'adressant au « petit troupeau aimé de Géorgie » qui se dévoue « à la charité et à la formation », il lui a adressé un appel : « accueille l’encouragement du Bon pasteur, confie-toi à Lui qui te prend sur ses épaules et te console ! »

    À la fin de son homélie, le Pape François a souhaité résumer son message à travers des paroles de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, dont l'Église fait mémoire ce samedi 1er octobre. « Elle nous indique sa “petite voie” vers Dieu, “l’abandon du petit enfant qui s’endort sans crainte dans les bras de son Père”, parce que “Jésus ne demande pas de grandes actions, mais seulement l’abandon et la reconnaissance” » (tiré des Manuscrits autobiographiques, Manuscrit B, 1).

    Source : Radio Vatican (SBL).

    Texte intégral de l'homélie du Pape traduite en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Jubilé des catéchistes - Messe célébrée par le Pape François

    Livret de la célébration

    Le Pape François a célébré la Messe place Saint-Pierre dimanche 25 septembre à l'occasion du Jubilé des catéchistes qui se déroule à Rome dans le cadre de l'année de la Miséricorde. A cette occasion plusieurs milliers de catéchistes venus du monde entier, parmi lesquels 150 Français se sont retrouvés pour un pèlerinage international.

    En commentant les textes du jour lors de son homélie, le Pape est revenu sur le commandement de l'Apôtre Paul à Timothée qui rappelle le centre de la foi. « Ce centre autour duquel tout tourne, ce cœur palpitant qui donne vie à tout, c’est l’annonce pascale, la première annonce : le Seigneur Jésus est ressuscité, le Seigneur Jésus t’aime, Il a donné sa vie pour toi ; ressuscité et vivant, Il est présent à tes côtés et Il t’attend chaque jour. Nous ne devons jamais l’oublier ».

    « En ce Jubilé des catéchistes, a poursuivi le Saint-Père, il nous est demandé de ne pas nous lasser de mettre en premier l’annonce principale de la foi : le Seigneur est ressuscité. Il n’y a pas de contenu plus important, rien de plus solide et actuel. » L'annonce de Dieu-amour ne peut se faire qu'en aimant a rappelé aussi le Pape, non pas en cherchant à convaincre, jamais en imposant la vérité, non plus en se raidissant sur des obligations religieuses ou morales. Au contraire, a t-il expliqué, Dieu est annoncé en rencontrant les personnes, en prêtant attention à leur histoire et à leur chemin. Le Pape François a ainsi rappelé que le message du Seigneur, parce qu'il n'était pas une idée mais bien une personne, passait par un témoignage simple et vrai.

    L’Évangile qui relate la parabole de l'homme riche et de Lazare nous aide à comprendre ce que veut dire aimer a poursuivi le Pape, c'est à dire dépasser nos cécités, sentir avec son cœur avant de voir avec ses yeux. « La mondanité qui anesthésie l’âme est entrée dans son cœur » a-t-il souligné en évoquant l'homme riche de la parabole, cette mondanité est comme un « trou noir » qui engloutit le bien, qui éteint l’amour parce qu’elle ramène tout au moi.

    Le Seigneur regarde celui qui est négligé et mis à l’écart du monde, a précisé le Pape qui a rappelé que « Lazare est le seul personnage, dans toutes les paraboles de Jésus, à être appelé par son nom ». Cette pauvreté de Lazare, à l'inverse de l'ostentation de l'homme riche s’exprime avec une grande dignité. Ceci est enseignement précieux a t-il précisé en lançant une invitation aux catéchistes : « en tant que serviteurs de la Parole de Jésus nous sommes appelés à ne pas étaler une apparence et à ne pas rechercher la gloire ; nous ne pouvons pas non plus être tristes ni nous lamenter. Ne soyons pas des prophètes de malheur qui se complaisent à dénicher les dangers ou les déviances ; ne soyons pas des gens qui se retranchent dans leurs propres environnements en émettant des jugements amers sur la société, sur l’Église, sur tout et sur tous, polluant le monde de choses négatives. »

    Celui qui annonce l’espérance de Jésus est porteur de joie et voit loin, car il sait regarder au-delà du mal et des problèmes, a conclu le Saint-Père, et en même temps il voit bien de près, car il est attentif au prochain et à ses nécessités. « Que le Seigneur nous donne la grâce d’être renouvelés chaque jour par la joie de la première annonce ».

    Source : Radio Vatican (OB).

    Texte intégral de l'homélie traduite en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Méditation - Le Message de La Salette

    « Lors de son apparition, la Vierge Marie a confié à Maximin et Mélanie ensemble un Message à destination de "tout son peuple".
    L’Évêque de Grenoble l’a authentifié par mandement le 19 septembre 1851.

    Voici le texte du Message de Marie à La Salette :

    "Avancez, mes enfants, n’ayez pas peur, je suis ici pour vous conter une grande nouvelle.

    Si mon peuple ne veut pas se soumettre, je suis forcée de laisser aller le bras de mon Fils. Il est si fort et si pesant que je ne puis plus le maintenir. Depuis le temps que je souffre pour vous autres ! Si je veux que mon Fils ne vous abandonne pas, je suis chargée de le prier sans cesse. Pour vous autres, vous n’en faites pas cas ! Vous aurez beau prier, beau faire, jamais vous ne pourrez récompenser la peine que j’ai prise pour vous autres.

    Je vous ai donné six jours pour travailler, je me suis réservé le septième et on ne veut pas me l’accorder. C’est ça qui appesantit tant le bras de mon Fils.

    Et aussi, ceux qui mènent les charrettes ne savent pas jurer sans mettre le nom de mon Fils au milieu. Ce sont les deux choses qui appesantissent tant le bras de mon Fils.

    Si la récolte se gâte, ce n’est rien qu’à cause de vous autres. Je vous l’avais fait voir l’an dernier par les pommes de terre, vous n’en avez pas fait cas. C’est au contraire : quand vous en trouviez des pommes de terre gâtées, vous juriez, vous mettiez le nom de mon Fils au milieu. Elles vont continuer, et cette année, pour la Noël, il n’y en aura plus.

    (Jusqu’ici la Belle Dame a parlé en français. Elle prévient une question de Mélanie et termine son discours en patois.)

    Vous ne comprenez pas, mes enfants ! Je vais vous le dire autrement. Si la recolta se gasta...
    Si vous avez du blé, il ne faut pas le semer. Tout ce que vous sèmerez, les bêtes le mangeront et ce qui viendra tombera tout en poussière quand on le battra. Il viendra une grande famine.
    Avant que la famine vienne, les petits enfants au-dessous de 7 ans prendront un tremblement et mourront entre les mains des personnes qui les tiendront.
    Les autres feront pénitence par la famine. Les noix deviendront vides, les raisins pourriront.

    (A ce moment Mélanie voit que la Belle Dame dit quelques mots à Maximin, mais elle n’entend pas. Puis c’est au tour de Maximin de comprendre qu’elle dit quelques mots à Mélanie qu’il n’entend pas non plus. Puis elle poursuit.)

    S’ils se convertissent, les pierres et les rochers deviendront des monceaux de blé et les pommes de terre seront ensemencées par les terres.

    Faites-vous bien votre prière, mes enfants ?
    Pas guère, Madame.
    Ah ! Mes enfants, il faut bien la faire, soir et matin, ne diriez-vous seulement qu’un "Notre Père" et un "Je vous salue". Et quand vous pourrez mieux faire, dites-en davantage.
    L’été, il ne va que quelques femmes un peu âgées à la Messe. Les autres travaillent le dimanche tout l’été, et l’hiver, quand ils ne savent que faire, ils ne vont à la Messe que pour se moquer de la religion.
    Le Carême, ils vont à la boucherie, comme les chiens.
    N’avez-vous point vu de blé gâté, mes enfants ?
    Non Madame !
    Mais vous, Maximin, mon enfant, vous devez bien en avoir vu une fois, au Coin, avec votre père. Le maître du champ dit à votre père de venir voir son blé gâté. Vous y êtes allés. Votre père prit deux ou trois épis dans sa main, les froissa et ils tombèrent tous en poussière. En vous en retournant, quand vous n’étiez plus qu’à une demi-heure de Corps, votre père vous donna un morceau de pain en vous disant : "Tiens, mon petit, mange encore du pain cette année, car je ne sais pas qui va en manger l’an qui vient si le blé continue comme ça".
    Ah ! Oui, Madame. Je m’en rappelle à présent. Je ne m’en rappelais pas tout à l’heure.

    Eh bien, mes enfants, vous le ferez passer à tout mon peuple !
    Allons, mes enfants, faites-le bien passer à tout mon peuple !" »

    Source : La Salette, site officiel.

    ND_Salette_3a.jpg

  • Méditation - Poésie : La Messe Réparatrice

    « Pour la première fois, au doux festin de l'ange,
    Un bon petit enfant était venu s'asseoir ;
    Mais, hélas ! son bonheur ne fut pas sans mélange,
           On le vit triste tout le soir.

    Il était allé seul, sans son père et sa mère,
    A la Table de Dieu, comme un pauvre orphelin :
           C'était pour lui douleur amère !
    Il les avait priés, suppliés, mais en vain.

    Ils ne vont même pas le Dimanche à la Messe.
    Mais à ce cœur bien pur Jésus avait parlé ;
    Et l'enfant avait fait une intime promesse
           Qui l'avait un peu consolé :

    Deux fois dans la semaine, à l'auguste Mystère
           Il viendra : c'est son vœu ;
    Une fois pour son père, une fois pour sa mère,
           Et priera le bon Dieu !

    La mère a remarqué l'heure de ses sorties ;
           Elle observe le cher enfant,
    Le suit jusqu'à l'église et l'aperçoit priant
           Avec des ardeurs infinies.

    Troublée, elle l'attend au portail du Lieu Saint ;
    Et voyant quelques pleurs perler sur son visage :
    - Qu'as-tu donc, ô mon fils ? Du chagrin à ton âge ?
    Dépose ton secret dans un cœur qui te plaint.

    Il se jette en ses bras : - Mère, plus de souffrance !
    Aux pieds du bon Jésus j'ai pleuré d'espérance ;
    Je vais dire pour qui j'étais à genoux :
    Hier, c'était pour mon père ; aujourd'hui, c'est pour vous.

           Dans cette classe populaire
    Les bons cœurs, croyez-le, ne sont pas peu nombreux.
    Le dimanche suivant on vit au sanctuaire
           Un adolescent bien heureux :
    Il avait près de lui, recueillis et pieux,
           Et son père et sa mère. »

    V.N.P., in "La Divine Hostie",
    Bulletin mensuel de l'Archiconfrérie de la Messe Réparatrice,
    Mars 1888 à Décembre 1891, Publié à Bonlieu (Drôme), novembre 1890.

    poeme,poesie,enfant,ange,messe,réparatrice,père,mère,mystère,espérance,voeu

    (Gravure d'après le tableau de Reynolds)

  • Programme liturgique du Pape en cette fin d'année

    Le Bureau des célébrations liturgiques du Saint-Siège a rendu public le mardi 6 septembre le calendrier liturgique des célébrations qui seront présidées par le Pape François jusqu’à la fin de l’Année jubilaire, le 20 novembre prochain.

    Le prochain rassemblement concernera le Jubilé des catéchistes, avec une Messe qui sera célébrée par le Pape François  le dimanche 25 septembre à 10h30 sur la Place Saint-Pierre.

    Le week-end suivant, du vendredi 30 septembre au dimanche 2 octobre, le Pape se rendra en Géorgie et en Azerbaïdjan pour la seconde étape de sa tournée dans le Caucase, après son voyage en Arménie en juin dernier.

    Le Jubilé marial, le week-end des 8 et 9 octobre, donnera lieu à deux rassemblements sur la Place Saint-Pierre, en présence du Pape François : une veillée le samedi soir à 17h30, et la Messe le dimanche matin à 10h30.

    Le dimanche suivant, 16 octobre, à 10h15 sur la Place Saint-Pierre, le Pape présidera la Messe de canonisation de sept nouveaux saints, parmi lesquels deux Français : la carmélite Élisabeth de La Trinité (1880-1906), et le Frère des Écoles chrétiennes Salomon Leclercq (1745-1792), tué durant la Révolution française.

    Les autres futurs saints sont l’adolescent mexicain José Sanchez del Rio (1913-1928), martyr de la guerre des Cristeros, le prêtre argentin Jose Gabriel del Rosario Brochero (1840-1914), qui deviendra la premier saint originaire du pays du Pape actuel, l’évêque espagnol Manuel Gonzalez Garcia (1877-1940), fondateur des Missionnaires eucharistiques de Nazareth, et enfin deux prêtres italiens du XIXe siècle : Alfonso Maria Fusco (1839-1910), fondateur de la Congrégation des Sœurs de Saint-Jean-Baptiste, et Lodovico Pavoni (1784-1849), fondateur des Fils de Marie Immaculée.

    Les 31 octobre et mardi 1er novembre, le Pape François effectuera un voyage en Suède à l’occasion du 500e anniversaire de la Réforme protestante. Pour la première fois de son pontificat, le Pape ne célèbrera pas la Messe de la Toussaint à Rome, mais sur place avec la petite communauté catholique locale.

    Le vendredi 4 novembre à 11h30, il présidera comme chaque année à l’autel de la Chaire, au fond de la basilique Saint-Pierre, la Messe en mémoire des cardinaux et évêques décédés dans le cours de l’année.

    Suivront deux Jubilés exceptionnels : le dimanche 6 novembre à 10h à la basilique Saint-Pierre, la Messe du Jubilé des prisonniers, et le dimanche 13 novembre au même lieu et à la même heure, le Jubilé des personnes sans domicile fixe.

    Enfin, le dimanche 20 novembre à 10h, en la Solennité du Christ-Roi qui marque la fin de l’Année liturgique (*), le Pape présidera la Messe de clôture du Jubilé de la Miséricorde, qui avait été ouvert en deux temps : le 29 novembre 2015 à Bangui (République centrafricaine), et le 8 décembre 2015 à Rome, en la Fête de l’Immaculée Conception.

    Naturellement, ce programme ne tient pas compte des activités du Pape ne relevant pas de la compétence du Bureau des célébrations liturgiques : audiences générales et jubilaires, audiences privées, et déplacements ne donnant pas lieu à une messe, comme sa participation à un rassemblement interreligieux à Assise, le mardi 20 septembre prochain.

    Source : Radio Vatican (CV).

    (*) : au nouveau calendrier liturgique. La fête du Christ Roi est placée au calendrier traditionnel au dernier dimanche d'octobre (donc le 23 octobre cette année).

  • Messe d'action de grâces pour la canonisation de Mère Teresa, place Saint-Pierre

    Les pèlerins étaient de retour sur la place Saint-Pierre ce lundi matin pour célébrer Sainte Mère Teresa. Le 5 septembre, jour anniversaire de sa mort, est aussi le jour de la Fête liturgique de la missionnaire de Calcutta, canonisée ce dimanche 4 septembre par le Pape François. Au lendemain de ce grand événement ecclésial, c’est le Cardinal Pietro Parolin, Secrétaire d’Etat du Saint Siège, qui célébrait une Messe d’action de grâce, présentant Ste Mère Teresa comme « le miroir de l’amour de Dieu ».

    Mère Teresa était un merveilleux exemple de service aux autres, en particulier envers les populations les plus pauvres et les personnes abandonnées. Une pauvreté que le Cardinal Parolin a élargi en englobant des catégories de populations qui au premier abord ne sont pas dans une situation de nécessité, mais qui éprouvent un « vide intérieur ».

    Mère Teresa savait, souligne le Cardinal, que « l’une des formes les plus atroces de la pauvreté est de se savoir mal aimé, non désiré ou méprisé ». Et cette forme de pauvreté peut atteindre tout le monde, lorsque par exemple les liens familiaux ou affectifs viennent à se briser, et qu’il faut alors faire face à la dureté de la solitude, et au sentiment grandissant de sa propre inutilité.

    A ceux qui se sentent abandonnés, Mère Teresa a apporté son amour. « Aimer peut faire mal, disait la sainte de Calcutta, Jésus a été crucifié pour avoir aimé ». Et c’est cette image qu’elle reprenait lorsqu’elle s’adressait aux donateurs, elle ne se limitait pas à leur demander de donner le superflu, mais de donner jusqu’à ce qu’ils aient mal.

    Source : Radio Vatican (JCP-MA).

    Texte intégral de l'homélie du Cardinal Parolin traduite en français sur Zenit.org.

  • Messe et canonisation de la Bse Mère Teresa place Saint-Pierre

    C'est en décembre 2015 que le Pape François a autorisé la publication du décret qui reconnaissait un miracle par l'intercession de Mère Teresa (1910-1997), acte qui ouvrait la voie à sa canonisation. Le 15 mars 2016, le Pape a annoncé au Vatican la canonisation de la célèbre religieuse albanaise, fondatrice des Missionnaires de la charité en Inde.
     
     
     
    C’est l’un des points d’orgue de l’Année sainte de la Miséricorde : le Pape a inscrit Mère Teresa, fondatrice de la Congrégation des Missionnaires de la Charité au calendrier des Saints ce dimanche 4 septembre 2016, devant 120 000 fidèles qui participent à la Messe de canonisation.
    Dans son homélie, le Pape a rappelé que « partout où il y a une main tendue qui demande une aide pour se remettre debout, doit se percevoir notre présence, ainsi que la présence de l’Église qui soutient et donne espérance ». Il rappelle que les chrétiens sont appelés à traduire dans le concret ce qu’ils invoquent dans la prière et qu’ils professent dans la foi. « L’engagement que le Seigneur demande est l’engagement d’une vocation à la charité ». Un engagement « sérieux », mais joyeux qui demande « radicalité et courage ».
     
    Le Saint-Père rend également hommage à la nouvelle sainte qu’il continue d’appeler Mère Teresa, « il serait un peu difficile de l’appeler sainte Thérèse », glisse-t-il dans un sourire. En se rendant disponible à travers l’accueil et la défense de la vie humaine, Mère Teresa a été tout au long de sa vie une « généreuse dispensatrice de la miséricorde divine ». Elle s’est dépensée dans la défense de la vie dans le sein maternel comme la vie abandonnée et rejetée. Elle s’est penchée sur les personnes abattues qu’on laisse mourir au bord des routes ; elle a fait entendre sa voix aux puissants de la terre, afin qu’ils reconnaissent leurs fautes.

    Mère Teresa, une sainte de la miséricorde. « La miséricorde a été pour elle le ‘‘sel’’ qui donnait de la saveur à chacune de ses œuvres, et la ‘‘lumière’’ qui éclairait les ténèbres de ceux qui n’avaient même plus de larmes pour pleurer leur pauvreté et leur souffrance ».
    Sa mission perdure de nos jours comme un témoignage éloquent de la proximité de Dieu aux pauvres parmi les pauvres, souligne le Pape. Il a remis ce dimanche « cette figure emblématique de femme et de consacrée au monde du volontariat : qu’elle soit votre modèle de sainteté ! » s’est-il exclamé.

    Mère Teresa, une « infatigable artisan de miséricorde » dont il espère qu’il nous aidera à comprendre toujours mieux que « notre unique critère d’action est l’amour gratuit, libre de toute idéologie et de tout lien et offert à tous sans distinction de langue, de culture, de race ou de religion ». Le Pape François a enfin demandé à chacun de porter le sourire de la sainte en leur cœur et de l’offrir à leur prochain pour « ouvrir des horizons de joie et d’espérance à tant de personnes découragées ».

    Source : Radio Vatican (MD).

    Texte intégral de l'homélie du Pape François traduite en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Voyage du Pape - Messe pour la JMJ sur le Campus Misericordiae

    Messe pour la Journée Mondiale de la Jeunesse
    sur le Campus Misericordiae

    Texte intégral de l'homélie du Pape traduite en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Voyage apostolique du Pape François en Pologne - 5ème jour

    Programme du Voyage apostolique du Pape François en Pologne
    à l'occasion de la XXXIe Journée Mondiale de la Jeunesse

    Dimanche 31 juillet 2016

    09h30 : Messe de la Journée Mondiale de la Jeunesse sur le Campus Misericordiae
           Missel pour le Voyage apostolique en Pologne
    17h00 : Rencontre avec les bénévoles et le Comité organisateur des JMJ à la Tauron Arena à Cracovie
    18h15 : Cérémonie de congé à l’aéroport de Cracovie-Balice

    Vidéos KTO mises en ligne dès que disponibles

    voyage,pape,françois,pologne,JMJ,messe,Campus Misericordiae,Rencontre,bénévoles,Comité organisateur,Tauron Arena,Cracovie

    JMJ 2016 à Cracovie : Site officiel - Site officiel France

    Programme des JMJ de Cracovie 2016

    Journal des JMJ - Émissions - Reportages - Direct - Replay