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Actualité - Page 17

  • « Grève de la faim » pour attirer l’attention sur le centenaire du Génocide assyrien

    Pour commémorer le génocide de leurs ancêtres au cours des événements de 1915, les membres de la communauté syriaque de la ville de Midyat débuteront le 20 avril prochain une grève de la faim collective, notamment dans le but d’attirer l’attention de l’opinion publique turque et internationale sur les massacres qui frappèrent en 1915 non seulement les Arméniens mais aussi les chrétiens assyriens, chaldéens et syriens présents en Anatolie. C’est ce qu’indiquent des sources turques consultées par l’Agence Fides. La grève de la faim durera 100 heures – par référence aux 100 ans passés depuis les massacres que les chrétiens syriaques commémorent sous le nom de Seyfo, qui en syriaque signifie Epée – et s’achèvera le 24 avril, en concomitance avec les initiatives prévues dans le monde entier pour commémorer le Génocide arménien.

    Les chrétiens syriens, tout comme les arméniens, demandent à ce que le génocide assyro-syriaque soit reconnu par la Turquie. « La Turquie – a déclaré dans un entretien télévisé le Président de l’Union assyrienne de Mardin, Yuhanna Aktas – doit faire les comptes avec son passé et reconnaître le Génocide arménien ». Outre la grève de la faim, les auteurs de l’initiative ont également annoncé une grande marche pour commémorer le Génocide assyrien, marche qui aura lieu au cours du mois de juin.

    L’expression de Génocide assyrien indique la déportation et l’élimination physique de chrétiens appartenant à des communautés assyriennes, chaldéennes et syriaques accomplies en territoire ottoman par le gouvernement dit des Jeunes Turcs. La ville de Midyat, d’origine syriaque, est depuis des siècles le centre d’une enclave chrétienne syriaque dans le sud-est de la Turquie, Actuellement, elle se trouve en province de Mardin. (GV)

    Source : Agence Fides (09/04/2015).

  • Conférence des Evêques de France : La « mention » Chrétiens d’Orient ne doit pas être occultée

    ciric_280230-300x200.jpgPlus qu’une mention sur une affiche, ce sont les chrétiens d’Orient eux-mêmes qui ne doivent pas être occultés.

    La Conférence des Évêques de France (CEF) s’élève, elle aussi, contre cette mesure prise par la régie publicitaire de la RATP visant à faire supprimer le bandeau « au profit des chrétiens d’Orient » qui était prévu sur l’affiche du concert des « Prêtres ».
    Elle constate l’unanimité de cette indignation, par-delà les appartenances religieuses, politiques et sociales. Elle voit dans cette indignation le signe de la solidarité de la France et des français envers des populations persécutées.
    En ce temps de Pâques où les chrétiens fêtent la Résurrection du Christ, la Conférence des Évêques de France tient à rappeler que par-delà cette légitime indignation face à une mesure absurde, c’est la situation des chrétiens d’Orient qui suscite notre profonde inquiétude.
    Plus qu’une mention sur une affiche, ce sont les chrétiens d’orient eux-mêmes qui ne doivent pas être occultés.
    La CEF soutient ces initiatives visant à apporter de l’aide concrète aux chrétiens d’Orient.
    Elle se félicite que la France ait porté au plus niveau international la préoccupation de ces peuples martyrisés. Elle espère vivement que des mesures seront prises pour venir en aide à ces chrétiens ainsi qu’à toutes les minorités persécutées, en Orient et partout dans le monde.
    L’odieux massacre au Kenya appelle à une dénonciation unanime et a une action résolue pour la protection de toutes ces minorités déplacées, martyrisées et assassinées.

    Source : Eglise Catholique en France - Crédit photo : Emilie BUZYN/CIRIC.

  • Inde : Des inondations catastrophiques

    Inde-inondations-c-Caritas.jpgLe bilan des morts et des disparus à la suite des inondations qui ont frappé, à la fin du mois de mars, la région himalayenne du Kashmir, dans le nord de l’Inde, continue à s’alourdir.

    Un village du district de Budgam a été emporté sous un glissement de terrain. Çà et là, des corps ont été retrouvés, mais on craint que d’autres habitants soient encore pris au piège dans la boue et les détritus qui ont submergé des dizaines d’habitations.

    Les opérations d’évacuation gérées par des équipes de la Force nationale de réponse aux catastrophes envoyées par New Delhi se poursuivent. Même s’il ne pleut plus, le niveau de la rivière Jhelun a dépassé les niveaux de garde et pourrait déborder par endroits. Les autorités ont proclamé l’Etat d’urgence et exhorté ceux qui vivent dans les environs du cours d’eau de quitter leurs habitations pour se réfugier dans des lieux plus sûrs.

    Au mois de septembre dernier, des inondations avaient noyé 80% de la région, causant la mort de plus de 250 personnes et faisant des centaines de milliers d’évacués et des milliers de sans-abri. Cette inondation a d’ailleurs été qualifiée de pire inondation des 50 dernières années.

    A. T. (avec Fides)

    Source : InfoCatho.be.

  • Condoléances du Pape François pour le massacre des étudiants dans le campus de l'Université à Garissa (Kenya)

    Voici le texte du télégramme envoyé - au nom du Saint-Père - par le Cardinal Secrétaire d’État Pietro Parolin au Président de la Conférence épiscopale du Kenya, le Cardinal John Njue, archevêque de Nairobi, pour les victimes du massacre perpétré hier dans le campus de l'Université Garissa, qui a entraîné la mort de 147 étudiants et blessé beaucoup d'autres :

    Télégramme

    Son Éminence le Cardinal John Njue
    Président de la Conférence des évêques catholiques du Kenya
    Nairobi

    Profondément attristé par l'immense et tragique perte de vies causée par la récente attaque de l'Université de Garissa, le Saint-Père envoie l'assurance de ses prières et de sa proximité spirituelle aux familles des victimes et à tous les Kényans en ce moment douloureux. Il confie les âmes des défunts à la miséricorde infinie de Dieu Tout-Puissant, et il prie pour que tous ceux qui les pleurent soient consolés dans leur perte. En union avec tous les hommes de bonne volonté à travers le monde, Sa Sainteté condamne cet acte de brutalité insensée et prie pour une conversion de cœur parmi ses auteurs. Il appelle toutes les autorités à redoubler leurs efforts pour travailler avec tous les hommes et les femmes au Kenya afin de mettre fin à cette violence, et pour accélérer l'aube d'une nouvelle ère de fraternité, de justice et de paix.

    Cardinal Pietro Parolin
    Secrétaire d'État

    Texte original en anglais : Salle de Presse du Saint-Siège.

  • Loi santé : la personne humaine risque d’être dégradée

    communiqué,conférence,evêques,france,loi santé,personne humaine,dégradationDepuis hier 31 mars les députés débattent du projet de loi de modernisation du système de santé. La Conférence des Evêques de France attire l’attention du législateur sur plusieurs mesures proposées qui représentent une menace pour la juste compréhension de la personne humaine.

    La suppression du délai de réflexion avant une IVG

    « Aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement (…). C’est toujours un drame et cela restera toujours un drame » affirmait Simone Weil en 1974.

    Adopté en commission des affaires sociales, cet amendement renforce la banalisation de l’avortement : cet acte qui conduit à éliminer la vie. Avorter ne sera jamais banal, quelles qu’en soient les raisons.

    Pour bien des actes de la vie courante, des délais de réflexion sont préservés pour garantir une réelle liberté de choix. Supprimer le délai de réflexion pour les femmes voulant avorter revient à empêcher une réelle liberté de prise de conscience et de choix face à la vie qu’elles portent.

    La suppression du délai de réflexion avant une IVG renforce une conception réduite de la dignité humaine faisant de l’enfant à naître un simple objet dont on doit disposer librement et retirant à la femme enceinte les moyens d’exercice de sa réelle liberté de conscience.

    L’Église continuera à accompagner les couples et les femmes confrontées à cette douloureuse question.

    L’autorisation de prélèvement d’organes

    L’amendement adopté en commission des affaires sociales constitue un retour en arrière, considérant que seule l’inscription sur le registre national qui recense les refus de don d’organe peut empêcher le prélèvement. En l’absence d’inscription sur ce registre, depuis 1994, la famille de la personne décédée doit être interrogée par les médecins afin d’exercer le discernement nécessaire pour décider d’éventuels prélèvements.

    L’amendement, qui propose de retirer cette consultation de la famille afin de permettre plus de prélèvements, est une pure négation de cette ultime liberté qu’il faut laisser au défunt et à sa famille. « En réalité, n’est-ce pas plutôt considérer le corps humain après la mort comme une réserve d’organes exploitable en fonction des besoins de la société… N’est-ce donc pas une forme d’appropriation collective des corps ? » s’interroge le Père Patrick VERSPIEREN (http://ethique-soin.blogs.la-croix.com/don-dorganes-un-amendement-deplorable/2015/03/31/)
    L’amendement en question risque de provoquer une méfiance encore plus grande vis-à-vis du don d’organes et atteindre un but inverse de celui recherché.

    Le don d’organe est un acte d’une grande dignité car il reste un don : expression d’une liberté individuelle pleinement consentie. Il est un signe de solidarité de la part du donneur qu’il faut encourager.

    Si le don d’organe est bien une « priorité nationale », il est urgent de le promouvoir en tant que tel, de mettre en place de véritables campagnes d’information basées sur la responsabilité et la solidarité de chacun. La loi doit proposer à chacun une telle place dans la société et non pas réduire le citoyen à un simple réservoir d’organes.

    Expérimentation des salles de consommation à moindre risque

    La loi Santé propose aussi l’expérimentation pendant six ans des salles de consommation à moindre risque, les « salles de shoot ».

    La CEF considère cette expérimentation comme une prise de risque inconsidérée. Là encore, elle serait une forme de banalisation par la loi de la consommation de drogue. La loi doit poser des limites et non pas proposer des transgressions. Le risque d’émettre un mauvais signal, notamment, à destination des jeunes ne peut pas être couru ainsi. Une telle décision mérite sûrement plus de réflexion et de consultations.

    Les efforts de l’Etat doivent plutôt porter sur deux volets : la prévention et l’accompagnement des personnes dépendantes. Les SCMR apparaitraient comme un échec de ces deux volets.

    Contraception d’urgence pour les mineurs

    La loi Santé en débat propose aussi la banalisation de la contraception pour les mineurs en faisant sauter les dernières barrières que la loi précédente prévoyait : « les mots : « à titre exceptionnel et » et les mots : « et de détresse caractérisés » sont supprimés », indique l’article 3.

    Cette loi indique une conception erronée de la dignité de la personne humaine, ôtant toute responsabilité de la part des adultes vis-à-vis des jeunes mineurs confrontés aux questions affectives et sexuelles. Il est inconcevable que la loi laisse ainsi les adolescents seuls dans l’exercice de ces premiers discernements qu’ils doivent faire sur leur corps, sur leur engagement, sur leur rapport même à la vie. Cet amendement vise encore à déconstruire un peu plus cette responsabilité que la société adulte doit exercer sur les jeunes générations, faisant miroiter à ces dernières une fausse image de la liberté faite, non pas de choix, mais d’absence de choix.

    Communiqué de l'Eglise catholique en France.

  • A l’ONU, l’appel pour les chrétiens d’Orient de SB Sako, Patriarche des chaldéens

    discours,patriarche,louis raphaël sako,conseil de sécurité,onu,chrétiens d'orientDiscours du patriarche Louis Raphaël Sako lors de la réunion du Conseil de Sécurité de l'ONU sur les chrétiens d'Orient

    New York, le 27 Mars 2015

    Au nom des chrétiens de différentes dénominations ethniques et culturelles qui endurent une si sévère épreuve au Moyen-Orient, j’adresse mes remerciements au gouvernement français pour cette initiative humanitaire pionnière, en particulier à Son Excellence Monsieur le Ministre des Affaires étrangères, Monsieur Laurent Fabius.

    Mesdames et Messieurs,

    Comme vous le savez, nous commémorons cette année le centenaire des massacres de chrétiens de l’Empire Ottoman. Aujourd’hui, cent ans après ce drame, nous vivons une situation tragique similaire, ce qui a poussé des milliers de chrétiens à émigrer, et c’est une grande perte pour tous. Pour parler franchement, le soi-disant printemps arabe s’est soldé pour nous de manière négative. Si nous avions eu l’occasion de travailler en harmonie avec la mosaïque de religions et de groupes ethniques de notre région, il y aurait eu une force motrice de progrès vers la paix, la stabilité et l’ouverture dans toute la région.

    De cette tribune, je tiens à exprimer le message suivant inspiré des valeurs humanitaires et spirituelles qui m’habitent. La coexistence positive fondée sur la justice, la paix dans l’amour et la citoyenneté devrait rester une des priorités majeures pour le Conseil de sécurité et l’Organisation des Nations Unies.

    En ce qui concerne mon pays, je lance un appel pressant à soutenir le gouvernement central de Baghdâd et le gouvernement régional du Kurdistan en vue de la libération de la ville de Mossoul, ainsi que des villes de la plaine de Ninive où habitent chrétiens, yezidis et shabaks.

    Je lance un appel solennel à leur fournir une protection internationale avec une zone sécurisée, tout en proclamant hautement le droit à la propriété en faveur des familles déplacées pour qu’elles puissent retourner dans leurs villages et leurs maisons, et reprendre une vie normale. Il faut aussi que le gouvernement central indemnise toutes ces familles pour les dommages et les préjudices subis.

    En fait, le problème majeur réside dans la façon dont les hommes conçoivent la religion, l’État et la citoyenneté. En tout cela, il est important de comprendre le rôle des individus en tant que citoyens et membres de la société civile ; c’est pourquoi il est grave de négliger le rôle de l’éducation religieuse et nationale. Tout cela est proposé pour favoriser une meilleure coexistence dans la paix et le respect.

    Or, les courants extrémistes islamiques refusent de vivre avec les non-musulmans. Ils les persécutent, les arrachent de leurs maisons et détruisent toute trace de leur histoire. Nous sommes devant une crise culturelle qui monopolise le pouvoir, et démantèle les institutions et restreint les libertés. Il est donc urgent d’établir des critères cohérents fondés sur le droit international.

    Comme je m’adresse à cette honorable assemblée, je tiens à souligner que les terroristes qui commettent des crimes contre l’humanité ne doivent pas être assimilés aux innocents fidèles de l’islam. En effet cette majorité musulmane, silencieuse et pacifique, rejette la politisation de leur religion et accepte une convivialité harmonieuse avec les autres dans un État de droit où l’on respecte lois et institutions.

    D’autre part, il est de plus en plus évident que la paix et la stabilité ne peuvent être obtenues exclusivement par les interventions militaires. Celles-ci sont incapables de démanteler cette idéologie féroce qui détruit les vies et le patrimoine culturel.

    Cela exige de la communauté internationale, y compris de la Ligue Arabe et de la Conférence des États Islamiques, qu’elle prenne des décisions aboutissant à des solutions politiques, culturelles et éducatives. La communauté internationale est appelée à protéger efficacement la mosaïque des personnes et des différents groupes d’un même pays, en dépit de leurs origines religieuses et ethniques diverses, en assurant la promotion de leurs droits et en renforçant les relations entre eux.

    Je voudrais attirer votre attention sur le risque de voir émerger de nouveaux courants aussi néfastes que Daesh (ISIS). Lorsque des millions d’enfants et de jeunes sont privés d’écoles et d’éducation, lorsque des millions de réfugiés sont rassemblés dans des camps, privés du strict minimum de soins et d’attention, alors la frustration, le chômage et la pauvreté peuvent facilement les conduire à la vengeance et à l’extrémisme.

    Par conséquent, nous proposons un processus dont l’ambition est de sortir de ce cercle vicieux.

    1. Réclamer, à partir des Nations Unies, la mise à jour exécutive des constitutions et des lois de manière à réaliser la justice, l’égalité et la dignité pour tous, en tant que citoyens, sans discrimination aucune. Il est impératif que nos pays se dotent de gouvernements exigeant l’égalité entre tous les citoyens. Ces gouvernements doivent être responsables de la protection de tout le monde et garantir les droits de tous les citoyens. La simple énumération de ces besoins fondamentaux témoigne de leur manque cruel.

    2. Recommander aux responsables religieux d’adopter un discours modéré, qui aide à approfondir le sens de la citoyenneté. Quelle que soit la diversité de leurs confessions religieuses ou de leurs appartenances ethniques, les gens devraient s’identifier d’abord et principalement à leur territoire national. Un facteur important nous fait défaut : c’est la réforme des programmes d’enseignement qui permettrait d’approfondir les principes de respect entre les citoyens, de promouvoir la tolérance et le dialogue, et de condamner la division, la haine et l’esprit de vengeance. Tout cela est nécessaire pour protéger les générations futures des tristes conséquences de positions qui aboutissent à l’extrémisme, à la violence et au terrorisme. Ce but ne pourra être atteint que si les responsables religieux présentent une exégèse appropriée de leurs textes sacrés, et ne tolèrent pas l’utilisation de phrases ou passages violents sortis de leur contexte.

    3. Adopter une loi selon laquelle sont considérés comme criminels et tenus pour responsables les États et les individus qui soutiennent des groupes terroristes, que ce soit financièrement ou intellectuellement ou des armes . Leurs actes sont des crimes contre la paix sociale.

    4. Promouvoir le développement des organisations pour les droits humains et les libertés civiles. Ces organisations devraient avoir un rôle exécutif et non pas seulement consultatif, tant sur le plan régional qu’international.

    Merci à vous tous et soyez assurés de mes meilleurs vœux de succès dans votre service humanitaire.

    Source : L'Oeuvre d'Orient & La Vie - Laurence Desjoyaux

  • Journée mondiale de la Trisomie 21

    NB : Je ne suis nullement attaché à cette pléthore de "Journées mondiales" qui relèvent le plus souvent de la plus vaste hypocrisie, lorsqu'elles ne sont pas simplement d'une niaiserie affligeante (cf. la "Journée mondiale du bonheur" votée par l'ONU en 2002 pour être célébrée le 20 mars de chaque année...). Le sujet aujourd'hui est suffisamment sérieux pour mériter d'être signalé, surtout en ce temps où l'eugénisme frappe fort à toutes les portes...

    Documentaire - Jérôme Lejeune - Aux plus petits d'entre les miens

    Médecin, chercheur en génétique, Jérôme Lejeune acquiert une renommée internationale grâce à sa découverte de la Trisomie 21. Avec cette découverte, il veut profondément changer le regard posé sur les enfants trisomiques, qui affluent par centaines à sa consultation, et n'a qu'une obsession : pouvoir un jour guérir cette anomalie. En 1969, l'ascension fulgurante de ce jeune scientifique va pourtant être stoppée en plein vol. Alors qu'il reçoit à San Francisco le Prix William Allen, il prononce un discours défendant la dignité humaine des embryons. Il prit conscience que sa découverte allait être utilisée contre ses convictions, en ouvrant la porte à l'avortement des embryons souffrant d'anomalies génétiques. 20 ans après sa mort, le réalisateur François Lespés s'interroge sur ce personnage au destin inattendu, cette personnalité complexe qui dérange encore aujourd'hui les autorités politiques. Coproduction ALOEST PRODUCTIONS/KTO - 2015. Réalisé par François Lespès. Diffusion KTO du 20 mars 2015, 20h40.

  • Mgr Tomasi : « un recours à la force contre l'Etat islamique peut s'avérer nécessaire »

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    C’est une interview qui a suscité de nombreuses réactions depuis le début de la semaine. Dans un entretien donné au site catholique américain Crux, Mgr Silvano Tomasi a ainsi déclaré qu’un « recours à la force serait nécessaire » contre l’Etat Islamique si la voie politique était insuffisante en Irak et en Syrie. Une prise de position ferme de la part de l’observateur permanent du Saint-Siège auprès de l’ONU à Genève (Suisse).

    « Nous devons stopper cette sorte de génocide » affirme Mgr Tomasi, qui accuse le groupe djihadiste de commettre des atrocités à grande échelle contre les chrétiens, des actes qui justifieraient selon lui une intervention internationale. Mgr Tomasi serait favorable à une solution politique, mais lorsque le dialogue se révèle impossible, a-t-il admis, la communauté internationale doit prendre ses responsabilités pour protéger la vie et les droits fondamentaux de ces personnes. Interrogé par Anne-Sophie Saint-Martin, Mgr Tomasi précise que cette intervention, si elle a lieu, devra se faire  « à certaines conditions ».

    Entretien à écouter sur Radio Vatican.

  • Une journée de prière et de jeûne pour les chrétiens d’Orient le vendredi 20 mars 2015

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    La Neuvaine se joint à l’appel à la prière et au jeûne en soutien aux chrétiens d’Orient lancé par les évêques de la région Rhône Alpes. Prions aussi pour que la France soit fidèle à sa mission envers les chrétiens d’Orient et assume sa responsabilité enracinée dans l’histoire et dans sa vocation !

    Les évêques de la Région Rhône-Alpes proposent une journée de prière et de jeûne pour les chrétiens d’Orient vendredi 20 mars

    « Alors que la tragédie des chrétiens d’Orient et de tant d’autres minorités n’en finit pas d’apporter chaque jour son lot de mauvaises nouvelles, nous invitons les catholiques de nos diocèses et plus généralement les chrétiens et les hommes de bonne volonté qui le souhaitent à une journée de jeûne et de prière à cette intention, le 20 mars 2015.

    En ce vendredi de Carême qui correspond au dernier jour de l’hiver, nous intensifierons notre prière vers Dieu pour qu’adviennent le printemps de la paix et le retour de la vie, dans l’espérance de la Résurrection.

    À Lyon, un rassemblement silencieux se tiendra devant la cathédrale Saint Jean, vendredi 20 mars à 18h30, en présence de Mgr Mouché, archevêque syriaque-catholique de Mossoul.
    À Annecy, une Messe sera célébrée en l’église Notre-Dame de Liesse, vendredi 20 mars à 18h30.
    À Bourg en Bresse, une Messe sera célébrée, à la co-cathédrale Notre-Dame, vendredi 20 mars à 18h30.
    À Valence, une Messe sera célébrée à la cathédrale vendredi 20 mars à 19h30, précédée de la conférence de Carême : « La joie du service des autres ».
    À Viviers, une Messe sera célébrée à la cathédrale, vendredi 20 mars à 12h. »

    Mgr Philippe Ballot, archevêque de Chambéry, Maurienne et Tarentaise
    Cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon
    Mgr François Blondel, évêque de Viviers
    Mgr Yves Boivineau, évêque d’Annecy
    Mgr Guy de Kerimel, évêque de Grenoble-Vienne
    Mgr Dominique Lebrun, évêque de Saint-Étienne
    Mgr Patrick Le Gal, évêque auxiliaire de Lyon
    Mgr Pierre-Yves Michel, évêque de Valence
    Mgr Pascal Roland, évêque de Belley-Ars

    Mgr Pascal Gollnisch, directeur de l’Œuvre d’Orient

    France - La Neuvaine.

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  • Les chrétiens du Pakistan expriment leur colère

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    Des milliers de chrétiens ont manifesté ce lundi à Lahore, la deuxième ville du Pakistan, au lendemain d’un double attentat contre deux églises qui ont fait une quinzaine de morts et des dizaines de blessés.

    Selon l’AFP, les manifestants chrétiens brandissaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire : « Pourquoi nous tuez-vous ? », « Laissez-nous vivre, arrêtez de tuer des chrétiens ». Ces attaques simultanées, perpétrées à la sortie de deux églises situées à environ 500 mètres l’une de l’autre, ont été revendiquées par les talibans. Les chrétiens ont réagi avec colère en lynchant deux hommes soupçonnés d’être liés aux kamikazes, saccagé des voitures et des arrêts d’autobus. Plus de mille policiers ont été déployés dans ce quartier où s’entassent des dizaines de milliers de chrétiens. Des cérémonies ont été organisées dans les églises.

    Des menaces de plus en plus pressantes

    Malgré les appels au calme lancés par le clergé, des chrétiens ont bloqué des routes à Karachi et incendié des pneus en guise de protestation. Ils craignent pour leur avenir et demandent justice et protection. En Inde et au Pakistan, la minorité chrétienne est victime d’attaques incessantes.

    Lire la suite de cet article sur le site de Radio Vatican.

  • ASIE/PAKISTAN - « Journée de prière pour nos martyrs » après le double attentat suicide contre des églises du 15 mars

    Temps de deuil et de prière pour l’Eglise au Pakistan : aujourd’hui, 16 mars, les fidèles catholiques célèbrent une « Journée spéciale de prière pour les vies innocentes des martyrs ». C’est ce qu’annonce, dans une note envoyée à l’Agence Fides, S.Exc. Mgr Sebastian Shaw OFM, Archevêque de Lahore, après le double attentat suicide qui a frappé hier, Dimanche 15 mars, l’église Saint Jean et le temple protestant dit église du Christ de Youhanabad, faubourg entièrement chrétien de la périphérie de Lahore, faisant 15 morts et plus de 80 blessés.

    L’Archevêque annonce que les écoles et les instituts catholiques seront fermés aujourd’hui afin de commémorer les victimes innocentes et qualifie de « martyrs » ceux qui « ont donné leur vie dans l’incident pour sauver des milliers de personnes ». « Leur sang n’aura pas été versé en vain et portera la paix à tous les citoyens du Pakistan ». Condamnant les actes barbares et demandant davantage d’engagement au gouvernement en ce qui concerne la protection des chrétiens pakistanais, Mgr Shaw prie « afin que la paix et l’harmonie prévalent dans le pays » invitant tous les citoyens à « rejeter ouvertement la violence et le terrorisme ».

    L’Archevêque de Karachi et Président de la Conférence épiscopale du Pakistan, S.Exc. Mgr Joseph Coutts, a lui aussi publié une note, envoyée à l’Agence Fides, dans laquelle il affirme : « L’Eglise catholique condamne fermement les brutales attaques suicides contre les églises de Lahore. Nous supplions le gouvernement du Pendjab et le gouvernement fédéral du Pakistan afin qu’ils prennent des mesures adéquates en vue de la protection des églises et des minorités religieuses au Pakistan. Nous demandons aux fidèles de ne pas réagir par la violence et de collaborer aux enquêtes menées par les forces de police. Nous prions Notre Seigneur Jésus Christ pour la guérison des blessés et pour les familles des victimes ».

    « Le gouvernement, les partis politiques, les responsables religieux et tout citoyen du Pakistan – a rappelé Mgr Coutts – sont appelés à prendre position contre les forces extrémistes, aux côtés de leurs frères et sœurs chrétiens. D’atroces épisodes comme celui-ci exigent que toute la nation s’unisse contre le terrorisme. Les croyants de toutes les religions doivent promouvoir la paix et l’harmonie sociale et se protéger réciproquement contre le terrorisme. L’Eglise catholique et les minorités religieuses au Pakistan demandent au gouvernement d’adopter des mesures efficaces pour garantir la liberté de religion dans le pays ». (PA)

    Source : Agence Fides 16/03/2015.

  • Vanuatu : Jusqu'à 90% des habitations de la capitale endommagées par le cyclone, l'état d'urgence déclaré - Proximité du Pape François

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    Le très puissant cyclone qui a frappé l'archipel du Vanuatu a endommagé jusqu'à 90% des habitations de la capitale Port Vila, a déclaré dimanche l'ONG humanitaire Oxfam.

    « Cela sera vraisemblablement l'une des pires catastrophes jamais vues dans le Pacifique, l'ampleur des besoins humanitaires sera énorme », a déclaré le directeur d'Oxfam pour le Vanuatu, Colin Collet van Rooyen. « Des communautés entières ont été emportées », a-t-il ajouté.

    Source et article à lire sur 20 Minutes.

    « J’exprime ma proximité à la population de Vanuatu, au-delà de l’Océan Pacifique, fortement frappée par un cyclone. Je prie pour les défunts, pour les blessés et pour les sans-abri. Je remercie ceux qui se sont immédiatement mobilisés pour apporter des secours et de l’aide », a dit le Pape François après l’Angélus de ce dimanche.

  • Pakistan : double attentat meurtrier contre la minorité chrétienne - Douleur du Pape François

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    REUTERS/Mohsin Raza

    Selon un dernier bilan fourni par les services de secours, au moins 14 personnes sont mortes et des dizaines d’autres ont été blessées ce 15 mars dans une double explosion à Lahore, au Pakistan. Les déflagrations ont retenti dans un quartier chrétien, au moment de la messe du dimanche. Cet attentat s’ajoute à la longue liste des violences contre les minorités religieuses du pays.

    Source et article sur RFI (Radio France Internationale).

    Lors de l'Angélus (à écouter plus haut), le Pape François s'est exprimé sur ce nouveau drame en des termes forts : « C'est avec douleur, avec beaucoup de douleur, que j'ai appris les attentats terroristes d'aujourd'hui, contre deux églises de la ville de Lahore, au Pakistan, qui ont provoquée de nombreux morts et blessés. Ce sont des églises chrétiennes. Les chrétiens sont persécutés. Nos frères versent leur sang, seulement parce qu'ils sont chrétiens. Alors que j'assure de ma prière les victimes et leurs familles, je demande au Seigneur, j'implore du Seigneur, source de tout bien, le don de la la paix et de la concorde pour ce pays, et je demande que cette persécution contre les chrétiens, que le monde tente de cacher, finisse, et que vienne la paix. »

    Source : Radio Vatican.

  • « Etre différent, c’est normal »

    A l’approche de la journée mondiale de la trisomie 21 (21 mars), la Fondation Jérôme Lejeune lance sur les réseaux sociaux une vidéo à partager : « Etre différent, c’est normal ».

    En interpellant sur la norme et la différence, cette vidéo rappelle que la diversité est la seule « norme » acceptable pour l’humanité. L’appréhension de l’anormalité et de la normalité dépend du regard de chacun. Dans la réalité, chacun peut se sentir « normal » ou « anormal » selon le contexte dans lequel il se trouve.

    Le lancement de cette vidéo poursuit la mobilisation de la Fondation Jérôme Lejeune pour la journée mondiale de la trisomie 21. Elle amplifie la journée intense consacrée à cette pathologie au Parlement européen le 10 mars. Cette journée a été marquée par l’intervention du commissaire européen à la recherche, M. Carlos Moedas qui a redit son engagement personnel pour la recherche au bénéfice des personnes atteintes de déficience intellectuelle, après avoir exprimé une émotion forte à Eléonore et Robin, deux jeunes Français atteints de trisomie 21 : « Vous êtes extraordinaires » « La seule déficience dans la vie, c’est la mauvaise vision de l’autre ».

    La vidéo est mise en ligne ce vendredi 13 mars sur le site de la Fondation Jérôme Lejeune et sur Youtube.

  • Syrie : l’AED lance une Journée mondiale de prière pour la paix le 15 mars 2015

    Le Patriarche d’Antioche Grégoire III, à la tête de l’Église melkite gréco-catholique, appelle à une journée de prière pour la Syrie le 15 mars 2015, quatre ans après le début de la guerre. L’AED, qui a déjà versé 6,3 millions d’euros pour les réfugiés syriens depuis 2011, soutient cet appel.

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    Participer à la Journée mondiale de prière pour la paix en Syrie

    Les 15 et 16 mars 2011, il y a quatre ans, ont commencé les manifestations contre Bashar El-Assad dans la ville syrienne de Deraa. Aujourd’hui, la situation de millions de personnes en Syrie est catastrophique. L’avancée du prétendu Etat islamique dans la région du nord-est (cf. les dernières nouvelles reçues hier), l’extension du conflit aux pays voisins et la diminution de l’attention de la communauté internationale la rend encore plus tragique.

    L’AED, qui a déjà versé 6,3 millions d’euros depuis le début de la guerre, fournit  une aide d’urgence aux familles de Damas, Alep, Homs et d’autres zones touchées : aliments de base, médicaments, soins médicaux d’urgence, la location d’hébergements ainsi que les frais de chauffage et d’électricité. Tout ceci soulage dans l’immédiat mais ne met pas fin à la guerre.

    L’AED appelle donc à prier le 15 mars en communion avec les chrétiens de Syrie et du Proche-Orient pour la fin de la guerre et de la souffrance, à la suite de l’appel du Patriarche Grégoire III : « Le carême est un chemin de croix, et les pays arabes en sont à leur cinquième année de chemin de croix. La tragédie que nous vivons aujourd’hui est la plus importante depuis la seconde guerre mondiale. Nous sommes désemparés devant la douleur et la souffrance de toutes les communautés chrétiennes et musulmanes de notre peuple. Tout le monde a été touché par la pauvreté, la faim, le froid, le manque de vêtements, les maladies et invalidités. Du plus profond de nos souffrances et de notre douleur en Syrie, nous crions avec notre peuple qui souffre, qui marche sur le chemin sanglant de la Croix, et lançons un appel au monde entier : Assez ! Assez ! Assez de la guerre en Syrie ! Nous croyons en la puissance de la prière et nous appelons à une journée de solidarité avec la Syrie, une journée de prière pour l’espérance et la paix en Syrie. »

    Cette journée de prière suivra l’appel du Pape François à prier pour la paix les 13 et 14 mars.

    Source et renseignements complémentaires : AED (Aide à l'Eglise en Détresse)

    L'appel du Patriarche Grégoire III :

    « Le Carême est un Chemin de Croix, et les pays arabes en sont à leur cinquième année de chemin de croix. Du plus profond de nos souffrances et de notre douleur en Syrie, nous crions avec notre peuple qui souffre, qui marche sur le chemin sanglant de la Croix, et lançons un appel au monde entier : Assez ! Assez ! Assez de la guerre en Syrie ! Nous croyons en la puissance de la prière et nous appelons à une journée de solidarité avec la Syrie, une journée de prière pour l'espérance et la paix en Syrie. »

  • Les évêques dénoncent une attaque contre la liberté religieuse à l’école

    Obligation de "neutralité" dans les structures privées accueillant des mineurs

    COMMUNIQUE

    Jeudi 12 mars 2015 sera présentée à l’Assemblée nationale une proposition de loi « visant à étendre l’obligation de neutralité à certaines personnes ou structures privées accueillant des mineurs et à assurer le respect du principe de laïcité » (*).

    Face à ce texte, la Conférence de Évêques de France exprime sa très vive inquiétude. Elle y voit l’inspiration manifeste d’une méfiance vis-à-vis des religions dont il faudrait protéger les mineurs.

    Elle souligne que lier le respect de la neutralité à la nature du financement est un dévoiement de la lettre comme de l’esprit de la loi de 1905 qui régit notre laïcité.

    Elle dénonce fermement une nouvelle attaque qui cherche non plus seulement à reléguer les religions dans la sphère privée mais dorénavant à les cacher en les faisant disparaître progressivement de tout lieu de vie sociale.

    En minant ainsi peu à peu, insidieusement, notre modèle de laïcité, ce n’est pas un Etat laïc qu’on veut garantir mais promouvoir une société vidée de toute référence religieuse. Nous ne pouvons l’accepter ; cela ne correspond en rien à la réalité de notre société.

    + Georges PONTIER
    Archevêque de Marseille
    Président de la CEF

    (*) : proposition de Loi Laborde (RDSE, Haute-Garonne).
    Intéressante analyse de Jean Baptiste Le Roux à lire sur Radio Notre-Dame.

  • ONU : une réunion sur les chrétiens d'Orient le 27 mars - Entretien avec Marc Fromager, directeur de l'AED

    La défense des Chrétiens d’Orient et des minorités persécutées sera au cœur d’une réunion le 27 mars prochain, au Conseil de Sécurité de l’Onu. Le ministre français des affaires étrangères, Laurent Fabius, a annoncé qu’il présiderait personnellement cette réunion pour signifier l’engagement de la France sur ce dossier.

    Samedi, Nicolas Sarkozy a reçu à son domicile parisien trois grands témoins du drame actuellement vécu par les chrétiens. Ils étaient accompagnés de Marc Fromager, directeur de la Fondation Aide à l'Église en détresse qui organise ces jours-ci la 7° Nuit des Témoins dans six diocèses de France. Cette initiative réunit des témoins exceptionnels venus d’Irak, Nigéria, Liban, Colombie, afin de défendre la liberté religieuse dans le monde. La rencontre avec le président de l’UMP s’est faite dans la plus grande discrétion et a duré plus d’une heure.

    Évoquant ce que les chrétiens vivent et subissent au quotidien au Proche et au Moyen Orient, l’ancien président Sarkozy a parlé d’épuration religieuse commise en silence et a insisté sur le rôle historique de la France dans la protection des chrétiens de cette région. L’entretien a également permis d’aborder la situation du Nigéria, mis à feu et à sang par Boko Haram, de l’Irak qui s’enfonce chaque jour davantage dans le chaos, l’affaiblissement de la laïcité en Turquie, le soutien des Kurdes aux chrétiens et la situation au Liban qui subit de plein fouet les conséquences de la guerre en Syrie.

    Joint au téléphone par Cyprien Viet, le directeur de l’AED, Marc Fromager, salue une prise de conscience du grand public et du monde politique.

    A écouter et/ou lire sur Radio Vatican.

  • Rappel : mobilisation contre l'euthanasie, mardi 10 mars

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    Philippe Pozzo di Borgo parraine le mouvement « Soulager mais pas tuer » qui rassemble des professionnels et usagers de la santé opposés à toutes formes d’euthanasie et de suicide assisté. Il appelle à un rassemblement le 10 mars à 13h à proximité de l’Assemblée nationale, à quelques heures du débat parlementaire pour demander aux députés de clarifier la proposition de loi Claeys-Leonetti et de s’opposer à toute forme d’euthanasie.

    LORS d’une conférence de presse ce 5 mars, le mouvement « Soulager mais pas tuer » a analysé les dangers et les ambiguïtés de la proposition de loi Claeys-Leonetti sur la fin de vie, et formulé des propositions pour améliorer ce texte qui sera examiné à l’Assemblée nationale à partir du 10 mars prochain.

    Philippe Pozzo di Borgo est intervenu pour expliquer en quoi la liberté de ceux qui veulent l'euthanasie n'est pas séparable de la liberté de ceux qui ne veulent pas mourir, car la mort n'est pas un droit, que le suicide — même assisté — n'est pas un droit.

    Source et texte de l'intervention : Liberté politique.com

  • Père Toufic dans la Nef : "C’est notre devoir de rester"

    Portrait du Père Toufic Eïd, curé de Maaloula (Syrie)

    dans le dernier numéro de La Nef n°268

    portrait,Père Toufic,La Nef,Maaloula,Syrie

    Cliquer sur l'image ci-dessus pour la lecture en grand format

    Source : SOS Chrétiens d'Orient.

  • Le 8 mars, journée de la femme, se tiendra à Paris le Forum international pour l'abolition de la GPA (Gestation Pour Autrui).

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    La Gestation Par Autrui (GPA) les faits, les enjeux et réponses.

    Avec l'intervention d'experts internationaux
    (juristes, psychologues, philosophes, sociologues, économistes).

    Rendez-vous le 8 mars 2015 de 15h à 18h

    Palais Brogniart, 28 Place de la Bourse,
    75002 Paris

    Inscrivez vous en ligne en cliquant ici.

    Source : L’Observatoire Socio Politique du Diocèse de Frejus Toulon.