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  • 10h00, Basilique Saint-Pierre : Sainte Messe célébrée par le Pape François

     
     
    Texte intégral de l'homélie (en français) disponible sur le site internet du Vatican.

  • Messe de l'Epiphanie : Alleluia Vidimus

    Abbaye de Solesmes
     
    IN EPIPHANIA DOMINI

    Allelúia, allelúia.
    V/. (Matth. 2, 2). Vídimus stellam eius in Oriénte, et vénimus cum munéribus adoráre Dóminum. Allelúia.
    V/. Nous avons vu son étoile à l’Orient et nous sommes venus avec des présents adorer le Seigneur. Alléluia.

    Ecouter (wma).

    Commentaire musical et spirituel sur le Blog de L'Homme Nouveau.
  • Méditation - L'or, l'encens et la myrrhe

    « Aimable Jésus, il est vrai que, dans cette grotte, je vous vois couché sur un peu de paille en même temps que réduit à la dernière misère et au plus profond abaissement ; mais je sais, grâce aux lumières de la foi, que vous êtes le Fils de Dieu, venu du ciel afin de nous sauver. Je vous reconnais donc, et je vous confesse pour mon souverain Maître et pour mon Sauveur. Hélas ! je n'ai rien à vous offrir. L'or de l'amour me fait défaut, car j'ai aimé les créatures, j'ai aimé mes propres satisfactions, mais je ne vous ai pas aimé, vous qui êtes aimable à l'infini. L'encens de la prière me manque ; car j'ai misérablement vécu sans penser à vous. La myrrhe de la mortification me manque aussi, puisque, pour contenter mes désirs déréglés, j'en suis venu si souvent à mépriser votre infinie bonté. Quel présent vais-je donc vous offrir ?
    Je vous offre mon cœur tout souillé, tout pauvre qu'il est ; acceptez-le et changez-le. Vous êtes venu sur la terre précisément pour nous laver de nos péchés dans votre sang et pour faire des âmes pécheresses autant d'âmes agréables à Dieu. Donnez-moi donc vous-même cet or, cet encens, cette myrrhe. Donnez-moi l'or de votre amour ; donnez-moi l'esprit de prière ; donnez-moi le désir et la force de me mortifier pour ne vous causer jamais aucun déplaisir. Je prends l'engagement de vous obéir et de vous aimer ; mais vous connaissez ma faiblesse ; accordez-moi la grâce de vous être fidèle.
    Vierge sainte, vous qui avez accueilli les Rois Mages avec tant d'amour, et qui les avez si charitablement encouragés, daignez aussi m'accueillir et m'encourager ; car, moi aussi, je viens visiter votre divin Fils, et m'offrir à lui. Ma Mère, votre intercession est toute mon espérance. Recommandez-moi à Jésus. Je vous confie mon âme, ma volonté ; liez-la pour toujours à l'amour de Jésus. »

    Une année de méditations par Saint Alphonse de Liguori, Traduction nouvelle par le Père Eugène Pladys, Nouvelle édition, Tome I (6 janvier), Delhomme et Briguet, Editeurs, Paris - Lyon, 1892.

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    (Artiste inconnu)

  • Messe de l'Epiphanie : Introit et Graduel

    Abbaye de Solesmes
     
    IN EPIPHANIA DOMINI

    Ant. ad Introitum. Malach. 3, 1 ; 1 Par. 29, 12.
    Ecce, advénit dominátor Dóminus : et regnum in manu eius et potéstas et impérium.
    Voilà que vient le Seigneur Maître ; le pouvoir est dans sa main, la puissance et l’empire.

    Ps. 71, 1.
    Deus, iudícium tuum Regi da : et iustítiam tuam Fílio Regis.
    O Dieu, donnez au roi votre jugement et au fils du roi votre justice.

    V/. Glória Patri.

    Graduale. Ibid., 6 et 1.
    Omnes de Saba vénient, aurum et thus deferéntes, et laudem Dómino annuntiántes.
    Tous ceux de Saba viendront, ils apporteront de l’or et de l’encens, et publieront les louanges du Seigneur.

    V/. Surge et illumináre, Ierúsalem : quia glória Dómini super te orta est.
    V/. Lève-toi, et resplendis, Jérusalem ! Car la gloire du Seigneur s’est levée sur toi.
  • Samedi 6 janvier 2018

    Épiphanie de Notre Seigneur

    La fête de l’Épiphanie tombant cette année un samedi, elle sera célébrée le dimanche 7 janvier dans certains pays, comme en France.

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    Jan de Bray (1627–1697), L'adoration des Mages
    Historical Museum Bamberg, Bamberg (Allemagne)

    (Crédit photo)

  • Anima Christi

    Musique : Mgr Marco Frisina
    Paoline Editoriale Audiovisivi © Figlie di San Paolo
     
    Anima Christi, sanctifica me.
    Corpus Christi, salva me.
    Sanguis Christi, inebria me.
    Aqua lateris Christi, lava me.
    Passio Christi, conforta me.
    O bone Iesu, exaudi me.
    Intra tua vulnera absconde me.
    Ne permittas me separari a te.
    Ab hoste maligno defende me.
    In hora mortis meae voca me.
    Et iube me venire ad te,
    Ut cum Sanctis tuis laudem te
    In saecula saeculorum. Amen.
    Âme du Christ, sanctifiez-moi,
    Corps du Christ, sauvez-moi,
    Sang du Christ, enivrez-moi,
    Eau du côté du Christ, lavez-moi,
    Passion du Christ, fortifiez-moi.
    Ô bon Jésus, exaucez-moi.
    Dans vos blessures, cachez-moi.
    Ne permettez pas que je sois séparé de vous.
    De l’ennemi défendez-moi.
    À ma mort appelez-moi.
    Ordonnez-moi de venir à vous.
    Pour qu’avec vos saints je vous loue,
    Dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il.

  • 1er vendredi du mois, dédié au Sacré-Coeur de Jésus

    « Soyez simples comme des colombes » (Mt 10, 16)

    « Le Sauveur : Comprenez la sainte liberté et simplicité avec lesquelles vous devez vivre avec moi. Je ne demande pas une tension pénible de l'esprit pour être attentif à penser à moi à tout instant. Lorsque vous aurez passé quelque temps sans me produire d'actes d'amour, au lieu de vous désespérer et de croire que vous ne pourrez jamais faire ce que j'attends de vous, venez à moi simplement. Dites-moi avec une tendresse pleine d'abandon, que vous m'aimez ; demandez-moi pardon de m'avoir oublié et n'y pensez plus. Agissez de même dans ces mille petites faiblesses dont vos journées sont remplies. Ne vous désolez pas de n'avoir pas fait mieux que vous ne pouvez. Offrez-moi tous les petits sacrifices que vous voudrez, mais gardez-vous bien de passer votre temps à compter tout ce que vous faites. Les petits sacrifices que je demande doivent m'être offerts spontanément : Dieu aime celui qui donne joyeusement (1).

    Parlez-moi comme un ami parle à son ami, un enfant à sa mère. « Je ne vous appelle plus des serviteurs, mais des amis » (2), disais-je à mes disciples. « Vous avez reçu l'esprit d'adoption des enfants », vous dit S. Paul (3). Imaginez-vous que vous êtes un enfant admis près de moi à Nazareth et comportez-vous avec moi comme vous feriez si cette imagination était une réalité. Mon Cœur fait ses délices de ces épanchements plein de candeur et de simplicité : Mes délices sont d'être avec les enfants des hommes (4).

    [...] Si vous êtes fidèles à cet abandon plein de simplicité, lors même que vous ne sentiriez pas ma présence, je serai en vous. « J'aime ceux qui m'aiment. » (5) « Si quelqu'un m'aime, mon Père l'aimera, et nous viendrons à lui et nous ferons en lui notre demeure. » (6)
    Je veux jouir du cœur de mes amis, c'est dans leur affection que mon Cœur trouve son bonheur, et si même je ne leur fais pas sentir ma présence, je suis avec eux et ils font ma joie quand ils m'aiment.
    ............
    [...] Examinez-vous maintenant sur votre manière d'agir avec moi. Êtes-vous venu à moi habituellement avec simplicité ? Avez-vous été pour moi ce qu'un ami est pour son ami ?
    ............
    Pardonnez-moi, Seigneur, d'avoir si peu pratiqué jusqu'ici cette simplicité que votre divin Cœur aime tant et que vous avez recommandée de tant de manières à vos disciples. Je veux commencer aujourd'hui à aller à vous en toutes circonstances avec simplicité, pour vous dire que je vous aime, pour vous demander pardon de mes sottises, pour vous demander vos lumières, vos conseils et votre secours. »

    1. "Hilarem datorem diligit Deus", II Cor. 9, 7. - 2. Jn 15, 15. - 3. Rm 8, 15. - 4. "Deliciae meae esse cum filiis hominum", Prov. 8, 31. - 5. Prov. 8, 17. - 6. Jn 14, 25.

    P. Léon Dehon (1843-1925), L'année avec le Sacré-Cœur - Méditations pour tous les jours de l'année, Tome I (10 janvier), Établissements Casterman, Tournai - Paris, s.d. (1910).

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  • Jean-Marie Le Méné commente le sondage publié par le journal La Croix

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    Un sondage publié par le journal La Croix sur « les Français et la bioéthique » montrerait une opinion publique largement favorable à la GPA, à la « PMA pour toutes », à la légalisation de l’euthanasie ou à la modification génétique des embryons humains [1]. Jean-Marie le Méné évoque pour Gènéthique les risques d’un débat entendu.

    Gènéthique : La Croix proposait aujourd’hui un sondage sur les questions de bioéthique. Ce sondage est présenté comme le signe d’un basculement de l’opinion publique sur ces sujets, notamment sur la fin de vie, la GPA... Pensez-vous que ce soit le cas ? Pourquoi ?
    Jean-Marie Le Méné : Commencer un débat de bioéthique avec un sondage est pour le moins regrettable. Je ne crois pas qu’on fasse de vraie politique à coups de sondages, sauf peut-être pour des questions matérielles, savoir s’il faut construire un rond-point dans le village… Mais pas pour demander à la population si elle souhaite qu’on autorise la fabrication, moyennant finances, de bébés sans père. Ni pour demander à l’opinion publique si elle envisage qu’on supprime les vieux, les handicapés et les malades. Ces questions sont trop graves pour faire l’objet d’opinions. Les personnages politiques qui ont une certaine épaisseur se moquent des sondages. Robert Badinter a fait abolir la peine de mort indépendamment des sondages.

    G : Pensez-vous que, sur ces questions, les enjeux soient bien posés et que les Français aient les informations suffisantes pour prendre une position argumentée ? Si non, quel est le risque de publier ces résultats ?
    JMLM : Le problème est que nous ne faisons plus de politique mais de la gestion. Les grands principes et le bien commun ne sont plus des priorités. Il faut être pragmatique et trouver une solution, la moins mauvaise possible. C’est « L’empire du moindre mal » décrit par le philosophe Jean-Claude Michéa dans son essai sur la philosophie libérale. Peu importe la vérité, le droit arrangera les choses. L’essentiel est de ne pas faire de vagues, de rester bienveillant et ouvert à la liberté de l’autre.
    Dans ces conditions, il est utile de nourrir un débat permettant de tendre vers une position consensuelle ou au moins acceptable par tous. Peu importe les questions et les réponses. Elles n’ont aucun intérêt, mais juste pour objet d’entretenir l’illusion du « prendre soin » et du « vivre ensemble ». C’est ce qui s’est passé aux États généraux entre 2009 et 2011. C’est ce qui risque fort de se passer en 2018. Commenter les sondages est une activité « occupationnelle » pour distraire l’opinion le temps que la technoscience et le marché s’entendent entre eux sur les transgressions à venir.

    G : L’article met en cause une « sacralisation » de la liberté individuelle. Le philosophe Pierre Le Coz « ne cache pas son inquiétude » : « On arrive à une logique selon laquelle la liberté individuelle l’emporte clairement et de manière quasi automatique. Mais si c’est le cas, nous prenons le risque d’aller vers la fin de l’éthique ». Êtes-vous d’accord avec ce constat ?
    JMLM : Je regrette que quelqu’un comme Pierre Le Coz « ne cache pas son inquiétude » après avoir été vice-président du CCNE pendant des années jusqu’en 2012. Que n’a-t-il manifesté son inquiétude quand il était encore au CCNE et qu’il aurait pu déjà s’opposer à la recherche sur l’embryon, à l’eugénisme, à la loi Léonetti qui anticipait l’euthanasie, etc. ?
    Nous ne prenons pas « le risque d’aller vers la fin de l’éthique », c’est fait. La création d’un comité d’éthique étatique signe la fin de l’éthique dès lors que celle-ci est discutée et mise aux voix.

    G : Quels sont les véritables enjeux de la révision des lois de bioéthique ?
    JMLM : Il n’y en a qu’un, c’est le respect de la vie et de la dignité de la personne humaine.
    Toutes les lois de bioéthique ont été des lois de transgression de cet unique principe. Elles sont faites pour cela. Je crains que celle de 2018 ne fasse pas exception.

    - Jean-Marie le Méné est l'un des fondateurs et président de la fondation Jérôme Lejeune, reconnue d'utilité publique.

    [1] La Croix, 3 janvier 2017, « Bioéthique, comment l’opinion a basculé » : 64% des Français seraient favorable à l’autorisation de la GPA, 60%  pour la « PMA pour toutes », que 89% d’entre eux pensent qu’il faut légaliser l’euthanasie et/ou le suicide assisté et qu’ils sont à 80% favorables à la modification génétique des embryons humains pour guérir les maladies les plus graves avant la naissance.

    Source : Gènéthique.org.

  • Audience générale de ce mercredi 3 janvier 2017

    Ce mercredi matin, devant les pèlerins rassemblés en Salle Paul VI pour la première audience générale de l’année 2018, le Pape François a poursuivi ses enseignements sur la Messe, en s’arrêtant cette fois sur l'un des rites d’ouverture : la prière pénitentielle.

    Le commentaire de Cyprien Viet est à lire / écouter sur Vatican.News.

    Texte intégral de la catéchèse traduite en français sur Zenit.org.

    Résumé en français :

    « Frères et sœurs, les rites d’introduction de la Messe comprennent un acte pénitentiel. Que Dieu pourrait-il donner, en effet, à celui qui a déjà le cœur rempli de lui-même ? Seul celui qui prend conscience de ses misères et baisse les yeux avec humilité sent se poser sur lui le regard miséricordieux de Dieu. Il est donc important que chacun reconnaisse, en se frappant la poitrine, que lui-même a péché ; également par omission. Car il ne suffit pas de dire « je n’ai fait de mal à personne » pour être sans péché ; il faut encore choisir d’accomplir le bien qu’il est possible de faire. Cette confession générale des péchés se fait en présence des frères, car le péché nous sépare de Dieu, mais aussi de nos frères. Nous implorons ensuite l’intercession de la Vierge Marie et des Saints qui nous soutiennent sur notre chemin de communion avec Dieu. Enfin, l’absolution du prêtre nous pardonne nos péchés. N’oublions pas, cependant, que cette absolution n’a pas la valeur du Sacrement de pénitence qui reste indispensable pour le pardon de péchés graves – dits mortels – qui ont fait mourir la vie divine en nous. »

    « Je salue cordialement les pèlerins de langue française, en particulier les Scouts de Mesnil-le-Roi.
    En ce début d’année, je forme le vœu pour chacun de vous, et pour vos proches, de rencontrer toujours davantage le Seigneur – y compris dans la célébration dominicale - qui vient nous relever de nos fautes, éclairer nos vies et nous donner sa joie.
    Que Dieu vous bénisse. »

    Source : site internet du Vatican.

  • Gabriel Fauré (1845-1924) : Maria, Mater gratiae Op 47, nº 2

    The Cambridge Singers - Members of the City of London Sinfonia
    Dir. John Rutter
     
    Maria, mater gratiae
    Dulcis parens clementiae
    Tu nos ab hoste protege,
    Et mortis hora,
    Suscipe Jesu Jesu tibi sit gloria
    Qui natus es de Virgine
    Cum patre et almo Spiritu
    in sempiternam saecula
    Amen.
  • Méditation - Dans le silence de la nuit...

    « Celui qui veut prier en paix ne tiendra pas seulement compte du lieu, mais du temps. Le moment du repos est le plus favorable et lorsque le sommeil de la nuit établit partout un silence profond, la prière se fait plus libre et plus pure. « Lève-toi la nuit, au commencement des vigiles, et épanche ton cœur comme de l'eau devant le Seigneur ton Dieu » (Lm 2,19). Avec quelle sûreté la prière monte dans la nuit, quand Dieu seul en est témoin, avec l'ange qui la reçoit pour aller la présenter à l'autel céleste ! Elle est pure et sincère, quand la poussière des soucis terrestres ne peut pas la salir. Il n'y a pas de spectateur qui puisse l'exposer à la tentation par ses éloges ou ses flatteries.
    C'est pourquoi l'Épouse [du Cantique des Cantiques] agit avec autant de sagesse que de pudeur lorsqu'elle choisit la solitude nocturne de sa chambre pour prier, c'est-à-dire pour chercher le Verbe, car c'est tout un. Tout est en lui : les remèdes à tes blessures, les secours dont tu as besoin, l'amendement de tes défauts, la source de tes progrès, bref tout ce qu'un homme peut et doit souhaiter. Il n'y a aucune raison de demander au Verbe autre chose que lui-même, puisqu'il est toutes choses. »

    St Bernard (1091-1153), Sermon 86 sur le Cantique des Cantiques (3), Trad. Béguin, Seuil, 1953.
    Texte intégral des Sermons sur le Cantique des Cantiques.

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  • Mercredi 3 janvier 2018

    de la férie

    En France : Sainte Geneviève, vierge

  • Angelus de ce 1er janvier 2018

    Après la Messe solennelle célébrée en la Basilique Saint-Pierre, le Pape François a prié l’Angélus avec les fidèles et les pèlerins réunis nombreux sur la Place St Pierre, malgré une pluie persistante.

    Le commentaire de Manuella Affejee est à lire sur Vatican.News.

    Traduction intégrale en français des paroles du Pape sur Zenit.org.

  • 10h00, Basilique Saint-Pierre : Sainte Messe célébrée par le Pape François

     
     
    Texte intégral de l'homélie (version française) sur le site internet du Vatican.

  • 51e Journée mondiale de prière pour la paix

    Message du Pape François (rendu public le 24 novembre dernier) :
    « Les migrants et les réfugiés : des hommes et des femmes en quête de paix »
     
    Texte intégral en français sur le site internet du Vatican.

  • A solis ortus cardine

    Hymne des Laudes pour ce 1er janvier, la même que pour le matin de Noël.
     
    A solis ortus cárdine
    Ad usque terræ límitem,
    Christum canámus Príncipem,
    Natum María Vírgine.
    Du point où le soleil se lève
    jusqu’aux limites de ta terre,
    chantons le Christ Roi,
    né de la Vierge Marie.
    Beátus auctor sæculi
    Servíle corpus índuit :
    Ut carne carnem líberans,
    Ne pérderet quos cóndidit.
    Le bienheureux Auteur du monde
    revêt un corps d’esclave,
    afin que, délivrant la chair par la chair,
    il sauve de leur perte, ceux qu’il a créés.
    Castæ Paréntis víscera
    Cæléstis intrat grátia :
    Venter Puéllæ báiulat
    Secréta, quæ non nóverat.
    Au sein d’une chaste Mère
    descend la grâce céleste,
    les flancs d’une Vierge portent
    un mystère qu’elle ne connaissait pas.
    Domus pudíci péctoris
    Templum repénte fit Dei :
    Intácta nésciens virum,
    Concépit alvo Fílium.
    La demeure d’un sein pudique
    devient soudain le temple de Dieu ;
    la Vierge, intacte et toujours pure,
    conçoit un Fils dans ses entrailles.
    Enítitur puérpera,
    Quem Gábriel prædíxerat,
    Quem ventre Matris géstiens,
    Baptísta clausum sénserat.
    Cette jeune mère enfante
    celui qu’annonça Gabriel ;
    celui dont Jean, captif encore au sein maternel,
    reconnut la présence.
    Fœno iacére pértulit :
    Præsépe non abhórruit :
    Et lacte módico pastus est,
    Per quem nec ales ésurit.
    Il a souffert de reposer sur du foin ;
    il n’a pas eu horreur de la crèche ;
    il s’est nourri d’un peu de lait,
    lui qui rassasie jusqu’au petit oiseau.
    Gaudet chorus cæléstium,
    Et Angeli canunt Deo ;
    Palámque fit pastóribus
    Pastor, Creátor ómnium.
    Le chœur des Esprits célestes se réjouit,
    et les Anges chantent à Dieu ;
    il se manifeste aux bergers,
    le Pasteur, le Créateur de tous.
    Iesu tibi sit glória,
    Qui natus es de Vírgine,
    Cum Patre et almo Spíritu,
    In sempitérna sæcula. Amen.
    Gloire soit à vous, ô Jésus !
    qui êtes né de la Vierge :
    gloire au Père et à l’Esprit-Saint,
    dans les siècles éternels. Ainsi soit-il.


    Version grégorienne :

    Abbaye bénédictine Saint Dominique de Silos

     

    Version polyphonique :

     
    Giovanni Pierluigi da Palestrina (1525-1594)
    Quire Cleveland - Dir. Ross W. Duffin
  • Méditation - Marie, Sainte Mère du Sauveur à Bethléem

    « Ô heureuse Mère ! heureuse au-delà de toute expression ! Elle a vu la face de Jésus, et Jésus a répondu à son regard par un sourire. Était-ce à travers les larmes ? Quelle signification n'y avait-il pas dans ce sourire céleste et humain ? Il a souri comme un fils sourit à une mère chérie. Il a souri comme le Sauveur victorieux qui avait racheté sa Mère par la Conception Immaculée. Il a souri comme le Créateur qui regarde avec complaisance la plus gracieuse de ses oeuvres. [...] Il a souri comme Dieu, et son sourire était ineffable. [...] Et la joie de ce sourire n'était pas moindre non plus que sa signification. Mais Marie seule peut le dire. Nous tremblons d'attente lorsque nous pensons que ce même sourire sera un jour notre joie, et une joie qui ne finira jamais ! Mais, comme tous les regards de Dieu, ce sourire apportait avec lui tout un monde de grâces. Il était substantiel, comme le sont toujours les visites de Dieu, et il produisait substantiellement ce qu'il exprimait. Comme il a dû en conséquence élever Marie en sainteté ! C'était pour elle en quelque sorte une création nouvelle. Un regard de Jésus a converti Pierre ; que doit avoir fait un sourire et un sourire dirigé vers la face de sa Mère sans tache ? Ô doux Enfant de Bethléem ! Quand nous aussi tomberons-nous à genoux devant ta face ? Quand te verrons-nous sourire, sourire à notre arrivée dans le ciel, sourire de ce sourire qui viendra se reposer sur tes lèvres pour être notre gloire et notre possession à jamais ! »

    P. F. W. Faber (1814-1863), Bethléem ou le mystère de la Sainte Enfance, Tome I (Ch. III La grotte de minuit), Paris, Ambroise Bray, 1862.

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  • Intention de prière du pape pour le mois de janvier 2018

    Les minorités religieuses en Asie :
    « Pour que les chrétiens, ainsi que les autres minorités religieuses, puissent vivre leur foi en toute liberté dans les pays asiatiques. »

    Source : prieraucoeurdumonde.net.

  • Lundi 1er janvier 2018

    Octave de la Nativité du Seigneur

    Jusqu’à la réforme liturgique de 1960, le 1er janvier - huitième jour de l’octave de Noël - était dans l’Église latine la fête de la Circoncision de Jésus : "Circoncision du Seigneur et Octave de la Nativité". La réforme de 1960, par un décret de la Sacrée Congrégation des Rites, changea le degré de l’Octave (de 2ème classe à 1ère classe) et le nom de la fête devint "Octave de la Nativité du Seigneur". En 1974 eut lieu une nouvelle modification : le pape Paul VI la remplaça par la célébration de "Sainte Marie, Mère de Dieu", dont la fête avait été instaurée en 1932 par le pape Pie XI et fixée au 11 octobre.

    Au nouveau calendrier : Sainte Marie, Mère de Dieu