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  • Le Pape François ordonnera 19 nouveaux prêtres dimanche 26 avril au Vatican

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    19 diacres seront ordonnés prêtres par le Pape François dimanche 26 avril dans la basilique Saint-Pierre, au Vatican. 13 d’entre eux exerceront leur ministère dans le diocèse de Rome (Italie) tandis que les six autres appartiennent à différentes congrégations implantées dans le monde.

    Parmi ces 13 futurs prêtres, âgés de 27 à 39 ans, figurent une majorité d’Italiens ainsi qu’un Coréen, un Colombien et un Chilien. Sur les six autres futurs prêtres, quatre d’entre eux sont originaires du Pérou et de Madagascar et appartiennent à la Congrégation de la Famille des disciples. Un Croate appartient à l’Ordre des Frères mineurs conventuels franciscains. Un autre diacre, enfin, vient du diocèse de Thamarassery en Inde.

    Le Cardinal Agostino Vallini, vicaire du Pape pour le diocèse de Rome, concélèbrera cette Messe qui aura lieu lors de la Journée mondiale de prière pour les vocations, avec les cinq évêques auxiliaires du diocèse.

    Source : Radio Vatican avec I.Media.

  • Ste Hildegarde de Bingen (1098-1179) : Antiphon "Spiritus Sanctus" (Ps. 110/111)

    Dir. P. Johannes Berchmans Göschl (OSB) & Sr. Christiane Rath (OSB)

  • Méditation : de la colère

    « La colère est le pire des vices, c'est presque le cœur du diable ; parfois elle se cache dans la caverne d'une couleuvre, et son habitude est d'assaillir l'homme : elle lui fait perdre la raison et fuir la bénédiction d'Abraham, qui a obéi avec bonne volonté à tous les préceptes de Dieu ; c'est pour cela que beaucoup des descendants d'Abraham ont transmis sa bénédiction.

    L'homme colérique corrompt tout germe de vertu, arrache avec les dents tout ce qui est en train de germer, tel un fieffé voleur, et mâche tous les dons accordés aux hommes par le doigt de Dieu. Il apporte courroux et discorde partout où il le peut, et, d'une façon non seulement insolente, mais impie, il enfreint les lois de Dieu. En effet, la colère est comme un dragon qui brûle tout partout où il passe ; c'est une voleuse qui vole et pille tout ce qu'elle peut voler et piller. Dans la colère, la sagesse devient sottise, la patience se transforme en impatience, et la modération se change en exagération.

    La colère est aussi l'amertume qui vomit la bonté et la douceur des lois et des préceptes de Dieu ; elle est un crime qui divise le corps et l'âme, et les empêche de s'unir. c'est aussi un rocher dur et immuable qui écrase toute bonté et toute justice ; elle a sa place en enfer depuis qu'elle désire bouleverser les choses célestes. Lorsqu'elle s'est emparée d'un homme, elle le met hors de lui, et le conduit vers une telle démence qu'il ne pense plus alors ni à la terre ni au ciel, car il écrase et met en pièces tout ce qui a été créé à l'image de Dieu ; et un tel sacrilège entraîne une impitoyable condamnation. »

    Ste Hildegarde de Bingen (1098-1179), Le Livre des mérites de la vie (Liber vitae meritorum, 1, 108), Trad. Lys-Marie Anibeaud, Éditions Bénédictines, 2012.

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  • Jeudi 23 avril 2015

    Mémoire de St Georges, officier martyr

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    Rogier van der Weyden, Saint George et le Dragon (NGA, Washington)

  • Confirmation de la halte du Pape François à Cuba en septembre 2015

    Déclaration du P. Federico Lombardi s.j., directeur de la salle de presse du Saint-Siège :

    « Je suis en mesure de confirmer que le Saint-Père François, après avoir reçu et accepté l'invitation des autorités civiles et des évêques de Cuba, a décidé de faire une halte dans l'île avant son arrivée aux États-Unis pour le voyage (*) annoncé il y a quelque temps. »

    (*) : du 23 au 27 septembre 2015.

    Source : Salle de presse du Saint-Siège.

  • Audience générale de ce mercredi 22 avril 2015

    Le Pape François a tenu mercredi son audience générale place Saint-Pierre. Sous un beau soleil printanier et devant des dizaines de milliers de fidèles, le Souverain Pontife a poursuivi sa catéchèse sur la famille, en se concentrant sur le récit de la création de l'homme et la femme à travers la Genèse. Il a repris le deuxième chapitre du premier livre de la Bible, où « Dieu modela l’homme avec la poussière tirée du sol ; il insuffla dans ses narines le souffle de vie, et l’homme devint un être vivant ». L'Esprit suggère un instant l'image de l'homme seul, à qui il manque quelque chose, a expliqué le Pape. Il lui manque une communion, une plénitude. Lorsque Dieu présente la femme à l'homme, après avoir façonnées les créatures terrestres, celui-ci exulte.

    « Il y a une réciprocité, un reflet » a-t-il souligné, cette réciprocité avec la femme est ce qui manquait à l'homme pour arriver à sa plénitude. « La femme n'est pas la réplique de l'homme. Elle vient directement de l’acte créateur de Dieu, elle n'est ni en infériorité ni subordination » a t-il encore expliqué, voulant dissiper l'image parfois faussée de la "côte" tirée de l'homme. Dieu façonne l'homme quand celui-ci dort, et le Pape de préciser, non sans poésie que « pour trouver la femme et son amour, l'homme doit donc rêver la femme ».

    La femme, considérée parfois comme créature de "seconde classe"

    « La confiance que Dieu met en l'homme et la femme, à qui il confie la terre est généreuse et pleine a poursuivi le Pape. Il leur fait confiance. Mais le Malin s'est introduit dans leur esprit, a infusé le soupçon, l'incrédulité et le défi, qui conduit au final à la chute et la désobéissance. Nous aussi le sentons tant de fois en nous » a t-il souligné. Le Pape a ainsi déploré les nombreux péchés qui résultent de la rupture de cette alliance. « Le péché va provoquer entre eux défiance et division. Ils seront tentés dans leurs relations par mille formes de malversations, de séduction mensongère et de tyrannie humiliante, parfois dramatiques et violentes. L'histoire en porte des traces, a précisé le Saint-Père. Pensons aux excès négatifs des cultures patriarcales, où la femme est considérée comme de seconde classe, dénonçant au passage la marchandisation du corps de la femme.

    Le Pape a donc mis en garde contre « l'épidémie de scepticisme, de défi et même d'hostilité » qui marque la culture contemporaine en ce qui concerne l'alliance de l'homme et de la femme. Sur le chemin qui nait de la rencontre entre les deux, l'homme est tout pour la femme, et la femme est tout pour l'homme a redit le Saint-Père. « La sous-évaluation du mariage est une perte pour tous » a t-il enfin dénoncé , invitant à remettre à l’honneur le mariage et la famille. « Même s'il est pécheur, blessé, découragé, Dieu protège le couple humain, son chef d’œuvre. »

    Source : Radio Vatican.

    Après la catéchèse, le Saint-Père a salué les divers groupes, rappelant aux polonais qui fêtent saint Adalbert, combien son martyre il y a plus de mille ans a représenté un pas en avant décisif pour le pays et l’Église. Citant Jean-Paul II, il a dit qu'il "reste un inspirateur inégalable pour qui œuvre à la construction d'une Europe renouvelée dans sa fidélité à ses racines culturelles et religieuses". Il a ensuite rappelé aux italiens que c'est aussi la Journée de la terre, les encourageant à regarder le monde avec les yeux du Créateur. La terre et la nature sont un jardin qu'il faut cultiver et protéger. Le rapport de l'homme à la nature ne doit pas être dominé par l'avidité, la manipulation et l'exploitation. Il doit maintenir l'harmonie divine entre création et créatures" afin que le respect de la terre la mette au service de tous et des générations à venir.

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 22.4.15).

    Résumé :

    « Chers frères et sœurs, dans le livre de la Genèse, il nous est dit que la femme n’est pas une « réplique » de l’homme. Elle est une créature de Dieu et non de l’homme ! La confiance de Dieu à l’égard de l’homme et de la femme est grande. Mais le péché va provoquer entre eux défiance et division. Ils seront tentés dans leurs relations par mille formes de malversations, de séduction mensongère et de tyrannie humiliante, parfois dramatiques et violentes. Pensons à l’instrumentalisation du corps féminin dans la culture médiatique actuelle ; ou encore à la méfiance et même à l’hostilité qui se répand dans notre culture à l’égard de l’alliance entre un homme et une femme, capable d’améliorer l’intimité de la communion et de garder la dignité de la différence. La dévaluation sociale de l’alliance stable et féconde de l’homme et de la femme est certainement une perte pour tous. Nous devons remettre en honneur le mariage et la famille. Dans les circonstances actuelles, la sauvegarde de l’alliance de l’homme et de la femme, même s’ils sont pécheurs et blessés, découragés et humiliés, est pour nous croyants une vocation exigeante et passionnante. Dieu lui-même garde et protège avec tendresse le couple humain, son chef d’œuvre ! »

    « Je suis heureux de vous accueillir chers amis de langue française, particulièrement les paroisses et les nombreux jeunes venus de France, ainsi que la paroisse francophone de Bucarest. Que Dieu bénisse chacune de vos familles et donne à celles que la vie a brisées la force et le courage dans l’épreuve ! Bon pèlerinage ! »

    Source : site internet du Vatican.

    Texte intégral traduit en français sur Zenit.org.

    Texte intégral original en italien sur le site internet du Vatican.

  • Thomas Tallis (1515-1585) : Les Lamentations de Jérémie



    Choir of New College, Oxford - Dir. Edward Higginbottom

  • Méditation : de la médisance

    « Qu'importe à votre frère, que vous déchirez par votre médisance, que ce soit en vous indiscrétion ou malice ? Un dard décoché imprudemment fait-il une plaie moins dangereuse et moins profonde que celui qu'on a tiré à dessein ? Le coup mortel que vous portez à votre frère est-il plus léger parce que c'est la légèreté et l'imprudence qui l'ont lancé ? D'ailleurs n'est-ce pas un crime que d'être capable d'indiscrétion sur la réputation de vos frères ? Y a-t-il rien qui demande plus de circonspection et de prudence ? Tous les devoirs du Christianisme ne sont-ils pas renfermés dans celui de la charité ? N'est-ce pas là, pour ainsi dire, toute la Religion ? Et n'être pas capable d'attention sur un point aussi essentiel, n'est-ce pas regarder comme un jeu tout le reste ? Ah ! c'est ici qu'il faut mettre une garde de circonspection sur sa langue, peser toutes ses paroles, les lier dans son cœur, comme dit le sage, et les laisser mûrir dans sa bouche. Vous échappe-t-il jamais de ces discours indiscrets contre vous-même ? Manquez-vous quelquefois d'attention sur ce qui intéresse votre honneur et votre gloire ?

    Je veux que les défauts que vous publiez de votre frère soient légers. Plus ils sont légers, plus vous êtes injustes de les relever, plus il mérite que vous usiez d'indulgence à son égard, plus il faut supposer en vous une malignité d'attention à laquelle rien n'échappe, une dureté de naturel qui ne saurait rien excuser. Si les défauts de votre frère étaient essentiels, la politesse et la Religion vous feraient un devoir de vous taire. Hé quoi ! vous le trouvez moins digne de vos égards, parce qu'il n'a pas de légères faiblesses ! Ce qui devrait vous le rendre respectable, vous autorise à le décrier !

    Quand même la faute de votre frère serait certaine et publique, d'où pouvez-vous savoir si la honte même de voir sa faute connue ne l'a pas fait revenir à lui, et si un repentir sincère et des larmes abondantes ne l'ont pas déjà effacée et expiée devant Dieu ? Il ne faut pas toujours des années à la grâce pour triompher d'un cœur rebelle ; et souvent une chute publique est le moment de miséricorde qui décide de la conversion du pécheur. Or, si votre frère s'est repenti, n'êtes-vous pas injuste et cruel de faire revivre des fautes que sa pénitence vient d'effacer et que le Seigneur a oubliées ? Souvenez-vous de la pécheresse de l’Évangile. Ses désordres étaient publics ; cependant lorsque le Pharisien les lui reprocha, son amour les avait effacés aux pieds du Sauveur.

    Ce n'est point à moi de guérir la faiblesse des hommes, ni e corriger la délicatesse de leurs esprits et de leurs humeurs : c'est à moi de m'y accommoder, et de les supporter en Chrétien ; et puisque les hommes sont sensibles à une parole et à une raillerie jusqu'à rompre la charité, cette raillerie, cette parole doit être pour moi quelque chose de grand. De tout temps les hommes ont été faibles et délicats. Voilà ce que je dois supposer comme le fondement de tous mes devoirs en matière de charité : car si, pour avoir de la charité, j'attendais que les hommes n'eussent plus d'imperfections ni de faiblesses, comme il est certains qu'ils en auront toujours, je renoncerais pour toujours à cette vertu.

    Dieu me commande de les aimer faibles et imparfaits comme ils sont : or je n'obéis pas si je ne respecte en eux jusqu'à leurs moindres intérêts, et si je ne suis circonspect jusque dans les sujets les plus légers dont ils ont coutume, quoique dans raison, de s'offenser. J'aurai bien plutôt fait de condescendre à leurs faiblesses, que de prétendre qu'ils réforment leurs idées ; et il me sera bien plus avantageux d'être à leur égard humble et patient, que de m'opiniâtrer à vouloir les rendre raisonnables. S'il y a même un moyen de les faire revenir de leurs erreurs, ou de corriger leurs défauts, c'est l'exemple d'une vertu aimable et compatissante. On ne résiste guère à la douceur et à la beauté de ses manières ; au lieu qu'on brave la censure, on s'aigrit de l'impatience, et on hait la médisance la plus fine. »

    Abbé François Champion de Pontalier s.j. (1731-1812), Le trésor du chrétien, ou principes et sentiments propres à renouveler et consommer le christianisme dans les âmes... Tome I (ch. XIII, III-V & VII), Nlle éd., Paris, Chez Méquignon fils aîné, 1815 (1ère éd. 1778).

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  • Mercredi 22 avril 2015

    Sts Soter et Caïus, papes et martyrs

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    Lorenzo Monaco (1370-1424), Martyre de Saint Caïus

  • Un site web pour aider à la béatification de Pauline Jaricot

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    « J’ai aimé Jésus Christ plus que tout sur la terre, et pour l’amour de Lui, j’ai aimé plus que moi-même tous ceux qui étaient dans le travail ou la douleur »

    Afin de recueillir des témoignages de guérisons obtenus par l’intercession de Pauline Jaricot, fondatrice des Œuvres pontificales missionnaires (OPM), en vue de son procès de béatification, un site web est lancé en six langues.

    C’est le cardinal Fernando Filoni, préfet de la Congrégation pour l’évangélisation des peuples, qui viendra inaugurer officiellement le site web international lancé par « Les Amis de Pauline Jaricot », samedi 25 avril, dans la paroisse Saint-Nizier à Lyon, où est inhumée Pauline Jaricot. Ce site en six langues vise à recueillir des témoignages de grâces, de guérisons ou de miracles obtenus par l’intercession de la fondatrice des Œuvres pontificales missionnaires, dans le cadre de son procès en béatification.

    Prière pour la béatification de Pauline Jaricot

    Seigneur,

    Tu as inspiré à Pauline-Marie Jaricot,
    la fondation de la propagation de la foi
    et du Rosaire Vivant
    ainsi que son total engagement
    pour le monde ouvrier.
    Daigne hâter le jour où l’Église
    pourra célébrer la sainteté de sa vie.

    Fais que son exemple
    entraîne un plus grand nombre de
    chrétiens à se dépenser pour l’Évangile,
    afin que les hommes et les femmes
    de notre temps et tous les peuples
    découvrent ton Amour infini,
    manifesté en Jésus Christ Notre Seigneur,
    qui vit et règne avec Toi dans l’unité
    du Saint Esprit pour les siècles des siècles.

    Amen.

  • Exposition Jérôme Lejeune à Paris : du 13 au 23 mai 2015

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    L’année commémorative des 20 ans de la Fondation Jérôme Lejeune arrive à son terme : le prochain évènement est l’exposition Jérôme Lejeune à Paris à partir de la mi-mai.
    Elle sera accueillie à la mairie du 6ème arrondissement, place Sulpice.

    Cette exposition « Jérôme Lejeune, une découverte pour la vie » propose d’explorer l’univers de la génétique à travers la découverte du chromosome surnuméraire à l’origine de la trisomie 21.

    Elle fait revivre, 20 ans après sa disparition, l’aventure de Jérôme Lejeune, chercheur exceptionnel, médecin de renommée internationale, avocat de la vie et de la dignité humaine, qui a ouvert la voie de la génétique moderne.

    Cette exposition grand public intéresse plus particulièrement les lycéens, étudiants et professionnels du monde scientifique, de la santé et de la recherche. Elle s’adresse aussi à l’ensemble des citoyens interpellés par les enjeux bioéthiques d’aujourd’hui et de demain : sélection prénatale, eugénisme, transhumanisme…

    Vous êtes cordialement invités à venir la visiter, du 13 au 23 mai.

    N’hésitez pas à venir en famille et faire connaître l’exposition autour de vous.

    Informations pratiques :
    Lieu : Mairie du 6ème arrondissement – 78 rue Bonaparte - Salon François Collet (Métro St Sulpice L4)
    Dates : du mercredi 13 mai au samedi 23 mai
    Horaires d’ouverture : du lundi au vendredi de 10 h 30 à 17 h, sauf le jeudi jusqu’à 19 h. Samedi matin de 10 h à 12 h
    Entrée libre

    Rejoindre l'évènement sur facebook.

    Pour organiser une visite de groupe guidée : evenements@fondationlejeune.org

  • Message du Pape François au Patriarche de l'Église orthodoxe Tewahedo d'Éthiopie Sa Sainteté Abuna Matthias

    Le Pape François a envoyé hier lundi au patriarche de l’Église orthodoxe éthiopienne Abuna Matthias un message de solidarité après l’assassinat en Libye de 29 otages éthiopiens par l’État islamique.

    Il a fait part de sa grande consternation et de sa douleur face à l’assassinat de ces chrétiens « tués pour le seul fait de suivre Notre Seigneur et notre Sauveur ». Je sais, écrit-il, que « vous souffrez profondément des atrocités dont vos fidèles sont victimes, assassinés du simple fait d'être chrétiens... Je prie devant le martyre permanent si cruellement infligé aux chrétiens, en Afrique, au Proche et Moyen Orient ou en Asie. Il n'y a pas de différences entre catholiques, copte, orthodoxes et protestants qui témoignent tous du Christ... Le sang de nos frères et sœurs est un témoignage qui doit être entendu de tous ceux qui savent distinguer le bien du mal. Ce cri doit être surtout écouté par ceux qui ont en main le destin des peuples. » Cette année, notre joie pascale « est assombrie par la peine, même si nous savons que vivre dans l'amour miséricordieux du Père est plus fort que la souffrance des chrétiens, de ces hommes et femmes de bonne volonté appartenant aux diverses confessions. »

    Sources : Radio Vatican - Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 21.4.15).

    Texte original en italien sur le site internet du Vatican.

  • Franz Schubert (1797-1828) : Trio en mi bémol Majeur pour piano et cordes No 2, D. 929 (Op. 100) - Andante con moto

    Trio Wanderer (2007)

  • Méditation : de la résignation de l'âme

    « Tenez-vous dans une parfaite résignation sur votre dénuement intérieur, et croyez qu'il vous est infiniment plus utile que toutes les belles lumières et dons de larmes que plusieurs saints ont eus. Je dis bien davantage : que votre résignation sera plus agréable à Dieu et plus utile à votre âme que si, par des miracles, vous attiriez une infinité d'âmes à Dieu, parce que les miracles s'opèrent trop souvent par la seule bonté et miséricorde de Dieu, sans que pour cela ceux qui les opèrent en deviennent meilleurs ; mais une âme résignée toute entre les mains de Dieu et à sa divine volonté, et sous sa conduite en tous événements, s'élève à une très haute perfection et acquiert une très profonde humilité et haine de soi-même. »

    P. Maur de l'Enfant-Jésus (1617-1690), Lettre 19 à une religieuse de la Visitation.

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    (Crédit photo)

  • Mardi 21 avril 2015

    St Anselme, évêque, confesseur et docteur

     St Anselme,évêque,confesseur,docteur

    Calendrier liturgique et sanctoral

  • Un dossier présentant une guérison miraculeuse par l’intercession de Marthe Robin présenté à Rome

    Un dossier présentant une guérison miraculeuse obtenue par l’intercession de Marthe Robin (1902-1981) a été déposé à Rome. L’héroïcité des vertus de la mystique française a été reconnue le 7 novembre dernier par la Congrégation des causes des saints, et Marthe Robin avait ainsi été déclarée « vénérable ».

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    Regard du P. Bernard Peyrous, postulateur de la cause de béatification, sur son témoignage d’écoute et d’attention aux autres pendant les 53 années qu’elle passa alitée.
    Par Florence de Maistre.

    Qu’est-ce qui caractérise la figure de Marthe Robin ?
    C’est une femme très simple, d’origine paysanne, gravement handicapée, qui depuis sa chambre a fondé les Foyers de charité [communautés de baptisés, dont la mission principale est l’animation de retraites spirituelles. On compte 76 Foyers de charité à travers le monde, dont 12 en France métropolitaine]. Précurseur de Vatican II, elle a reçu plus de 100 000 personnes en entretien dans sa chambre. C’est une femme qui a eu une influence énorme, qui a donné sa vie pour le renouvellement de l’Église. Je vois en elle la sainte patronne de la Nouvelle Évangélisation.

    Comment peut-elle toucher, aujourd’hui, les personnes fragiles, malades, en fin de vie ?
    C’est le plus important. Marthe Robin a eu une vie humaine perdue. Malade dès l’âge de 6 ans, grabataire à 18 ans, elle a passé 53 ans dans son lit, souffrant affreusement d’une encéphalite qu’à l’époque on ne pouvait ni soigner, ni soulager. Elle représente ce que le monde actuel rejette : aujourd’hui l’euthanasie aurait sans doute été proposée. Or son évolution spirituelle, puisqu’il s’agit bien de ça, liée à la découverte de la Passion du Christ et de son amour donné jusqu’au bout provoque en elle un véritable retournement. À partir d’une vie inutile, elle devient l’une des femmes les plus influentes en France. Elle incarne parfaitement le Magnificat : les pauvres, les inutiles, ceux qui n’ont pas de place dans la société sont bénis par Dieu. Son témoignage est extrêmement fort. Il triomphe de la faiblesse. Le chemin de Marthe Robin montre qu’il n’y a pas d’explication à la vie humaine en dehors du Christ. C’est lui qui apporte une lumière qui transforme toute situation. Au nom de la vie donnée par le Christ : il y a toujours une espérance, aucune vie n’est perdue. Marthe Robin en est une démonstration aveuglante.

    Quelle parole particulière retenez-vous d’elle ?
    Marthe Robin a beaucoup parlé, elle a eu de nombreuses conversations*. Mais ce qui s’exprime d’abord chez elle, c’est un sourire de bonté, d’affection, de bienveillance. Ce sourire d’amitié, même si on ne le voyait pas, est le plus frappant chez elle, avec l’écoute et l’attention aux autres. Dans le livre « Ce que Marthe leur a dit », nous avons sélectionné des paroles, pour la majorité publiées pour la première fois, extraites de ses conversations, où elle est le plus elle-même. Comme ce n’est pas un récit, le lecteur peut choisir de lire tel ou tel passage, comme s’il conversait directement avec Marthe. Nous avons souhaité la rendre familière à tout un chacun. On ne peut nier sa vie mystique tellement forte, mais on doit respecter aussi sa discrétion et il y a certaines périodes où l’on ne sait rien sur les phénomènes extraordinaires qu’elle vivait. Nous avons effectué un tri important pour choisir les échanges qui permettent de la voir telle qu’elle était, très humaine, dans son ordinaire. Elle incarne parfaitement le verbe de Péguy, « le spirituel est devenu charnel » : dans son lit, elle reçoit à la ferme et se rend extrêmement présente aux gens. Tous les extraits proposés dans le livre me touchent, ce serait vraiment difficile d’en choisir un.

    Qu’est-ce que la reconnaissance de l’héroïcité de ses vertus, en novembre 2014, dit de la vie de l’Église en France ?
    Les dépôts de causes de béatifications françaises ont été très nombreux au XIXe siècle et très faibles au XXe siècle. Tout à coup arrive à Rome toute une saisine de causes : Robert Schuman, Edmond Michelet, Claire de Castelbajac, le P. Henri Caffarel, Jérôme Lejeune, Marthe Robin, et bien d’autres encore. Ces dossiers sont sérieux et bien menés. Nous risquons de connaître une série de déclarations d’héroïcité des vertus et de béatifications ! La France de la fin du XXe siècle connaît, en temps de crise, une sainteté très présente. Or les saints sont des fondateurs, des pères et des mères, un espoir des temps nouveaux. L’Église nous montre sa capacité à engendrer des saints, capables de porter du fruit. La vie de Marthe Robin du point de vue humain est une absurdité complète : mais son influence est extrêmement féconde. Elle a d’ailleurs connu la plupart de ces personnes mortes en réputation de sainteté. Elle était un carrefour et un carrefour de saints !

    * « Ce que Marthe leur a dit. Conversations inédites », Marie-Thérèse Gille / P. Bernard Peyrous, Éd. de l’Emmanuel / Éd. Foyer de Charité.

    Source : Eglise Catholique en France.

  • ETHIOPIE/EGYPTE - Déclarations de l’Evêque copte catholique de Gizeh à propos des chrétiens éthiopiens massacrés, martyrs dans lesquels resplendit la victoire du Christ

    Le Caire (Agence Fides) - Les Patriarches et les Evêques catholiques d’Egypte, réunis au Caire pour leur assemblée périodique qui a lieu deux fois l’an, dédieront une partie de leur réflexion pastorale commune aux nouveaux massacres de chrétiens éthiopiens perpétrés par les djihadistes du prétendu « Etat islamique » et documentés dans des vidéos réalisées avec un professionnalisme macabre pour être diffusées en ligne comme instruments de leur propagande délirante.

    Dans la nouvelle vidéo, reprise comme produite par al Furqan Media - se présentant comme réseau médiatique de référence du prétendu « Etat islamique » - on voit deux groupes différents de prisonniers présentés comme des chrétiens éthiopiens qui sont massacrés par décapitation et de balles à la nuque dans un lieu désertique ainsi que sur une plage libyenne. La vidéo, accompagnée des habituels slogans contre la « nation de la croix » et d’images de destruction d’églises, d’icônes et de tombes chrétiennes, répète, en s’adressant aux chrétiens qu’il n’y aura pas de salut pour eux s’ils ne se convertissent pas à l’islam ou n’acceptent pas de payer la « taxe de protection ».

    Dans la vidéo - particulièrement éloquente - les victimes sont présentées comme appartenant à « l’Eglise éthiopienne hostile ». Pour le moment, vérifications et confirmations indépendantes concernant l’identité des victimes font défaut. Selon des sources gouvernementales et de l’Eglise éthiopienne, il est probable qu’il s’agisse de pauvres émigrants éthiopiens faisant partie des multitudes d’hommes et de femmes qui tentent d’atteindre l’Europe en traversant la Libye avant de s’embarquer sur les embarcations gérées par le réseau criminel des passeurs.

    « Le Patriarche de l’Eglise orthodoxe d’Ethiopie, Matthias Ier - indique à l’Agence Fides S.Exc. Mgr Antonios Aziz Mina, Evêque copte catholique de Gizeh - avait programmé de venir en Egypte et de repartir avec le Patriarche copte Tawadros II pour participer à Erevan aux commémorations du Génocide arménien. Maintenant, il a dû, au dernier moment, annuler sa visite. Il s’en est excusé et a déclaré qu’il restera en Egypte. Les histoires de martyrs du passé croisent celles des martyrs d’aujourd’hui ».

    L’Eglise orthodoxe d’Ethiopie a été liée au plan juridictionnel au Patriarcat copte d’Alexandrie jusqu’en 1959, année où elle a été reconnue comme Eglise autocéphale par le Patriarche copte Cyrille VI. En avril dernier, Matthias I° avait accompli une visite historique en Egypte, qui avait marqué un pas important dans le dépassement de contrastes passés entre les deux Eglises. Le Patriarche éthiopien avait été reçu avec tous les honneurs également par le Président égyptien, Abdel Fattah al Sisi.

    « Il est frappant - fait remarquer S.Exc. Mgr Antonios Aziz Mina - que l’Eglise éthiopienne soit qualifiée d’Eglise hostile… Evidemment, ces étranges djihadistes suivent également les évolutions politiques des rencontres entre les Eglises. Mais, dans cette grande douleur, nous continuons à regarder ces événements avec le regard de la foi. La liste des martyrs n’est pas finie et elle accompagnera toute l’histoire, jusqu’à la fin. Les chrétiens ne recherchent pas le martyre, ils veulent vivre dans la paix et dans la joie. Mais si le martyr arrive, nous l’acceptons avec la même paix que celle avec laquelle l’ont accepté les coptes qui prononçaient le nom du Christ et se remettaient à Lui alors qu’ils étaient égorgés. L’Eglise ne s’est jamais plainte du martyr mais elle a toujours célébré les martyrs comme ceux en qui, lorsqu’ils sont tués, resplendit la grande et consolante victoire du Christ » (GV)

    Source : Agence Fides (20/04/2015).

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  • J.-S. Bach : Prélude Fugue & Allegro en mi bémol majeur BWV 998

    Arrangement pour guitare - John Williams, guitare (1967)

  • Méditation : Oeuvrons en vue de notre fin (Ps 39 (38), 8-14)

    « Fais-moi connaître, Seigneur, ma fin, et quel est le nombre de mes jours pour que je sache ce qu'il me manque. (Ps 38, 5) Si tu me faisais connaître ma fin, dit le psalmiste, et si tu me faisais connaître quel est le nombre de mes jours, je pourrais par là même savoir ce qui me manque. Ou peut-être, par ces mots, il semble encore indiquer ceci : tout métier a une fin ; par exemple la fin d'une entreprise de construction, c'est de faire une maison ; la fin d'un chantier naval, de construire un bateau capable de triompher des flots de la mer et de supporter l'assaut des vents ; et la fin de chaque métier est quelque chose de semblable pour laquelle le métier lui-même semble inventé. Ainsi peut-être est-il aussi une certaine fin de notre vie et du monde entier pour laquelle se fait tout ce qui se fait en notre vie, ou pour laquelle le monde lui-même a été créé ou subsiste. De cette fin, l'apôtre Paul aussi se souvient quand il dit : « Ensuite viendra la fin, quand il remettra la royauté à Dieu le Père. » (1Co 15, 24) Vers cette fin-là, il faut assurément se hâter, puisque c'est le prix même de l’œuvre, ce pour quoi nous sommes créés par Dieu. Comme notre organisme corporel, petit et réduit au début de sa naissance, pousse pourtant et tend au terme de sa grandeur en croissant en âge, et encore comme notre âme reçoit un langage d'abord balbutiant, puis dans la suite plus clair, pour arriver enfin à une manière de s'exprimer parfaite et correcte, de cette façon aussi toute notre vie commence à présent, certes, comme balbutiante parmi les hommes sur la terre, mais elle est achevée et parvient à son sommet dans les cieux près de Dieu. Pour ce motif, le prophète désire donc connaître la fin pour laquelle il a été fait, pour qu'en regardant la fin, en examinant ses jours et en considérant sa perfection, il voie ce qui lui manque par rapport à cette fin où il tend. C'est comme si ceux qui sont sortis d’Égypte avaient dit : « Fais-moi connaître, Seigneur, ma fin » qui est une terre bonne et une terre sainte, « et le nombre de mes jours » où je marche, « pour que je sache ce qui me manque », combien il m'en reste jusqu'à ce que je parvienne à la terre sainte qui m'est promise. »

    Origène, Homélie sur le Ps 39 (38).

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    Fresque de l’Anastasis (La Résurrection), Chora Church/Museum, Istanbul
    (Crédit photo)

  • Regina Caeli de ce dimanche 19 avril 2015

    Lors de la prière du Regina Caeli, en ce troisième dimanche de Pâques, le Pape François a proposé une réflexion sur le sens du témoignage. « Dans les lectures bibliques de la liturgie d'aujourd'hui résonne deux fois le mot "témoins", souligne le Saint-Père. La première fois, sur les lèvres de Pierre lorsqu’après la guérison du paralytique, à la porte du temple de Jérusalem, il s’exclame : "Vous avez fait mourir le Prince de la vie, que Dieu a ressuscité des morts ; nous en sommes témoin" ( Actes 3,15). La deuxième fois, c’est sur les lèvres de Jésus ressuscité : le soir de Pâques, Il ouvre l'esprit des disciples au mystère de sa mort et de sa résurrection, et Il leur dit : "C'est vous qui en êtes les témoins" (Lc 24,48). Les apôtres, qui virent de leurs propres yeux le Christ ressuscité, ne pouvaient pas ne pas parler de leur expérience extraordinaire. Le Christ leur était apparu afin que la vérité de sa résurrection puisse atteindre tout le monde à travers leur témoignage. Et l'Eglise a le devoir de prolonger dans le temps cette mission ; chaque baptisé est appelé à témoigner par la parole et par les actes, que Jésus est ressuscité, qu’il est vivant et présent parmi nous. »

    Mais qui est le témoin ? interpelle le Saint-Père. Le témoin, indique-t-il, est « celui qui a vu, qui se souvient et raconte. Voir, se souvenir et raconter sont les trois verbes qui décrivent l'identité et la mission du témoin. Le témoin est celui qui a vu, mais pas avec un avec œil indifférent ; il a vu et il s’est senti concerné par l'événement. C’est pour cette raison qu’il se souvient, pas seulement parce qu'il sait reconstruire précisément les événements, mais parce que ces faits lui ont parlé et il en a saisi le sens profond. Alors le témoin raconte, non pas avec froideur et détachement, indique le Pape mais comme celui qui s’est remis en question, et qui depuis ce jour a changé de vie ».

    « Le contenu du témoignage chrétien n’est pas une théorie, une idéologie ou un système complexe de préceptes et d'interdits, mais un message de Salut, un événement concret, même une personne : le Christ est ressuscité, vivant et unique Sauveur de tous. Ceux qui ont fait l’expérience personnelle du Christ, dans son Église, à travers un cheminement qui a son fondement dans le baptême, sa nourriture dans l'Eucharistie, son sceau dans la Confirmation, sa conversion continue de la Pénitence rendent témoignage de cela. Grâce à ce cheminement, toujours guidé par la Parole de Dieu, tout chrétien peut devenir témoin de Jésus ressuscité. Et son témoignage est d'autant plus crédible, précise le Saint-Père, lorsqu’il irradie à travers un style de vie évangélique, joyeux, courageux, doux, paisible, miséricordieux. Si au contraire le chrétien cède au confort, à la vanité, à l’égoïsme, il devient sourd et aveugle à la demande de "résurrection" de tant de frères, comment communiquera-t-il alors Jésus vivant, sa puissance libératrice et sa tendresse infinie ? »

    Source : Radio Vatican.

    Naufrage en Méditerranée : le Pape exprime sa douleur

    Un chalutier qui transportait des migrants a chaviré à 110 kms des côtes libyennes, dans la nuit de samedi à dimanche. 28 personnes ont pu être repêchées, mais leurs témoignages laissent craindre le pire : quelque 700 personnes se trouvaient en effet à bord de l'embarcation. Selon le Haut-commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés, elles auraient toutes perdu la vie.

    Le Pape François, à la fin du Regina Caeli, a tenu à exprimer sa « plus grande douleur face à une telle tragédie ». « Mes prières vont aux disparus et à leurs familles. Je lance un vibrant appel à la communauté internationale, pour qu’elle agisse avec décision et diligence, afin que de telles tragédies ne puissent plus se reproduire », a notamment déclaré le Pape, le visage grave et ému, avant d'ajouter : « ce sont des hommes et des femmes comme nous. Des frères, qui cherchaient une vie meilleure... Affamés, persécutés, blessés, exploités, victimes de guerres. Ils cherchaient une vie meilleure, ils cherchaient le bonheur ». Le Souverain Pontife a ensuite invité les fidèles réunis en nombre sous les fenêtres du Palais apostolique à prier en silence pour ces migrants, avant de réciter un Ave Maria.

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral traduit en français sur Zenit.org.

    Texte intégral original en italien sur le site internet du Vatican.