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maternité

  • Méditation - Éveiller pour le Ciel

    « Éveiller des enfants pour le Ciel, c'est la maternité authentique - une maternité spirituelle qui est indépendante de la maternité physique - la maternité la plus belle, la plus sublime et la plus riche de joies, même si c'est au prix de soucis, de sacrifices et de peines non moindres que la maternité physique. Faire jaillir l'étincelle divine dans un cœur d'enfant, voir croître et s'épanouir en lui la vie divine ou encore contribuer à allumer une nouvelle fois la vie de la grâce dans l'âme éteinte, dégénérée ou enténébrée d'un adulte auquel Dieu est devenu étranger, et pouvoir assister ensuite au merveilleux processus de transformation qui s'opère dans cette âme et y coopérer en tant qu'instrument, c'est témoigner et éduquer pour le Ciel, et cela procure une joie qui n'est pas de ce monde. Une telle maternité spirituelle peut combler la vie d'un être humain. »

    Edith Stein (Ste Thérèse-Bénédicte de la Croix, 1891-1942), La Femme, Ed. du Carmel, Paris, 2008.

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  • Mercredi 11 octobre 2017

    Maternité de la Vierge Marie

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    Fra Angelico (v.1395–1455), Vierge d'humilité
    National Gallery of Art, Washington, D.C. (USA)

    (Crédit photo)
     
    Au nouveau calendrier : de la férie
  • Méditation - Marie, modèle de tous les chrétiens

    « Avant tout, vous pratiquerez vous-mêmes les vertus de Marie : la délicatesse de son Cœur immaculé ; le recueillement et l'esprit de prière, dont parle l’Évangile, quand il rappelle par deux fois qu'elle conservait dans son cœur le souvenir des grâces de Dieu et des actions de l'Enfant Jésus (Lc 2, 19 et 51), l'amour de Dieu, humble, ardent et joyeux, qui éclate dans le Magnificat ; l'amour des autres également, de tous les autres, de ses parents, de ses amis, de tous les hommes, cette charité incomparable qui la fait voler au service de sa cousine Élisabeth, dès qu'elle apprend sa prochaine maternité ; qui la rend attentive à la gêne des époux, quand le vin vient à manquer aux noces de Cana ; qui l'unit enfin de façon si douloureuse et si profonde aux souffrances de son divin Fils pour le salut du genre humain. Oui, la très sainte Vierge, dont la condition fut si humble, dont l’Évangile ne rapporte que si peu de chose, dont le silence remplit presque toute la vie, la Sainte Vierge a vu Dieu accomplir en elles les plus grandes choses sans perdre cette étonnante modestie qui remplit d'admiration. Et c'est pourquoi elle reste le modèle de tous les chrétiens. Avec le Sauveur lui-même elle est demeurée cachée à Nazareth, unie à lui dans la douceur et l'humilité, dans l'accomplissement du devoir quotidien et des travaux domestiques, dans la patience et la prière. On ne connaît d'elle aucun miracle, aucune action extraordinaire, mais elle a aimé Dieu de tout son cœur, de toute son âme, de tout son esprit et de toute sa force. C'est là le premier commandement. Et elle a aimé le prochain comme soi-même. « De plus grand que ceux-là il n'est aucun autre commandement. » (Mc 12, 30) »

    Pie XII, RM aux pèlerins de Sainte-Anne-d'Auray, 26 juillet 1954, in "La Vierge Marie dans l'enseignement des Papes" (ch.3), Solesmes, 1981.

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  • Méditation : Ad Jesum per Mariam

    « Lorsqu'on a découvert le rôle que la Très Sainte Vierge joue dans la vie intérieure, rien ne paraît plus désirable que d'entrer toujours davantage dans Son intimité.
    « Que ce doux nom ne soit jamais loin de votre bouche, jamais loin de votre cœur. (1) » « C'est un bonheur de pouvoir contempler en silence ce qu'un long discours serait incapable de bien expliquer. (2) »
    Mais que va faire la Sainte Vierge dans les âmes qui Lui sont unies ? Elle va leur parler de Son Fils, leur faire connaître Jésus, les conduire à Lui, et tout cela à Sa manière maternelle et cachée :
    « Puissions-nous avoir par Vous accès auprès de Votre Fils, ô Vous qui avez eu le bonheur de trouver la grâce, d'enfanter la vie et le salut ! Que Celui qui nous a été donné par Vous, par Vous aussi nous reçoive ! Que Votre sainteté excuse auprès de Lui la faute de notre corruption, et que Votre humilité, qui charme les regards de Dieu, Lui fasse pardonner à notre vanité.
    Que Votre immense charité couvre la multitude de nos péchés, et que Votre glorieuse fécondité nous rende féconds aussi en bonnes œuvres. Ô Vous, Notre-Dame, notre Médiatrice et notre Avocate, réconciliez-nous avec Votre Fils, recommandez-nous, présentez-nous à Lui ; faites, ô bienheureuse Vierge, par la grâce que Vous avez trouvée, par la prérogative que Vous avez méritée, par la miséricorde dont Vous êtes la Mère, faites que Jésus-Christ, Votre Fils et notre Seigneur..., qui a daigné par Vous partager notre faiblesse et notre misère, nous fasse la grâce, par Votre intercession, de nous faire un jour partager avec Lui la gloire et le bonheur éternels. (3) »
    Ainsi Marie nous conduit à Jésus : Ad Jesum per Mariam. »

    1. Super Missus est, II, 17. - 2. idem - 3. In Adventu, Serm. II, 5.

    Dom Godefroid Bélorgey (1880-1964), Dieu nous aime (ch. VI : A l'école de Saint Bernard), Éditions du Cerf, Paris, 1949.

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  • Méditations de la Semaine Sainte - Les paroles de Jésus en Croix

    « « Femme, voici votre fils. » Jésus formule ses dernières dispositions et comme son testament. Il ne peut pas mourir sans donner un dernier témoignage d'amitié à Marie sa Mère, à saint Jean, son disciple bien-aimé et à nous tous dans la personne de saint Jean. C'est là le testament de son Cœur. Il donne à Marie un soutien, l'apôtre vierge et aimant ; à saint Jean et à nous tous une Mère.
    Ces paroles étaient un acte de détachement autant qu'un acte de charité. Quel sacrifice pour Jésus et Marie !
    A ce moment là, nous sommes nés enfants de Marie. Marie a dit son fiat, comme elle l'avait dit pour sa maternité divine. Elle nous a acceptés pour ses enfants. Nous avons pris place dans son cœur.
    Saint Jean est entré de suite en possession de son legs précieux, il a pris Marie comme étant à lui : Accepit eam in sua.
    A nous de recueillir, comme saint Jean, le legs qui nous est fait et de le mettre à profit. Prenons Marie pour notre Mère. Honorons-la comme telle. Aimons-la. Sollicitons ses conseils, son secours, sa protection maternelle. Soyons-lui dévoués comme saint Jean, propageons son culte, gagnons-lui des enfants dévoués.

    Résolutions - Seigneur, pardonnez-moi comme au bon larron ; recommandez-moi à Marie ; donnez-moi la grâce de remplir comme vous toute ma mission, d'accomplir tout ce que votre Père céleste attend de moi. Je remets mon âme entre vos mains pour que vous la dirigiez et que vous la gardiez unie à votre divin Cœur. »

    Vénérable Léon Dehon (1843-1925), L'année avec le Sacré-Cœur, Tome I (Mercredi Saint), Établissements Casterman, Tournai - Paris, s.d. (1909).

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    Le Mans, Cathédrale Saint Julien, Grand Sépulcre, la Vierge et saint Jean
    (Crédit photo)

  • Audience générale de ce mercredi 5 novembre 2014

    Durant l'Audience générale tenue place St Pierre malgré le mauvais temps, le Pape a développé sa catéchèse sur l'Eglise en déclarant que "la présence et le ministère des évêques, des prêtres et des diacres permet de reconnaître le vrai visage de l'Eglise. C'est la sainte Mère Eglise hiérarchique. Dans ces frères choisis par le Seigneur et consacrés par l'ordre, l'Eglise exerce sa maternité". Mais "l'épiscopat n'est pas une distinction honorifique mais un service, selon la volonté de Jésus... Etre évêque veut dire suivre en permanence l'exemple de Jésus...venu pour servir et non pour être servi... Lorsqu'il choisit ses apôtres, il les a vu unis à lui comme une famille". De même les évêques forment-ils un collège rassemblé autour du Pape, qui en est le gardien et le garant". Et peu importe s'ils vivent très loin les uns des autres, dans des cultures très variées, car "ils se savent unis les uns aux autres, et constituer une image de leur lien commun avec le Christ... Il ne peut y avoir d'Eglise saine si les fidèles, les diacres et les prêtres ne sont pas unis à leur évêque. Une Eglise non unie à son évêque est malade. C'est Jésus qui veut cette union de tous les fidèles avec l'évêque, laïcs, prêtres et diacres. Ils doivent être conscients de ce que l'évêque rend visible le lien de chacun avec l'Eglise, de l'Eglise avec les apôtres et les autres communautés, elles aussi unies à leurs évêques et au Pape dans l'unique Eglise du Seigneur, notre sainte Mère Eglise hiérarchique".

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 5.11.14).

    Résumé :

    « Frères et sœurs, le Christ suscite dans son Église des ministres, les Évêques, les prêtres et les diacres, qui forment la hiérarchie. C’est par elle que l’Église exerce sa maternité : elle nous engendre par le baptême et nous fait grandir dans la foi. Elle nous nourrit par l’Eucharistie, nous conduit au Père pour recevoir son pardon, et elle nous accompagne durant notre vie, spécialement dans les moment difficiles et à l’heure de la mort. L’Évêque, à la tête de la communauté chrétienne, est le garant de la foi et le signe vivant de la présence du Seigneur. Il est à l’image du Bon Pasteur, venu non pour être servi mais pour servir, et qui donne sa vie pour ses brebis. Les Évêques sont les successeurs des Apôtres ; ils forment un unique collège, en communion avec le Pape, même lorsqu’ils sont dispersés partout dans le monde et vivent en des lieux et des cultures différents. »

    « Je salue cordialement les pèlerins de langue française, en particulier les prêtres de Namur avec leur Évêque Monseigneur Vancottem, et les jeunes du collège Fénelon-Sainte-Marie de Paris.
    Je vous invite, chacun, à vivre une sincère et profonde communion avec l’Évêque que le Seigneur vous donne comme pasteur, pour recevoir de lui tous les biens que l’Eglise, comme une mère, vous transmet.
    Bon pèlerinage ! »

    Source : site internet du Vatican.

    Traduction intégrale en français sur Zenit.org

    Texte intégral en italien sur le site internet du Vatican.

  • William Byrd (v.1540-1623) : Motet "Ecce Virgo concipiet"

    Stile Antico

     IN MATERNITATE B. MARIÆ VIRG.

    Ant. ad Introitum. Is. 7, 14. (Introït)
    Ecce Virgo concípiet, et páriet fílium, et vocábitur nomen eius Emmánuel.
    Voici que la Vierge concevra et elle enfantera un Fils, et on l’appellera Emmanuel.
  • Méditation : tradition de la dévotion mariale

    « Quels que soient nos états de vie et nos responsabilités, nous sommes tous enveloppés dans la douce maternité de la Vierge Marie, qui accomplit pour nous les actes mêmes que toute mère prodigue à ses enfants : elle aime, elle veille, elle protège, elle intercède. En retour, montrez-vous toujours catholiques dans votre amour de la Vierge Marie, « la très sainte Mère de tous les membres du Christ ». Tous les catholiques sont par conséquent les fils de Notre-Dame et leur piété pour Marie se doit de refléter cette commune appartenance à la famille des enfants de Dieu, en s'exprimant toujours par les manifestations habituelles du culte séculaire voué par l’Église de Jésus-Christ à la Mère du Sauveur. Aussi, chers fils, fuyez tout ce qui singularise, recherchez au contraire la dévotion mariale la plus assurée par la tradition, telle qu'elle nous est transmise depuis les origines [...]. Une telle piété envers la très Sainte Vierge est la marque d'un cœur vraiment catholique. »

    St Jean XXIII, Radio-message du 9 juillet 1961, in "Au fil des jours avec Jean XXIII", Textes recueillis par Henri Bacht, s.j., Trad. par M. Grandclaudon, Éditions Salvator, Mulhouse, 1967.

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    Bartolomé Esteban Murillo (v.1618-1682) : L'Immaculée Conception (détail)
    (Musée des Beaux-Arts, Séville)

  • Méditation : Sainte Marie, Mère de Dieu (1)

    « Cette maternité de la Très Sainte Vierge prend son origine, son lustre et son autorité de la paternité divine de celui "a quo omnis paternitas in coelo et in terra nominatur" (Ep II, 15). Car il est le Père de celui dont la Vierge est Mère... Comme toutes les merveilles de la naissance divine du Fils de Dieu sont encloses en la paternité divine comme en leur centre et en leur origine ; ainsi, les merveilles de la naissance humaine de ce même Fils de Dieu sont comprises en la maternité divine, comme au point et en l'origine d'où elles naissent et où elles se rapportent.
    Disons en somme que cette maternité est une qualité si haute et si éminente qu'elle ne regarde que Dieu au-dessus de soi et tout le reste bien inférieur à soi ; que c'est une qualité si sainte qu'elle suppose une grâce toute singulière, un comble de grâce et une grâce toute pleine de privilèges ; que c'est une qualité si rare qu'elle est unique en la terre et au ciel ; car la terre porte plusieurs enfants adoptifs de Dieu, et le ciel est rempli de saints et d'anges qui sont enfants de Dieu. Mais le ciel et la terre ne portent qu'une Mère de Dieu, elle est unique et singulière en cette qualité ; comme il n'y a entre les personnes divines qu'une personne incréée qui porte la qualité de Père ; aussi entre toutes les personnes créées établies en l'ordre de la nature, de grâce et de gloire en la terre et au ciel, il n'y a qu'une personne créée, il n'y a que Marie qui ait la qualité de Mère au regard de Dieu et qui soit Mère de celui dont Dieu est Père ; qualité si haute, si rare et si sainte que nous ne la pouvons assez admirer ; qualité si divine qu'elle approche Dieu de si près et l'approche tellement en qualité de Mère qu'elle le conçoit, le contient et l'engendre en soi-même et hors de soi-même, le donnant au monde... »

    Cardinal de Bérulle (1575-1629), Discours sur l’État et les Grandeurs de Jésus..., Discours XI, in Molien, "Les grandeurs de Marie d'après l’École française", Desclée de Brouwer, 1930.

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  • Vendredi 11 octobre 2013

    Calendrier liturgique

    Mois du Rosaire

  • Méditation : "En prière avec Marie, Mère de Jésus" (2)

    Nous vivons cette dernière semaine avant la Nativité à l'école de Marie, et de sa prière.
    Les méditations sont extraites du livre du P. Jean Lafrance (1931-1991) : En prière avec Marie, Mère de Jésus.

    « Il n'y a aucun doute que Marie voulait et désirait la venue du Messie, comme Jean-Baptiste lorsqu'il envoie ses disciples demander à Jésus : "es-tu celui qui doit venir ou devons-nous en attendre un autre ?" (Mt 11,3). Marie portait cet ardent désir, même si elle ne comprenait pas ses exigences dont elle découvrira bientôt la profondeur avec un certain effroi, lorsque l'ange la visitera.

    Marie a forcément eu le désir de la maternité de Jésus, car le Saint-Esprit ne fait rien en nous, sans le faire désirer d'une manière inconsciente ou incoative. On obtient de Dieu ce qu'on espère de lui et, si on n'attend rien, le Saint-Esprit ne peut pas combler un désir inexistant. Seul le désir peut attirer Dieu en nous et il ne vient qu'à ceux qui le lui demandent avec intensité, confiance et persévérance. On pressent bien cette loi du désir dans l'éducation à la prière : on ne peut pas apprendre à prier à quelqu'un qui n'en a pas le désir intense. Si Marie avait le désir de la maternité, il faut tout de suite ajouter qu'elle ne savait pas ce qu'elle désirait, parce qu'étant habitée par l'Infini, elle était aussi mue par l'Infini. Par ailleurs, ayant fait le propos de virginité, elle ne pouvait pas désirer "quelque chose" dans le domaine de la maternité. Elle désirait dans la ligne des désirs du Peuple d'Israël, mais sans savoir quoi, parce qu'elle n'était pas fixée sur ses petites idées.
    [...]
    « En réalité, dans sa souplesse, elle avait déjà renoncé à tout..., ce qui est la seule façon de "choisir tout", comme le fit Thérèse, fille de Marie, deux mille ans après. Marie désirait autant la fécondité que la virginité. Ne pouvant abdiquer aucun de ses désirs, et ne voyant pas comment ils pouvaient se concilier, elle avait choisi de ne rien choisir et de s'en remettre à Dieu (avant même la parole de l'ange) sur le "Quomodo fiet istud ?" "Comment cela se fera-t-il ?". L'ampleur illimitée de sa soif exigeait justement, par sa folie même, qu'elle ne prenne aucune initiative pour l'assouvir. (C'est pourquoi je ne suis pas sûr qu'elle ait fait voeu de virginité. Elle a consacré à Dieu, tout simplement, les forces de son âme et de son corps). Incapable de sortir des contradictions où la plongeait le Saint-Esprit, elle s'en remettait à lui, dans une obscurité totale, du soin de les dénouer." (*) »

    (*) : M.D. Molinié, "La Sainte Vierge et la Gloire", Cahiers sur la Vie Spirituelle, Deuième Série, L'Epouse, 1973.

    Jean Lafrance, En prière avec Marie, Mère de Jésus (ch. IV, 6), Abbaye Ste-Scholastique, Dourgne, 1985.

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  • 11 octobre : Sanctoral

    Bx Jean XXIII (1881-1963), Mémoire facultative en France

    St Nicaise et ses compagnons, martyrs (IIe s.)

    Au calendrier traditionnel : Maternité de la Vierge Marie

    La fête de la Maternité de la Ste Vierge était fêtée en certains lieux le deuxième dimanche d’octobre, une messe pro aliquibus locis se trouvait dans l’appendice du Missel Romain. En 1931, pour célébrer le XVème centenaire du Concile d’Ephèse (431), qui proclama le dogme de la maternité divine, Pie XI établit la fête pour l’Eglise universelle au 11 octobre.

  • Dimanche 3 juin : « Fêter les mères, c’est accueillir la Vie »

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    Communiqué de "Choisir la vie" :

    La Journée Nationale pour la Vie, demandée par Jean-Paul II et fixée par le Conseil Permanent des Evêques de France le jour de la fête des mères, est une journée marquée dans toute la France par la célébration de la valeur et la beauté de toute vie humaine, de la grandeur de la maternité et de l’accueil de l’enfant.

    Pour la 12e année consécutive, Choisir la Vie, en partenariat avec la Confédération Nationale des Associations Familiales Catholiques (CNAFC), l’Union Pour la Vie (UPV) et l’Evangile de la Vie, promeut cette journée au travers de diverses actions organisées dans de nombreux départements (collage d’affiches, lâchers de ballons, quêtes en faveur des maisons d’accueil pour femmes enceintes en difficulté…).

    Douze ans après sa création, la Journée nationale pour la Vie reste encore trop peu connue et, de ce fait, insuffisamment relayée par les diocèses, paroisses et laïcs. Peu d’entre nous connaissent d’ailleurs son origine, et encore moins les actions menées ce jour-là par les diverses associations. C’est pourquoi des plaquettes ont été éditées à destination des paroisses afin qu’elles puissent relayer cette journée en organisant leurs propres actions (veillée de prières, intentions, tenue de stands, organisation de conférences, vente d’objets au profit de foyers d’accueil pour femmes enceintes en difficulté…).

    Choisir la Vie appelle chacun à promouvoir cette journée, à se mobiliser pour fêter la Vie en ce jour de la fête des mères, en initiant ou en rejoignant une action prévue dans son département ou dans sa ville et participer ainsi à la sensibilisation du grand public".

    Contact :
    Choisir la Vie : Tel/fax 01 45 53 56 80 - choisirlavie[arobase]choisirlavie.fr.
    Coordinatrice : Patricia de Poncins (06 62 44 53 72), pdeponcins[arobase]yahoo.fr.

    A télécharger sur "Choisir la Vie" : Affiche et Tract.