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Samedi 18 janvier 2014
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Apparition de la Vierge Marie à Pontmain
Le soir du 17 janvier 1871, de 18h à 21h, la Vierge Marie apparaît dans le ciel de Pontmain à de jeunes enfants : Eugène et Joseph Barbedette, Françoise Richer et Jeanne-Marie Lebossé, puis au Bx abbé Guérin et à tout le village, et leur communique, de la part du Seigneur, un message de prière et d'espérance :"Mais priez, mes enfants, Dieu vous exaucera en peu de temps. Mon fils se laisse toucher"Très douce Vierge Marie,
Tu as dans ton apparition à Pontmain,
rappelé l’importance de la prière,
fortifié en nos cœurs l’Espérance
et apporté la Paix.
Daigne accueillir favorablement aujourd’hui
la prière ardente que nous t’adressons
pour que s’établisse dans nos cœurs, nos familles,
notre Nation et toutes les Nations,
la PAIX,
fruit de la justice, de la vérité, de la charité.
Augmente en nos âmes le désir de vivre pleinement notre foi,
sans aucune compromission, dans toutes les circonstances de notre vie.
Aide-nous à toujours comprendre les autres
et à les aimer profondément en Dieu. Amen. -
Vendredi 17 janvier 2014
St Antoine, abbé
Calendrier liturgiqueIntroït de la Messe de ce jour (Commun des Confesseurs)
Chœur Grégorien de Lisbonne
Ant. ad Introitum. Ps. 36, 30-31.
Os iusti meditábitur sapiéntiam, et lingua eius loquétur iudícium : lex Dei eius in corde ipsíus.
La bouche du juste méditera la sagesse et sa langue proférera l’équité ; la loi de son Dieu est dans son cœur.
Ps. Ibid., 1.
Noli æmulári in malignántibus : neque zeláveris faciéntes iniquitátem.
Ne porte pas envie au méchant et ne sois pas jaloux de ceux qui commettent l’iniquité. -
Jeudi 16 janvier 2014
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Mercredi 15 janvier 2014
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Dimanche 12 janvier 2014
Baptême du Seigneur
Au calendrier traditionnel : La Sainte Famille
(En France : Solennité de l’Épiphanie de Notre Seigneur)
Calendrier liturgique
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Samedi 11 janvier 2014
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Jeudi 09 janvier 2014
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Mercredi 08 janvier 2014
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Mardi 07 janvier 2014
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Dimanche 05 janvier 2014
Épiphanie du Seigneur
(Au nouveau calendrier liturgique, là où le 6 février n'est pas férié, l’Église latine reporte la célébration de cette fête au dimanche le plus proche, afin que le plus grand nombre des fidèles puissent la commémorer dignement.)
"Ecce Advenit" : Introït de la Messe de l’ÉpiphanieCapella Gregoriana
Ant. ad Introitum. Malach. 3, 1 ; 1 Par. 29, 12.
Ecce, advénit dominátor Dóminus : et regnum in manu eius et potéstas et impérium.
Voici que vient le Seigneur Maître ; le pouvoir est dans sa main, la puissance et l’empire.
Ps. 71, 1.
Deus, iudícium tuum Regi da : et iustítiam tuam Fílio Regis.
O Dieu, donnez au roi votre jugement et au fils du roi votre justice.Au calendrier traditionnel : Très saint Nom de Jésus -
Samedi 04 janvier 2014
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Vendredi 03 janvier 2013
Le Saint Nom de Jésus
Au propre de France : Ste Geneviève, viergeCompagnie des Porteurs de la Châsse de Sainte Geneviève
(Vie de Sainte Geneviève, prières, arts, programme...)
Les différentes châsses et les reliques de Sainte Geneviève
Paroisse Saint-Etienne-du-Mont, à Paris
(où se trouve encore la dernière châsse ayant contenu les reliques de Ste Geneviève,
brûlées en place de Grève le 3 décembre 1793) -
Jeudi 02 janvier 2014
Sts Basile le Grand et Grégoire de Nazianze
Calendrier liturgique -
Mercredi 1er janvier 2014
Sainte Marie, Mère de Dieu
Au calendrier traditionnel : Circoncision de Notre Seigneur -
Dimanche 29 décembre 2013
La Sainte Famille
Calendrier liturgique
(Dimanche dans l’Octave de la Nativité au calendrier traditionnel)La fête de la Sainte Famille : pour s'y retrouver un peu...
Le culte de la sainte Famille se développa particulièrement au XVIIe siècle, sous la forme de pieuses associations ayant pour fin la sanctification des familles chrétiennes sur le modèle de celle du Verbe incarné. Cette dévotion, introduite au Canada par les Pères de la Compagnie de Jésus, ne tarda pas à s’y propager rapidement.
Deux siècles plus tard, devant les manifestations croissantes de la piété des fidèles à l’égard du mystère de Nazareth, le Pape Léon XIII, par le Bref « Neminem fugit » du 14 juin 1892, établissait à Rome l’association de la Sainte Famille, dans le but d’unifier toutes les confréries instituées sous le même vocable.
L’année suivante (1893), le même Souverain Pontife, dans son encyclique sur le mariage chrétien, voulut offrir aux familles catholiques un modèle à imiter et une céleste protection à qui elles devraient se confier ; il institua donc la fête de la sainte Famille de Nazareth, avec un appareil liturgique solennel d’hymnes et de lectures, et il la fixa au IIIe dimanche après l’Épiphanie.
La réforme de Pie X en partie abrogea, en partie transféra à des dates fixes, toutes les solennités mobiles annexées au dimanche.
Benoît XV la fixa au dimanche dans l’octave de l’Épiphanie et l'étendit à l’Église universelle.
Elle fut rendue obligatoire dans toute l’Église par Pie XI en 1921.
La fête de la Sainte Famille empêche donc la célébration du « 1er dimanche après l’Épiphanie » ou « Dimanche dans l’Octave de l’Épiphanie » qui utilisait le même évangile mais comportait, conformément au temps liturgique en cours, la lecture d’un passage de St Paul aux Romains comme Épître.
Aujourd’hui, au calendrier traditionnel, la messe du 1er dimanche après l’Épiphanie n’est plus dite qu’en semaine, les jours qui suivent la fête de la Sainte Famille.
En France, la messe de la Sainte Famille n’est célébrée le dimanche que dans les églises qui ont plusieurs messes : en effet, la solennité de l’Épiphanie, qui n’est pas fériée, prime.
Depuis le Concile Vatican II et dans la réforme du missel romain, cette fête a été avancée au premier dimanche après la fête de la Nativité. -
Vendredi 27 décembre 2013
St Jean, apôtre et évangéliste
Calendrier liturgique
Introït de la Messe de ce jour (Commun des Docteurs)Cantori Gregoriani - Fulvio Rampi
Ant. ad Introitum. Eccli. 15, 5.
In médio Ecclésiæ apéruit os eius : et implévit eum Dóminus spíritu sapiéntiæ et intelléctus : stolam glóriæ índuit eum.
Dans l’Église, le Seigneur l’a chargé d’enseigner. Il l’a pénétré de l’esprit de sagesse et d’intelligence. Il l’a revêtu d’un vêtement de gloire.
Ps. 91, 2.
Bonum est confitéri Dómino : et psállere nómini tuo, Altíssime.
Qu’il est bon de proclamer sa foi dans le Seigneur et de chanter ton nom Dieu Très Haut. -
Jeudi 26 décembre 2013
St Etienne, protomartyr
Calendrier liturgique -
Mercredi 25 décembre 2013
Nativité de Notre Seigneur
Calendrier liturgique« La date historique de la nativité temporelle du Sauveur étant inconnue dans les premiers temps, une antique tradition, inaugurée peut-être au début du IIe siècle, célébrait les diverses théophanies du Christ dans sa nature mortelle, c’est-à-dire sa naissance, sa manifestation aux Mages et son baptême dans le Jourdain, peu après le solstice d’hiver, dans les dix premiers jours de janvier. Cette date conventionnelle avait déjà trouvé crédit dans toutes les Églises, quand, on ne sait comment, Rome dédoubla pour son compte la fête des Théophanies, anticipant au 25 décembre l’anniversaire de la naissance temporelle du Sauveur.
Quand et comment l’Église-mère arriva-t-elle à établir cette date ? Nous l’ignorons, puisque, sauf un texte très douteux du commentaire d’Hippolyte sur Daniel, le plus ancien document qui fixe Noël au 25 décembre est le calendrier philocalien de 336, qui porte cette indication : VIII Kal. ian. natus Christus in Betleem Iudee. Évidemment, le chronographe n’annonce rien de nouveau, mais il se fait l’écho de la tradition romaine antérieure, qui, dans le Liber Pontificalis prétend remonter jusqu’au pape Télesphore. Dans le discours fait à Saint-Pierre par le pape Libère donnant, le jour de Noël, le voile des vierges à Marcelline, sœur de saint Ambroise, on ne relève aucune allusion à la nouveauté de la fête, mais, au contraire, tout le contexte donne l’impression qu’il s’agit d’une solennité de vieille date, à laquelle le peuple a coutume d’accourir en foule, en vertu d’une ancienne habitude. La fête de Noël fut, au début, propre au siège apostolique. Saint Jean Chrysostome qui l’introduisit à Antioche vers 375, en appelle précisément à l’autorité de la capitale du monde latin, où, à son avis, seraient encore conservés les actes du recensement de Quirinus, avec la date précise de la naissance du Christ à Bethléem le 25 décembre. D’Antioche, la fête passa à Constantinople. Sous l’évêque Juvénal, entre 424 et 458, elle fut introduite à Jérusalem, puis, vers 430, fut admise à Alexandrie, et, de ces célèbres sièges patriarcaux, elle se répandit aussi peu à peu dans les diocèses qui en dépendaient. Actuellement, seuls les Arméniens monophysites célèbrent encore la naissance du Christ à sa date primitive, le 6 janvier.
Il ne faut pourtant pas négliger une coïncidence. Le calendrier civil du recueil philocalien note au 25 décembre le Natalis invicti, la naissance du soleil, et cette naissance coïncide justement avec le solstice d’hiver. A l’époque où, grâce aux mystères de Mithra, le culte de l’astre du jour avait pris un tel développement que, au dire de saint Léon, même les fidèles qui fréquentaient la basilique Vaticane, se permettaient d’y pratiquer le rite superstitieux de saluer d’abord, de l’atrium de l’Apôtre, le disque solaire, il n’est pas improbable que le siège apostolique, en anticipant au 25 décembre la naissance du Christ, ait voulu opposer au Sol invictus, Mithra, le vrai Soleil de justice, cherchant ainsi à détourner les fidèles du péril idolâtre des fêtes païennes. Dans une autre occasion, tout à fait semblable, c’est-à-dire pour la fête des Robigalia le 25 avril, Rome adopta une identique mesure de prudence, et, au cortège païen du pont Milvius, elle substitua la procession chrétienne qui parcourait le même trajet. »
Bx Cardinal Schuster (1880-1954), Liber Sacramentorum - Notes historiques et liturgiques sur le Missel Romain, Tome I, Vromant, Bruxelles, 1933. -
Vendredi 20 décembre 2013