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Lundi 03 mars 2014
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Dimanche 23 février 2014
7ème dimanche du Temps Ordinaire
(Dimanche de la Sexagésime)
Calendrier liturgique -
Vendredi 21 février 2014
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Dimanche 16 février 2014
Dimanche 16 février : 6ème dimanche du Temps Ordinaire
(Dimanche de la Septuagésime)Introït du Dimanche de la SeptuagésimeAnt. ad Introitum. Ps. 17, 5, 6 et 7.
Circumdedérut me gémitus mortis, dolóres inférni circumdedérunt me : et in tribulatióne mea invocávi Dóminum, et exaudívit de templo sancto suo vocem meam.
Les gémissements de la mort m’ont environné, les douleurs de l’enfer m’ont entouré ; dans mon affliction j’ai invoqué le Seigneur, et de son saint temple, il a entendu ma voix.
Ps. ibd., 2-3.
Díligam te, Dómine, fortitúdo mea : Dóminus firmaméntum meum, et refúgium meum, et liberátor meus.
Je vous aimerai, Seigneur, vous qui êtes ma force ; le Seigneur est mon ferme appui, et mon libérateur.
V/. Glória Patri. -
Samedi 15 février 2014
A noter ce jour, qu'aux côtés de St Claude la Colombière (voir ci-dessus), nous faisons mémoire de trois autres apôtres du divin Coeur de Jésus : le Bx Michal Sopocko, confesseur et père spirituel de Se Faustine, et fondateur de la congrégation des sœurs de Jésus Miséricordieux (✝ 1975) - la Vénérable Anne-Madeleine Rémuzat, visitandine à Marseille durant la grande peste qui ravagea la ville en 1720 (✝ 1730), et Teresa Higginson (✝ 1905).
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Lundi 27 janvier 2014
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Vendredi 20 décembre 2013
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Mardi 10 décembre 2013
Translation de la maison de la Vierge à Lorette
(Notre-Dame de Lorette) -
Dimanche 1er décembre 2013
1er dimanche de l’Avent
Calendrier liturgique"Ad te levavi"C’est l’Introït du premier dimanche de l’Avent. ICI dans une toute nouvelle interprétation, qui est proposée à notre écoute par les "Cantori Gregoriani" et par leur chef de chœur, avec un guide explicatif fort bien réalisé.
Ant. ad Introitum. Ps. 24, 1–3.
Ad te levávi ánimam meam : Deus meus, in te confíde, non erubéscam : neque irrídeant me inimíci mei : étenim univérsi, qui te exspéctant, non confundéntur.
Vers vous l’élan de mon âme, ô mon Dieu ! En vous ma confiance : que je n’aie pas à en rougir et que mes ennemis ne puissent pas se moquer de moi car ceux qui comptent sur votre venue ne seront pas déçus.
Ps. ibid., 4
Vias tuas, Dómine, demónstra mihi : et sémitas tuas édoce me.
Montrez-moi votre chemin, Seigneur, et apprennez-moi à le suivre. -
Mardi 5 novembre 2013
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Vendredi 25 octobre 2013
En France : solennité de la dédicace des églises dont on ne connaît pas la date de consécration.« La solennité qui nous réunit est la dédicace d'une maison de prière. La maison de nos prières, nous y sommes ; la maison de Dieu, c'est nous-mêmes. Si la maison de Dieu, c'est nous-mêmes, nous sommes construits en ce monde, pour être consacrés à la fin du monde. L'édifice, ou plutôt sa construction, se fait dans la peine ; la dédicace se fait dans la joie.
Ce qui se passait, quand s'élevait cet édifice, c'est ce qui se passe maintenant quand se réunissent ceux qui croient au Christ. Lorsque l'on croit, c'est comme lorsque l'on coupe du bois dans la forêt et que l'on taille des pierres dans la montagne ; lorsque les croyants sont catéchisés, baptisés, formés, c'est comme s'ils étaient sciés, ajustés, rabotés par le travail des charpentiers et des bâtisseurs.
Cependant, on ne fait la maison de Dieu que lorsque la charité vient tout assembler. Si ce bois et cette pierre n'étaient pas réunis selon un certain plan, s'ils ne s'entrelaçaient pas de façon pacifique, s'ils ne s'aimaient pas, en quelque sorte, par cet assemblage, personne ne pourrait entrer ici. Enfin, quand tu vois dans un édifice les pierres et le bois bien assemblés, tu entres sans crainte, tu ne redoutes pas qu'il s'écroule.
Le Christ Seigneur, parce qu'il voulait entrer et habiter en nous, disait, comme pour former son édifice : "Je vous donne un commandement nouveau, c'est que vous vous aimiez les uns les autres. (1) C'est un commandement, dit-il, que je vous donne." Vous étiez vieux, vous n'étiez pas une maison pour moi, vous étiez gisants, écroulés. Donc, pour sortir de votre ancien état, de votre ruine, aimez-vous les uns les autres.
Que votre charité considère encore ceci : cette maison est édifiée, comme il a été prédit et promis, dans le monde entier. En effet, quand on construisait la maison de Dieu après la captivité, on disait dans un psaume : "Chantez au Seigneur un chant nouveau ; chantez au Seigneur terre entière." (2) On disait alors : "un chant nouveau" ; le Seigneur a dit : "un commandement nouveau." Qu'est-ce qui caractérise un chant nouveau, sinon un amour nouveau ? Chanter est le fait de celui qui aime. Ce qui permet de chanter c'est la ferveur d'un saint amour.
Ce que nous voyons réalisé ici physiquement avec les murs doit se réaliser spirituellement avec les âmes ; ce que nous regardons ici accompli avec des pierres et du bois, doit s'accomplir dans vos corps, avec la grâce de Dieu.
Rendons grâce avant tout au Seigneur notre Dieu : les dons les meilleurs, les présents merveilleux viennent de lui. Célébrons sa bonté de tout l'élan de notre coeur. Pour que soit construite cette maison de prière, il a éclairé les âmes de ses fidèles, il a éveillé leur ardeur, il leur a procuré de l'aide ; à ceux qui n'étaient pas encore décidés, il a inspiré la décision ; il a secondé les efforts de bonne volonté pour les faire aboutir. Et ainsi Dieu, "qui produit, chez les siens, la volonté et l'achèvement parce qu'il veut notre bien", c'est lui qui a commencé tout cela, et c'est lui qui l'a achevé. »
(1) : Evangile selon saint Jean, XIII 34.
(2) : Psaume XCVI (XCV) 1.
Saint Augustin, Sermon CCCXXXVI (pour une dédicace). -
Samedi 28 septembre 2013
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Jeudi 26 septembre 2013
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Vendredi 26 juillet 2013
Ste Anne, Mère de la Ste Vierge Marie, et St Joachim
Calendrier liturgique -
Jeudi 18 juillet 2013
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Dimanche 14 juillet 2013
14 juillet : Jour de réparation et d'expiationOffrons à Dieu des prières et des sacrifices pour réparer les innombrables sacrilèges perpétrés par la révolution contre le Très Saint-Sacrement, contre le Saint Nom de Dieu, contre le dimanche, contre Notre-Dame, contre les Saints et leurs vénérables reliques, contre les lieux saints, contre les personnes consacrées... etc.PRIÈRE POUR DEMANDER À DIEU SON DIVIN SECOURS
DANS LES MAUX QUI DÉSOLENT LA FRANCE« Je ne suis qu’un être faible et fragile, et cependant j’ose élever ma voix vers le Dieu de gloire, de grandeur, de puissance et de majesté. S’il n’avait que ces seuls attributs, sans doute le respect et la crainte m’ôteraient la faculté d’oser lui adresser mes voeux. Mais sa clémence, sa bonté, sa miséricorde rassurent mon âme timide et alarmée ; oui, mon Dieu, je vous implore, et en vous demandant votre secours, je sens renaître l’espérance au fond de mon coeur. Ce n’est pas que je ne sache combien je me suis rendue indigne de vos grâces ; aussi n’est-ce pas sur mes propres mérites que je fonde mon espoir, mais sur ceux de Jésus-Christ votre Fils, qui s’est incarné, et qui a souffert la mort pour le salut de tous les hommes.
C’est en son nom, ô mon Dieu ! que je vous demande avec confiance la fin de tous les maux qui désolent la France, le rétablissement de notre sainte religion et celui de l’autorité royale, la tranquillité de mes parents, celle de mes amis, et la possibilité de nous réunir dans notre malheureuse patrie.
Mon Dieu, éclairez les esprits, créez des coeurs nouveaux, et donnez-leur un rayon de votre grâce pour qu’ils observent votre sainte loi. Faites cesser, Dieu de bonté, ces scènes d’horreur et de barbarie qui déshonorent les Français et offensent votre divine majesté. Rendez à chacun son état, ses biens, son existence, et faites que l’ordre se rétablisse et se maintienne. Cela parait impossible aux faibles mortels dont la sagesse n’est qu’illusion et vanité ; mais un seul acte de votre volonté, oh mon Dieu ! opérera ce miraculeux changement.
Seigneur, ne repoussez pas le cri de mon coeur. Mon Père, écoutez-moi ; mon Dieu, secourez-moi. J’embrasse la croix de mon divin Sauveur ; son sang coule encore sur moi. Ah ! ne voyez que lui, n’entendez que lui. C’est Jésus-Christ qui tous les jours s’immole pour nous ; c’est Jésus-Christ qui ne veut point la mort du pécheur, mais qu’il se convertisse et qu’il vive ; c’est ce fils adorable qui vous demande grâce pour nous. Puis-je donc être sans espérance ? Oh ! non, ma foi et ma confiance sont entières, mon Dieu, j’attends tout de votre clémence et de votre bonté. Ah! que je ne sois point trompée dans mon espoir. Je vous en supplie, Père des miséricordes, toujours au nom et par les mérites de Jésus-Christ Notre Seigneur. Amen. »
Mère Marie-Joseph de la Miséricorde (Louise-Adélaïde de Bourbon-Condé, 1757-1824)
Extrait de "Prières de la Famille de France", Association Clarté Saint-Jean, 2 mai 1994.
Source : CRIL 17 INFO. -
Jeudi 11 juillet 2013
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Dimanche 7 juillet 2013
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Vendredi 28 juin 2013
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Mardi 4 juin 2013