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  • Méditation : face à l'Adversaire, mépris et prudence

    « La première condition pour triompher du démon, c'est de ne point s'abandonner à une crainte exagérée. Certes, il est un adversaire redoutable par sa puissance dans le domaine sensible et par son habileté ; mais nous ne devons pas oublier ses déficiences, son ignorance du monde surnaturel, son impuissance à pénétrer dans les facultés de notre âme, sa qualité enfin de réprouvé qui ne lui permet que des victoires temporaires et en fait un éternel vaincu.
    Se laisser prendre par la terreur serait aussi irraisonnable que dangereux. Le démon utilise en effet savamment ce trouble pour dissimuler son infériorité et dresser ses pièges. Ce serait perdre nos avantages et augmenter sa puissance et ses chances de succès que de le craindre démesurément.
    C'est ce que nous a enseigné sainte Thérèse, avec toute l'autorité que lui donnent ses nombreux démêlés avec les mauvais esprits. Après avoir dit que les démons l'ont tourmentée très souvent, et avoir narré quelques-unes de leurs attaques, elle ajoute :
    "Cet exposé pourra servir au véritable serviteur de Dieu et l'aider à mépriser tous ces fantômes dont les démons se servent pour l'effrayer. Soyons-en bien persuadés, chaque fois que nous les méprisons, nous leur enlevons de leur force, et notre âme acquiert même sur eux un plus grand empire. De plus, il en découle toujours quelque grand avantage pour nous..." (Vie, ch. XXXI)
    Ce mépris, si sensible au démon, doit être accompagné de prudence. Cette prudence, lorsqu'elle devra combattre le démon, utilisera les armes surnaturelles qui assurent notre supériorité, à savoir les sacramentaux dont plus spécialement l'eau bénite, ainsi que la prière et le jeûne.
    Aussi souvent qu'elle le pourra, elle rompra le combat et échappera à toute atteinte du démon en se portant, par des actes de foi et d'humilité, dans des régions où le démon ne saurait pénétrer.
    [...]
    C'est pour faire plus grands nos mérites, plus pures et plus hautes nos vertus, plus rapide notre marche vers Lui que Dieu permet au démon de nous tenter et de nous éprouver. »

    Vénérable Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus O.C.D. (dies natalis ce jour), Je veux voir Dieu (Prem. Part. ch. VII, D), Éditions du Carmel, Tarascon, 1949.

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     Vénérable Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus (1894-1967)

  • Mois de mars : mois de Saint Joseph

    « Saint Joseph m’a toujours exaucée au-delà de mes prières et de mes espérances. »
    Ste Thérèse d’Avila (1515-1582)

    « Te, pater Ioseph, ópifex colénde,
    Názaræ felix látitans in umbra,
    vócibus magnis animísque plenis
    nocte canémus.


    Régiam stirpem tenuémque victum
    mente fers æqua tacitúsque portas,
    sacra dum multo mánuum labóre
    pígnora nutris.


    O Faber, sanctum spéculum fabrórum,
    quanta das plebi documénta vitæ,
    ut labor sudans, ut et officína
    sanctificétur.


    Qui carent escis, míseros fovéto ;
    témpera effrénos perimásque lites ;
    mýsticus Christus pátriæ sub umbrae
    tégmine crescat.


    Tu Deus trinus paritérque et unus,
    qui pater cunctis opiféxque rerum,
    fac patrem Ioseph imitémur actu,
    morte imitémur. »
    « C'est vous, patriarche Joseph,
    Ouvrier digne des autels,
    Ravi de vous cacher dans l'ombre à Nazareth,
    Qu'à hautes voix comme à pleins cœurs
    Cette nuit nous allons chanter.

    Une descendance de rois
    Et la condition des pauvres,
    Vous portez tout cela calme et silencieux,
    En nourrissant l'Enfant sacré
    Grâce au dur labeur de vos mains.

    Saint Ouvrier, des ouvriers
    Le pur miroir, combien aux humbles
    Votre existence apporte un modèle splendide,
    Pour que les sueurs du travail
    Et l'atelier soient choses saintes !

    Les miséreux qui sont sans pain,
    Accueillez-les avec amour ;
    Calmez toute révolte, apaisez tout conflit ;
    Qu'en nous croisse le Christ mystique
    Sous votre garde paternelle.

    Ô Dieu Trine et Un à la fois,
    Père de tous, auteur du monde,
    Donnez-nous d'imiter par toute notre vie
    Le saint patriarche Joseph,
    de l'imiter en notre mort ! »

    Hymne de Matines de l'Office liturgique de St Joseph artisan (1955), Trad. Mgr Francis Trochu.

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  • Jeudi 27 mars 2014

    Calendrier liturgique

  • Audience générale de ce mercredi 26 mars 2014

    La catéchèse du Pape François durant l'audience générale tenue place St Pierre a été consacré au sacerdoce et au mariage, "deux vocations qui conduisent au Seigneur" : Les prêtres, a-t-il dit en improvisant largement son discours, sont choisis et consacrés pour servir la communauté et reproduire dans le temps la présence du Christ, au nom de Dieu et par le pouvoir de l'Esprit. Ils sont placés à la tête, ce qui pour le Seigneur signifie mettre son autorité au service d'autrui. Le Christ veut que celui qui veut être grand se fasse esclave. "Ainsi un évêque qui ne serait pas au service de sa communauté ferait mal et se tromperait. De même pour tout prêtre... L'union sacramentelle au Christ se caractérise par l'amour passionné envers l’Église... Prêtres et évêques aiment l’Église dans leur communauté, avec force, c'est à dire comme le Christ l'aime... C'est là un mystère d'amour...et il en va de même dans le mariage, qui est une autre voie conduisant au Seigneur". Reprenant la recommandation de Paul à Timothée, de raviver sans cesse le don qui est en lui, le Pape a affirmé que si le ministère épiscopal ou sacerdotal n'est pas alimenté par la prière et l'écoute de la Parole, la célébration quotidienne de l'Eucharistie et la pénitence, il perd de vue le sens profond du service et éteint la joie découlant de la communion profonde avec Jésus-Christ. "Le prêtre qui ne vit pas ainsi perd à la longue son lien avec le Seigneur, tombant dans une médiocrité qui fait mal à l’Église. C'est pourquoi il faut aider les pasteurs à prier, à écouter, à célébrer et à se confesser régulièrement". Puis il s'est demandé quelles sont les vraies voies d'accès au sacerdoce : Elles ne sont pas visibles, évidentes, car l'initiative vient du Seigneur. C'est Lui qui appelle. Pour finir il a recommandé aux jeunes qui ressentent au fond d'eux-mêmes cet appel d'en avoir soin "afin qu'il grandisse pour offrir des fruits à l’Église toute entière".

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 26.3.14).

  • Communion - 3ème semaine de Carême : "Passer invenit sibi"

    Hebdomada Tertia Quadragesimæ - Ad Missam
    Schola Antiqua - Juan Carlos Asensio Palacios

    Passer invenit sibi domum,
    et turtur nidum, ubi reponat pullos suos:
    altaria tua Domine virtutum, Rex meus,
    et Deus meus: beati qui habitant in domo tua,
    in sæculum sæculi laudabent te. (Ps 83, 3-4)

  • P. Zanotti-Sorkine : Brûler d'amour pour Jésus !

    Homélie du 12 mars 2014 (sur Lc XI, 29-32)

  • Méditation : "L'ignorance des Écritures est l'ignorance du Christ"

    « À propos des textes bibliques médités, ne prenez point prétexte de ce qu'ils vous sont connus, pour faire une moue dédaigneuse ; mais confiez-le à votre cœur avec cette avidité que nous devons toujours avoir, soit à prêter l'oreille aux désirables Paroles du salut, soit à les proférer nous-mêmes. Si fréquemment que les vérités saintes nous soient exposées, jamais une âme qui a soif de la vraie connaissance n'en éprouvera de satiété ni d'aversion. Elles lui seront nouvelles chaque jour, chaque jour également désirées. Plus souvent elle s'en sera nourrie, plus elle se montrera avide de les entendre ou d'en parler.
    Leur répétition confirmera la connaissance qu'elle en a, loin que les conférences multipliées lui donnent un soupçon de dégoût. C'est l'indice évident d'une âme tiède et superbe, de recevoir avec ennui et indifférence la Parole du salut, quand même il y aurait de l'excès dans l'assiduité qu'on met à la lui faire entendre : « Celui qui est rassasié foule aux pieds le rayon de miel ; mais à celui qui est dans le besoin, cela même qui est amer parait doux » (Pr 27,7).
    Recueillie avec empressement, soigneusement déposée dans les retraites de l'âme, munie du cachet du silence, il en sera de la doctrine comme de vins au parfum suave, qui réjouissent le cœur de l'homme. Ainsi que la vieillesse fait le vin, la sagesse, qui tient lieu à l'homme de cheveux blancs, et la longanimité de la patience la mûriront. »

    St Jean Cassien (360-435), Conférence n°14, 13, Trad. SC 54 rev.

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    « Chers jeunes, je vous exhorte à devenir des familiers de la Bible, à la garder à portée de la main, pour qu'elle soit pour vous comme une boussole qui indique la route à suivre. En la lisant, vous apprendrez à connaître le Christ. Saint Jérôme observe à ce propos : "L'ignorance des Écritures est l'ignorance du Christ" (PL 24, 17 ; cf. Dei Verbum, n. 25). Un moyen assuré pour approfondir et goûter la parole de Dieu est la lectio divina, qui constitue un véritable itinéraire spirituel par étapes. De la lectio, qui consiste à lire et relire un passage de l'Écriture Sainte en en recueillant les principaux éléments, on passe à la meditatio, qui est comme un temps d'arrêt intérieur, où l'âme se tourne vers Dieu en cherchant à comprendre ce que sa parole dit aujourd'hui pour la vie concrète. Vient ensuite l'oratio, qui nous permet de nous entretenir avec Dieu dans un dialogue direct, et qui nous conduit enfin à la contemplatio ; celle-ci nous aide à maintenir notre cœur attentif à la présence du Christ, dont la parole est une « lampe brillant dans l’obscurité, jusqu'à ce que paraisse le jour et que l'étoile du matin se lève dans nos cœurs » (2 P 1, 19). La lecture, l'étude et la méditation de la Parole doivent ensuite déboucher sur l'adhésion d’une vie conforme au Christ et à ses enseignements. »

    Benoît XVI, extrait du Message au jeunes du monde à l'occasion de la XXIème Journée Mondiale de la Jeunesse, 22 Février 2006.
    (Texte intégral)

  • Mois de mars : mois de Saint Joseph

    « Saint Joseph m’a toujours exaucée au-delà de mes prières et de mes espérances. »
    Ste Thérèse d’Avila (1515-1582)
     
    « Ô bienheureux Joseph, nous recourons à vous dans notre tribulation, et après avoir imploré le secours de votre très Sainte Épouse, nous sollicitons aussi, en toute confiance, votre patronage. Au nom de l’affection qui vous a uni à la Vierge Immaculée, Mère de Dieu, au nom de l’amour paternel dont vous avez entouré l’Enfant Jésus, nous vous supplions de jeter un regard propice sur l’héritage acquis par Jésus-Christ, au prix de son sang, et de nous assister de votre puissance et de votre secours dans nos besoins.

    Ô gardien très vigilant de la Sainte famille, protégez la famille privilégiée de Jésus-Christ.

    Père très aimant, préservez-nous de toute contagion de la corruption et de l’erreur ; protecteur très puissant, soyez-nous secourable, et assistez-nous, du haut du ciel, dans le combat que nous avons à soutenir contre la puissance des ténèbres. Et, de même qu’autrefois, vous avez arraché l’Enfant Jésus au péril de la mort, défendez aujourd’hui la Sainte Église de Dieu contre les embûches de l’ennemi et contre toute adversité, et couvrez-nous tous de votre constante protection, afin que nous puissions,à votre exemple et par votre assistance, vivre saintement, mourir pieusement, et obtenir l’éternel félicité dans le ciel. Amen. »

    Léon XIII

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  • Mercredi 26 mars 2014

    Calendrier liturgique

  • Hymne "Quem terra" : Matines (avant 1960) de la fête de l'Annonciation

    Moines Trappistes de l'abbaye de Gethsemani

    Quem terra, pontus, sídera
    Colunt, adórant, prædicant,
    Trinam regéntem máchinam,
    Claustrum Maríæ báiulat.

    Cui luna, sol et ómnia
    Desérviunt per témpora,
    Perfúsa cæli grátia,
    Gestant puéllæ víscera.

    Beáta Mater múnere,
    Cuius, supérnus Artifex
    Mundum pugíllo cóntinens,
    Ventris sub arca clausus est.

    Beáta cæli núntio,
    Fœcúnda Sancto Spíritu,
    Desiderátus géntibus
    Cuius per alvum fusus est.

    Iesu tibi sit glória,
    Qui natus es de Vírgine,
    Cum Patre, et almo Spíritu,
    In sempitérna sǽcula. Amen.
     
    Celui que la terre, la mer, et les cieux
    vénèrent, adorent et annoncent ;
    Celui qui régit ce triple monde,
    Marie le porte caché dans son sein.

    Celui à qui la lune, le soleil et toutes les choses
    obéissent constamment,
    est porté par les entrailles d’une jeune vierge,
    toute pénétrée de la grâce céleste.

    Bienheureuse mère !
    dont le sein virginal par un prodige de grâce,
    renferme l’Artisan suprême
    qui tient le monde dans sa main.

    Bienheureuse ! À la parole d’un messager du ciel,
    elle est rendue féconde par le Saint-Esprit,
    et son sein donne au monde
    le désiré des nations.

    O Jésus, gloire à vous
    qui êtes né de la Vierge,
    ainsi qu’au Père et à l’Esprit-Saint
    dans les siècles éternels. Amen.
  • Méditation : l'Annonciation - la parole angélique

    « La Vierge écoute en silence cet ange qui lui parle ; elle reçoit avec humilité les paroles d'honneur dont il la salue ; elle considère en tranquillité les propos qu'il lui tient ; elle se rend attentive à l'ambassade qu'il lui fait ; elle croit ce qu'il lui annonce et, le tenant pour véritable, elle s'enquiert avec prudence de la manière dont il s'accomplira ; ce que cet ange n'avait point annoncé, et par une conduite céleste avait, ce semble, tu et réservé exprès pour donner lieu à la demande de la Vierge, et éclairer l'univers du vœu et état de la Vierge par les paroles de la Vierge.

    La Vierge donc, ne doutant point de cette œuvre, le supposant pour véritable en la lumière de la foi et en la clarté de la parole angélique, désire apprendre de ce même ange, qui lui est envoyé de Dieu pour l'instruire en ce sujet, quelle est la voie ordonnée de Dieu pour accomplir cet œuvre. Et en cet esprit d'humilité, de créance, de désir d'être instruite de cette vérité importante à elle et au monde, elle dit simplement à cet ange : Comment s'accomplira cet œuvre ? (Lc I,34)

    [...]

    Cette parole est donc une parole de foi signalée, de pureté virginale, de prudence céleste, de conduite divine ; et même, si nous y pensons bien, c'est une parole d'autorité éminente, en laquelle Dieu veut que la Vierge entre au regard de cet œuvre qui lui est annoncé, comme un préambule de l'autorité grande où elle va entrer sur Dieu même en qualité de mère. Car Dieu veut que la Vierge traite et délibère sur cet œuvre des œuvres que la main du Tout-Puissant veut opérer au monde. [...] Puissance véritablement remarquable, et honneur grand à la Vierge, mais qui n'est qu'un rayon de l'honneur, puissance et autorité admirable qu'elle va recevoir au regard de Dieu même qui la fait sa Mère.

    Voilà les saintes pensées que nous devons avoir, écoutant les propos qui se tiennent en ce cabinet de Nazareth ou, pour mieux dire, en ce sanctuaire où la Vierge est avec l'ange ; où Dieu est présent et prêt à s'incarner, où tout est saint, pur et divin, et tend à produire le Saint des saints au monde. Et c'est ainsi qu'il faut parler d'un colloque si pur et si saint, qui sert de préambule à un mystère si haut, si grand et si auguste. »

    P. de Bérulle, Annonciation, Colloque de la Vierge avec l'Ange, in "Vie de Jésus" (chap. XIII), Éditions du Cerf, Juvisy, 1929.

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  • Mois de mars : mois de Saint Joseph

    « Saint Joseph m’a toujours exaucée au-delà de mes prières et de mes espérances. »
    Ste Thérèse d’Avila (1515-1582)
     
    « Grand Saint Joseph,

    Parce que vous étiez juste et pur, vous avez été choisi par Dieu pour être l’époux de Marie, et le père virginal de Jésus.

    Vous êtes devenu le voile sacré où s’abritait le mystère de la Vierge Mère et l’ombre Sainte où se cachait la majesté du Dieu fait chair.

    Introduisez-nous dans le sanctuaire de cette Sainte Famille où Jésus et Marie vous étaient soumis, partageant avec vous une vie toute remplie de la présence de Dieu.

    Faites-nous connaître et aimer le Père, dont vous étiez l’image sur terre auprès de Jésus et de Marie ;
    faites-nous connaître et aimer le Fils, que vous avez connu et aimé le premier ;
    faites-nous connaître et aimer l’Esprit-Saint, dont vous avez été le coopérateur parmi nous.

    Enseignez-nous les voies de la prière, du recueillement, de la contemplation, de la charité.

    Faites que tout en respectant les exigences de notre devoir d’état, nous donnions à la vie intérieure le temps et le soin qu’il faut,
    pour répondre à l’appel de notre Père du ciel, qui voit dans le secret, et qui cherche parmi nous de vrais adorateurs, comme vous, en esprit et en vérité.

    Amen. »

    (Source)

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  • Mardi 25 mars 2014

    Annonciation du Seigneur

    (Annonciation de la Bse Vierge Marie)

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    Annonciation - Maître du Haut-Rhin (XVe siècle)
    Explications sur ce petit tableau

  • Vêpres de l'Annonciation

    Hymne "Vous êtes sans pareille"

    Vous êtes sans pareille, ô Mère du Sauveur !
    Vous êtes sans pareille, ô Mère du Sauveur !
    Vous êtes la merveille des œuvres du Seigneur,
    Ô Notre Dame, des œuvres du Seigneur.

    Ô Vierge élue du Père pour mettre au monde un Dieu,
    Ô Vierge élue du Père pour mettre au monde un Dieu,
    Soyez encore la Mère de tout enfant de Dieu,
    Ô Notre Dame, de tout enfant de Dieu.

    Vous êtes la fontaine de grâce et de pitié,
    Vous êtes la fontaine de grâce et de pitié
    Jaillie des hauts domaines sur toute l’humanité,
    Ô Notre Dame, sur toute humanité.

    Ô Vierge de lumière, étoile dans les cieux,
    Ô Vierge de lumière, étoile dans les cieux,
    Brillez sur notre terre de la clarté de Dieu,
    Ô Notre Dame, de la clarté de Dieu.

    T. : C. Rozier / M. : J. Gélineau
    (d’après un air breton)
    Mame / Le Cholet

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    L'Annonciation, Pierre Paul Rubens (1577-1640), Kunsi-historisches Muséum, Vienne.

  • Carême en ligne 2014 avec Lourdes 6/13 : La foi et la raison, la science et la religionCarême en ligne 2014 avec Lourdes 6/13 : La foi et la raison, la science et la religion

    Le Père Jean-Dominique Dubois, frère franciscain et chapelain du Sanctuaire de Lourdes, anime la retraite spirituelle "Carême en ligne avec Lourdes" délivrée à plusieurs milliers d'inscrits. Aujourd'hui, lundi 24 mars 2014, il médite sur foi et raison, science et religion. Au programme : un enseignement et une prière de Bernadette. Une vidéo de la série "Carême en ligne avec Lourdes" proposée par le Sanctuaire de Lourdes en lien avec le site internet http://www.lourdes-france.org

  • "Moi si j'avais commis" - Ste Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face

    Chorale de Grenoble

    Moi si j'avais commis tous les crimes possibles,
    Je garderais toujours la même confiance,
    Car je sais bien que cette multitude d'offenses
    N'est qu'une goutte d'eau dans un brasier ardent.

    Oui, j'ai besoin d'un cœur, tout brûlant de tendresse
    Qui reste mon appui, et sans aucun retour,
    Qui aime tout en moi, et même ma faiblesse,
    Et ne me quitte pas, ni la nuit ni le jour.

    Non, je n'ai pu trouver, nulle autre créature
    Qui m'aimât à ce point, et sans jamais mourir,
    Car il me faut un Dieu qui prenne ma nature,
    Qui devienne mon frère, et qui puisse souffrir.

    Je ne sais que trop bien que toutes nos justices
    N'ont devant ton regard, pas la moindre valeur,
    Et pour donner du prix à tous nos sacrifices
    Oui, je veux les jeter jusqu'en ton divin Cœur.

    Non, tu n'as pas trouvé créature sans tache,
    Au milieu des éclairs, tu nous donnas ta loi,
    Et dans ton Cœur sacré, Ô Jésus je me cache
    Non, je ne tremble pas, car ma vertu c'est Toi.

    Ste Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face

  • Méditation - Prière : "Ô Seigneur, je reviens tout à toi aujourd'hui !"

    « Ô Seigneur, tu ne m'as pas laissé partir hors de toi. S'il m'est parfois arrivé de t'oublier, toi mon Dieu, tu m'as toujours supporté et secouru. Quand mon corps et mon âme ne pouvaient plus tenir, j'ai crié vers toi du fond de l'abîme. Tout de suite, tu es accouru et tu m'as tendu la main, m'arrachant au marais de ma misère et me rendant la joie de ton salut. Voilà, Seigneur, ce que j'ai été, voilà ce que je suis. Eh bien, je reviens tout à toi aujourd'hui ! Mes misères qui s'étalent, tu les vois comme je les vois ; et j'en ai encore bien plus qui m'échappent, par aveuglement ou par oubli, mais elles sont évidentes pour toi. Quant à mes biens, si j'en ai gardé quelques-uns, aucun cependant n'est entier. L'ennemi m'en a ravi le plus grand nombre, et ce qu'il n'a pu me dérober, il l'a souillé ; et moi, il m'a encore plus avili. Vois quelle figure je fais devant toi, Seigneur ! Vis-à-vis de ta face, elle s'appelle misère, ô souveraine miséricorde ! Je ne te cache rien de ces coins et recoins les plus secrets de ma vie, tu le sais, ô divine Vérité. Et je t'en prie, que tout en moi soit lumière devant toi. Car je ne redoute personne tant que moi-même. J'ai si peur, à mon insu ou même consciemment, de me leurrer. Mais c'est toi que je crois, Seigneur, c'est toi que j'espère. Donne-toi à moi, car je ne cherche rien d'autre. Prends pitié de moi, Seigneur, lève-toi, viens au-devant de moi et vois ! Je veux rester ferme dans ta foi, et je veux grandir dans l'espérance. »

    Guillaume de Saint-Thierry (v.1085-1148), 9ème méditation, in "Méditations et Prières", François-Xavier de Guibert - Oeil, 1990 - Cf. "Oraisons Méditatives", SC n°324, Le Cerf, 1986.

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  • Mois de mars : mois de Saint Joseph

    « Saint Joseph m’a toujours exaucée au-delà de mes prières et de mes espérances. »
    Ste Thérèse d’Avila (1515-1582)
     
    Prière des Foyers de charité à saint Joseph

    « Ô glorieux saint Joseph,
    chef de la Sainte Famille de Nazareth,
    si zélé à pourvoir à tous nos besoins,
    étendez sur
    tous les Foyers de Charité,
    sur leurs pères,
    leurs membres,
    leurs familles et tous leurs amis,
    votre tendre sollicitude,
    prenez sous votre conduite
    toutes les affaires spirituelles
    et temporelles qui nous concerne
    et faites que leur issue soit pour la gloire de Dieu
    et le salut de nos âmes.
    Amen.
    »

    N.B. : Cette prière provient de la famille du père Finet, le père spirituel de Marthe Robin, celui-ci l’a adapté pour les foyers de charité. Cette prière est aussi couramment utilisée dans la communauté de l’Emmanuel.

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  • Lundi 24 mars 2014

    Calendrier liturgique