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famille - Page 7

  • 18 mai 2013 : Journée de deuil pour la famille française, et pour l'enfance en particulier

    Le Conseil constitutionnel ayant décidé hier, vendredi 17 mai, de valider le texte dans sa totalité, la loi ouvrant le mariage et l’adoption aux personnes de même sexe - adoptée le 23 avril dernier - a été promulguée ce matin, samedi 18 mai 2013, et publiée au Journal officiel.

    Cette date restera dans l'histoire comme l'une des plus grandes chutes de l'être humain, dans l'enfer d'une société qui nie toute loi naturelle et toute reconnaissance d'une Loi divine.
    Puisse la ferveur de nos prières réparer - si peu que ce soit - cette offense majeure faite à l'encontre de l'Amour de notre Père céleste, et de sa Seigneurie sur nos âmes...

    Notre action doit aussi se poursuivre : tous à Paris le 26 mai.
    Tous les détails ici.

  • Jeudi 2 mai 2013

    St Athanase, évêque, confesseur et docteur de l'Eglise

    Calendrier liturgique

  • Le pape ordonne dix nouveaux prêtres

    « Vous êtes des pasteurs, pas des fonctionnaires »

    Le pape François a ordonné en ce IV° dimanche de Pâques, dix nouveaux prêtres lors d’une messe en la basilique Saint-Pierre. Le souverain pontife a concélébré cette célébration eucharistique avec le cardinal vicaire de Rome, Agostino Vallini, l’archevêque vice-gérant et les auxiliaires du diocèse de Rome, dont il est l’évêque. Les futurs prêtres proviennent du Grand Séminaire de Rome, du séminaire Redemptoris Mater et du séminaire du sanctuaire romain du Divin Amour.

    La Miséricorde au centre de la mission

    Devant des milliers de fidèles, le pape, dans son homélie, a rappelé le sens du sacerdoce. « S’il vous plait », a-t-il lancé aux futurs prêtres « ne vous lassez jamais d’être miséricordieux ».
    « N’ayez pas honte d’être tendre avec les personnes âgées ». « Dispensez à tous cette Parole de Dieu que vous-même avez reçu avec joie », a déclaré le pape. « Souvenez-vous de vos mères, de vos grands-mères, de vos catéchistes, qui vous ont transmis ce don de la foi ».

    « Vous êtes des médiateurs, pas des intermédiaires »

    Le pape a invité les nouveaux prêtres à lire et à méditer assidument la Parole du Seigneur. Il a également mis en évidence l’importance de leur mission. « Engagez-vous à unir les fidèles en une unique famille (…) et « ayez toujours à l’esprit, l’exemple du Bon pasteur, qui n’est pas venu pour être servi mais pour servir ». « Vous êtes des pasteurs, pas des fonctionnaires. Vous êtes des médiateurs, pas des intermédiaires » a souligné le pape François.

    Evoquant les différents sacrements que les prêtres ordonnés seront appelés à dispenser, le pape a rappelé l’importance du baptême et du sacrement de pénitence.

    Après la litanie des Saints, durant laquelle les diacres se sont allongés sur le sol, face contre terre, en signe d’humilité et d'abandon, le pape François leur a imposé les mains. L'imposition des mains est le moment clé de la transmission de la charge, quand opère l'Esprit saint. Une trentaine de prêtres a également imposé les mains sur les nouveaux ordonnés en signe cette fois d'accueil fraternel. Ils ont également aidé les nouveaux prêtres à revêtir les ornements sacerdotaux, l'étole et la chasuble, après la prière consécratoire lors de laquelle le pape demande à Dieu d'accueillir les ordinands.

    Source : Radio Vatican.

  • Angélus de ce dimanche 3 février 2013

    Benoît XVI : "Le vrai prophète paye de sa personne"

    « Le vrai prophète n’obéit à personne d’autre qu’à Dieu et se met au service de la vérité, prêt à payer de sa personne ». C’est ainsi que Benoît XVI, lors de l’Angélus Place Saint-Pierre, ce dimanche, a commenté le passage de l’Evangile où Jésus est chassé de la Synagogue de Nazareth faisant face à l’incompréhension des habitants de l’endroit « scandalisés » par ses déclarations, « un épisode, a déclaré le Pape, qui confirme le proverbe "Personne n’est prophète en son pays" ».

    « Jésus, a poursuivi Benoît XVI, n’est pas venu pour chercher l’approbation des hommes, mais comme il le dira plus tard à Pilate, pour témoigner de la vérité ». « Croire en Dieu signifie renoncer à ses propres idées toutes faites et accueillir le visage concret en qui Il s’est révélé : L’homme Jésus de Nazareth. » « Cette voie, a conclu le Pape, conduit également à le reconnaître et à le servir dans les autres ».

    Message adressé aux pèlerins de langue française :

    « Je salue cordialement les pèlerins francophones, particulièrement les Scouts Unitaires de France. La fête de la Vie consacrée célébrée hier nous invite à entendre l’appel du Seigneur et à y répondre avec confiance et générosité. Rendons grâce et prions pour tous les consacrés, afin qu’ils grandissent dans la sainteté. Leur témoignage nous entraîne à faire une large place à Dieu dans notre vie par la prière, la messe dominicale, la lecture de sa Parole. Notre foi plus vivante pourra changer notre cœur ! Bon dimanche à tous ! »

    Alors qu’on célèbre ce dimanche en Italie la Journée pour la Vie, à l’initiative de la Conférence épiscopale italienne, le Pape s’est associé aux évêques italiens qui invitaient à investir sur la vie et sur la famille, comme réponse également à la crise actuelle. Le Pape a par ailleurs souhaité un franc succès à l’initiative "Uno di noi" (l’un de nous) du Mouvement pour la vie, à savoir une pétition pour amener l’Union Européenne à protéger l’enfant dès sa conception.

    Source : Radio Vatican.

  • 21 janvier : Toute l'année avec les Pères...

    "Pourquoi tes disciples ne jeûnent-ils pas...?" (Mc 2, 18-22)

    « "Pourquoi jeûnons-nous, et non pas tes disciples ?" Pourquoi ? Parce que pour vous le jeûne est une affaire de loi. Ce n'est pas un don spontané. En lui-même le jeûne n'a pas de valeur ; ce qui compte c'est le désir de celui qui jeûne. Quel profit pensez-vous tirer de votre jeûne si vous jeûnez contraints et forcés par une loi ? Le jeûne est une charrue merveilleuse pour labourer le champ de la sainteté. Mais les disciples du Christ sont placés d'emblée au cœur même du champ déjà mûr de la sainteté ; ils mangent le pain de la récolte nouvelle. Comment seraient-ils obligés de pratiquer des jeûnes désormais périmés ? "Les amis de l'Époux peuvent-ils jeûner pendant que l'Époux est avec eux ?"

    Celui qui se marie se livre tout entier à la joie et prend part au banquet ; il se montre tout affable et tout gai pour les invités ; il fait tout ce que lui inspire son affection pour l'épouse. Le Christ célèbre ses noces avec l'Église pendant qu'il vit sur terre. C'est pourquoi il accepte de prendre part aux repas où on l'invite, il ne refuse pas. Plein de bienveillance et d'amour, il se montre humain, abordable et aimable. Ne vient-il pas pour unir l'homme à Dieu et faire de ses compagnons des membres de la famille de Dieu ?

    Pareillement, dit Jésus, "personne ne coud une pièce de drap neuf à un vieux vêtement". Ce drap neuf, c'est le tissu de l'Évangile, celui qu'il est en train de tisser avec la toison de l'Agneau de Dieu : un habit royal que le sang de la Passion va bientôt teindre de pourpre. Comment le Christ accepterait-il d'unir ce drap neuf avec la vétusté du légalisme d'Israël ? [...] Pareillement enfin, "personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres, mais le vin nouveau se met dans des outres toutes neuves". Ces outres neuves, ce sont les chrétiens. C'est le jeûne du Christ qui va purifier ces outres de toute souillure pour qu'elles gardent intacte la saveur du vin nouveau. Le chrétien devient ainsi l'outre neuve prête à recevoir le vin nouveau, le vin des noces du Fils, foulé au pressoir de la croix. »

    Saint Pierre Chrysologue (v.406-450), Sermon sur Marc 2 ; PL 52, 287 (Trad. rev. Tournay).

  • Paris vous appelle ! Rendez-vous le 13 janvier !

    Pour tout savoir sur la manif’ : http://www.lamanifpourtous.fr/

    et le blog : live.lamanifpourtous.fr

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  • Déclaration de l'Académie Catholique de France

    « CONJUGALITE, FAMILLE, PARENTALITE, FILIATION »

    « La famille, fondée sur l’union plus ou moins durable, mais socialement approuvée,
    de deux individus de sexes différents qui fondent un ménage, procréent et élèvent des enfants,
    apparaît comme un phénomène pratiquement universel, présent dans toutes les sociétés »

    (C. Lévi-Strauss, Les structures élémentaires de la parenté, 1948, p. 133).

    Le mariage est un acte officiel et solennel qui, toujours et partout, institue une communauté de renommée appelée « famille », dont le but est de former de façon durable un cadre de vie commun aux parents et aux enfants. Il concerne d’un même effet l’organisation de la relation entre hommes et femmes, entre les générations, et la structure symbolique de la société.

    Par-delà les diverses formes culturelles qu’elle a pu prendre et les modèles historiques qui l’ont organisée, la famille est, de facto, l’institution publique la plus ancienne, imposée par deux données de la nature, d’une part le fait de sexes différents et complémentaires dont la rencontre est nécessaire à la perpétuation de l’espèce, d’autre part l’offre d’un cadre protecteur au développement physique, intellectuel et social de l’enfant. La famille (mononucléaire ou élargie) étant toujours et partout considérée comme « l’élément naturel et fondamental de la société », elle « a droit à la protection de la société et de l’Etat » (Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, art. 16-3).Toutes les sociétés sont ainsi conduites à interdire l’inceste et à organiser juridiquement la filiation.

    Jusque très récemment, ces repères n’étaient pas mis en question dans l’organisation de la cité : « Une famille ce n’est pas simplement deux individus qui contractent pour organiser leur vie commune. C’est l’articulation et l’institutionnalisation de la différence des sexes. C’est la construction des rapports entre les générations qui nous précèdent et celles qui vont nous suivre » (E. Guigou, 3 nov. 1998).

    L’importance anthropologique et sociale de la « famille » et du « mariage » a porté les religions à leur fournir les plus puissants étais. Le christianisme a ainsi très largement contribué à asseoir plusieurs de leurs caractères modernes, tels l’exigence du consentement libre et public des futurs époux et leur devoir d’assistance mutuelle, et à consacrer l’idéal qu’expriment tout ensemble la monogamie, la fidélité, l’indissolubilité, l’ouverture à la fécondité, l’articulation entre procréation et éducation. Même si les accidents de la vie, les déficiences personnelles ou sociales, les choix de vie de certains montrent que l’épanouissement commun des parents et des enfants peut se réaliser dans des contextes fort différents, la référence optimale ne peut demeurer que la famille enracinée dans des conditions symboliques fortes et dans des choix respectueux des données de la nature.

    Nos sociétés actuelles connaissent de nombreuses familles monoparentales ou recomposées, ou des unions homosexuelles. Les sciences humaines, le droit et la pastorale chrétienne ont vocation à s’intéresser de manière adaptée aux situations concrètes brisées ou reconstruites. On peut toutefois s’interroger sur la tendance à réduire les fondements du mariage aux seuls sentiments d’amour des deux partenaires alors que l’amour, s’il a vocation à s’épanouir dans le mariage, ne suffit pas à établir sa validité, que ce soit au niveau civil ou sur le plan religieux.

    Cette conception du mariage comme un droit conféré par un amour réciproque est un sophisme qui sert aujourd’hui, dans plusieurs pays et en France, à justifier des projets législatifs de transformation radicale de l’institution en l’ouvrant à des unions entre personnes de même sexe. Excipant ici d’une simple réforme de société, déclarant là vouloir, plus profondément, une réforme de civilisation, on use encore d’un autre sophisme, celui du progrès moral de l’égalité, pour établir une rupture flagrante avec le socle même de toutes les civilisations.

    Considérant toutefois comme « naturel » le lien entre mariage, bonheur individuel et parentalité, certains imaginent alors un nouveau type de filiation, propre aux unions homosexuelles : le désir d’enfant garantirait l’amour pour l’enfant. Désir et amour de l’enfant garantiraient à eux seuls une éducation structurante et deviendraient ainsi « droit à l’enfant ». Ce droit qui ne fut, justement, jamais reconnu aux couples hétérosexuels, permettrait l’adoption ou même les procréations de convenance aux couples homosexuels. Mais la société n’invente pas ex nihilo la famille, elle lui est en réalité redevable. Au bénéfice de leur existence même, société et Etat sont donc tenus d’en privilégier le développement et, sauf déni de réalité ou mensonge, de conserver au mariage son rang de droit fondamental « ouvert à tous » (V. Déclaration universelle précitée, art. 16-1), non pas, précisément, « entre tous ». L’identité biologique, psychologique et spirituelle de l’humain est constituée dans l’altérité et l’alliance des différences, en premier lieu des polarités masculine et féminine. Le mariage entre personnes de même sexe menacerait ce processus de constitution, mettrait en péril une harmonie éducative toujours fragile, porterait ainsi atteinte aux droits de l’humain en croissance et grèverait l’aventure humaine de la plus lourde hypothèque.

    Académie catholique de France
    Le 10 janvier 2013

  • Angélus de ce dimanche 30 décembre

    Benoît XVI invite à se mettre à l'école de la Sainte Famille

    Les parents « ne sont pas les maîtres de la vie de leurs enfants, mais les gardiens de ce don incomparable de Dieu » : c'est ce qu'a déclaré Benoît XVI lors de l’Angélus qu’il présidait de la fenêtre de son bureau, place Saint-Pierre, ce 30 décembre 2012.

    En la fête de la sainte Famille, le pape est revenu sur l’Evangile du jour, où Jésus, âgé de 12 ans, est retrouvé par ses parents dans le Temple de Jérusalem après trois jours de recherches.
    « L’amour, la fidélité et le dévouement de Marie et Joseph sont un exemple pour tous les époux chrétiens, qui ne sont pas les maîtres de la vie de leurs enfants, mais les gardiens de ce don incomparable de Dieu », a déclaré Benoît XVI.
    Le pape a élevé une prière « pour que tout enfant soit accueilli comme don de Dieu », et qu’il soit « soutenu par l’amour d’un père et d’une mère, pour pouvoir grandir comme le Seigneur Jésus "en sagesse, en taille et en grâce, sous le regard de Dieu et des hommes." (Lc 2,52) ».
    En somme, a-t-il fait remarquer, « la préoccupation de Marie et Joseph pour Jésus est la même que celle de tout parent qui éduque un enfant, qui l’introduit à la vie et à la compréhension de la réalité ».
    Ainsi, il a souhaité que les parents, « en imitant la sainte Famille de Nazareth », se « préoccupent sérieusement de la croissance et de l’éducation de leurs enfants », afin que ces derniers « mûrissent en tant qu’hommes responsables et honnêtes citoyens ».
    Les parents, a-t-il ajouté, ne doivent pas oublier par ailleurs « que la foi est un don précieux », qu’ils transmettent à leurs enfants « par l’exemple personnel ».
    Contemplant le « mystère plein de foi et d’humanité de la Sainte Famille », Benoît XVI s’est arrêté sur « le silence de Joseph, homme juste (cf. Mt 1,19), et l’exemple de Marie, qui gardait toutes choses en son coeur (cf. Lc 2,51) ».
    Pour conclure, il a souhaité « à toutes les familles chrétiennes de vivre en présence de Dieu avec le même amour et la même joie que la famille de Jésus, Marie et Joseph ».

    Message aux pèlerins francophones :

    « Chers pèlerins francophones, nous célébrons aujourd’hui la Sainte Famille que Dieu a donnée à l’humanité pour modèle des valeurs humaines et familiales. Le Fils de Dieu a voulu naître dans une famille, lui donnant ainsi sa noble signification et sa place irremplaçable pour la personne et pour la société. La famille est le berceau naturel de l’enfant. Elle est le terreau premier et indispensable où s’enracinent et se construisent la personne et les liens humains. Que la Vierge Marie et saint Joseph aident les parents à éduquer leurs enfants et à leur transmettre la foi ! Je vous bénis tous de grand cœur ainsi que vos familles ! »

    Sources : Radio Vatican et Zenit.org

  • 25 novembre : Méditation

    « Il est bien évident, - et le Souverain Pontife le déclare explicitement - que le but primordial de la Fête est de détruire d'un coup mortel, de percer d'un trait de feu, le maudit laïcisme social, hérésie délétère et qui a pénétré, hélas ! dans le sang même de certains milieux catholiques peu conséquents. Malgré la condamnation du libéralisme, ils ont rêvé un Christ de Nazareth, Dieu, Roi et Législateur dans le domaine purement intime et privé. Ils ont voulu supprimer ou escamoter les pages non moins doctrinales de son Evangile qui prèchent ses droits divins et imprescriptibles sur les collectivités sociales et nationales, sur les autorités et les gouvernants. A une heure de gravité exceptionnelle, le Pape a voulu proclamer à nouveau le pricipe d'Evangile le plus mis en cause par les ennemis de la Cité de Dieu, et le plus indispensable, par conséquent, à notre époque de crise mondiale (*).
    Mais en promulgant une fois de plus ce principe indiscutable, le Vicaire du Christ désire surtout voir cette Royauté pratiquement reconnue et vécue. [...] Il sagit de raffermir et de développer le sens chrétien dans les familles, puisque c'est là le secret et la seule base possible de toute restauration vraie et solide dans le Christ. Le Christ Roi signifie : l'Evangile plus étudié, mieux pratiqué au foyer, pour en faire, dans la vie intérieure et extérieure, le Code par excellence, mais un Code obligatoire. Le Christ Roi, c'est encore la Loi morale intégralement acceptée et observée, tout d'abord dans le sanctuaire familial comme base de l'éducation surnaturelle, ensuite dans toutes les manifestations de la vie, quelles qu'elles soient. Par conséquent : lectures, modes, spectacles, réjouissances, vie sociale, tout, absolument tout, doit être réglé par le Maître adorable à qui seul revient le jugement tant des battements secrets du coeur que du vote et des discours de la vie publique et sociale. La conscience qui appelle l'Adveniat regnum tuum dans l'intimité du foyer, doit accepter ce même Adveniat avec toutes ses conséquences dans la rue, dans les affaires et dans la vie politique. Et c'est ainsi que le Pater récité en secret devant le Tabernacle doit avoir nécessairement sa répercution dans la vie familiale, sociale et nationale. il y a longtemps que le Christ-Roi a détrôné l'idole Janus à double face...
    [...] Nous pouvons donc et nous devons affirmer que le foyer est vraiment la pierre fondamentale du trône du Christ-Roi ; que ce sont les familles qui Lui préparent le diadème qu'ensuite la Société et la Nation placeront sur son Front divin, non pour Lui donner du leur, mais pour reconnaître officiellement ce qui Lui revient de droit et ce qu'Il possède de fait dans les foyers. La foi courageuse, la ferveur eucharistique, la sainteté des moeurs, l'observation des lois de l'Eglise, toutes les vertus enfin qui constituent la profondeur de la vie chrétienne ou la vaillance et la pureté de la vie sociale, dépendent de l'intensité d'amour avec laquelle le Coeur de Jésus a été accepté au foyer comme Maître et Seigneur. »

    (*) : Cf. Pie XI : l’encyclique « Quas Primas » du 11 décembre 1925, et l'encyclique « Miserentissimus Redemptor » du 8 mai 1928.

    R.P. Mateo Crawley-Boevey (initiateur de l'Intronisation du Sacré-Coeur), Jésus, Roi d'Amour - Recueil des prédications, Secrétariat International de l'Intronisation, Paris, 1928.

    Sur notre site : l'Intronisation du Sacré-Coeur de Jésus au foyer.

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  • 26 octobre : Message du Synode au Peuple de Dieu sur la Nouvelle Evangélisation

    C’est par de longs et chaleureux applaudissements que le Synode des Evêques a accueilli ce vendredi matin le « Message au peuple de Dieu », synthèse des trois semaines de travaux sur les défis de la Nouvelle Evangélisation. Le document a été lu par plusieurs intervenants en cinq langues : italien, français, espagnol, anglais et allemand. Ce texte de plus de dix pages rappelle que la nouvelle évangélisation est une urgence pour le monde, il invite les chrétiens à annoncer l’Evangile avec courage et sérénité, en dépassant la peur dans la foi.

    Au début du document, les évêques évoquent le passage évangélique de Jean qui raconte la rencontre de Jésus avec la Samaritaine au puits: c'est l'image de l'homme contemporain, tenant une cruche vide, qui a soif et nostalgie de Dieu, et vers qui l'Église doit aller pour rendre présent le Seigneur. Comme la Samaritaine, celui qui rencontre Jésus ne peut pas ne pas devenir le témoin de l'annonce de salut et d'espérance de l'Évangile.

    Raviver une foi qui risque de s'éclipser

    En ce qui concerne plus spécifiquement le contexte de la nouvelle évangélisation, le Synode rappelle le besoin de raviver une foi qui risque de s'éclipser dans les contextes culturels actuels et qui s'affaiblit même chez de nombreux baptisés. La rencontre avec le Seigneur, qui révèle que Dieu est amour, ne peut avoir lieu que dans l'Église, comprise comme forme de communauté accueillante et expérience de communion; à partir de là, les chrétiens deviennent des témoins dans d'autres lieux aussi.

    Toutefois, l'Église confirme l'idée que pour évangéliser il faut tout d'abord être évangélisé et lance un appel à la conversion - en commençant par elle même -, parce que les faiblesses des disciples de Jésus pèsent sur la crédibilité de la mission. Conscients du fait que le Seigneur est le guide de l'histoire et que le mal n'aura pas le dernier mot, les évêques invitent les chrétiens à vaincre la peur par la foi et à regarder le monde avec courage et sérénité car, bien que rempli de contradictions et de défis, ce monde demeure celui que Dieu aime.

    Pas de pessimisme, et pas de nouvelles stratégies

    Pas de pessimisme, alors: la mondialisation, la sécularisation et la nouvelle donne de la société, les migrations, avec toutes les difficultés et les souffrances qu'elles comportent, doivent représenter des opportunités d'évangélisation. En effet, il ne s'agit pas de trouver de nouvelles stratégies pour diffuser l'Évangile comme un produit de marché, mais de découvrir comment les personnes approchent Jésus.

    Le message considère la famille comme le lieu naturel de l'évangélisation et confirme qu'elle doit être soutenue par l'Église, par la politique et par la société. À l'intérieur de la famille, il souligne le rôle spécial que jouent les femmes et rappelle la situation douloureuse des personnes divorcées et remariées: tout en confirmant la discipline relative à l'accès aux sacrements, il insiste que ces personnes ne sont pas abandonnées par le Seigneur et que l'Église est une demeure accueillante pour tous.

    La famille, les paroisses, les jeunes

    Le message cite également la vie consacrée, témoin du sens supraterrestre de l'existence humaine, et les paroisses comme centres d'évangélisation; il rappelle l'importance de la formation permanente pour les prêtres et les religieux, et invite les laïcs (les mouvements et les nouvelles réalités ecclésiales) à évangéliser en restant en communion avec l'Église. La nouvelle évangélisation trouve une coopération souhaitable avec les autres Églises et communautés ecclésiales, animées elles aussi par le même esprit d'annonce de l'Évangile. Une attention particulière est portée sur les jeunes dans une perspective d'écoute et de dialogue pour racheter, et non pas mortifier, leur enthousiasme.

    Le message considère ensuite le dialogue, décliné sous différentes formes: avec la culture, qui a besoin d'une nouvelle alliance entre foi et raison, avec l'éducation, avec la science qui, quand elle ne confine pas l'homme au matérialisme, devient une alliée de l'humanisation de la vie, avec l'art, avec le monde de l'économie et du travail, avec les malades et ceux qui souffrent, avec la politique, à laquelle un engagement désintéressé et transparent en faveur du bien commun est demandé, avec les autres religions. En particulier, le Synode confirme que le dialogue interreligieux concourt à la paix, rejette le fondamentalisme et dénonce la violence à l'encontre des croyants.

    La contemplation et le silence

    Le message rappelle les possibilités qu'offrent l'Année de la Foi, la mémoire du Concile Vatican II et le Catéchisme de l'Église catholique. Enfin, il indique deux expressions de la vie de foi particulièrement significatives pour la nouvelle évangélisation: la contemplation, où le silence permet d'accueillir au mieux la Parole de Dieu, et le service aux pauvres, dans l'optique de reconnaître le Christ sur leurs visages.

    Dans la dernière partie, le message se tourne vers les Églises des différentes régions du monde et adresse à chacune d'entre elles des paroles d'encouragement pour l'annonce de l'Évangile: aux Églises d'Orient, il exprime le souhait qu'elles puissent pratiquer la foi dans des conditions de paix et de liberté religieuse; à l'Église d'Afrique, il recommande de développer l'évangélisation à travers la rencontre avec les anciennes et les nouvelles cultures, et fait appel aux gouvernements pour qu'ils mettent un terme aux conflits et aux violences.

    A chaque Eglise un message et un encouragement

    Les chrétiens d'Amérique du Nord, qui vivent dans une culture où abondent les expressions qui éloignent de l'Évangile, doivent se tourner vers la conversion et être ouverts à accueillir les immigrés et les réfugiés. L'Amérique latine est invitée à vivre la mission permanente pour faire face aux défis actuels, comme la pauvreté, la violence même dans les nouvelles conditions de pluralisme religieux. L'Église en Asie, bien qu'étant une petite minorité, souvent placée en marge de la société et persécutée, est encouragée et exhortée à rester ferme dans la foi.

    L'Europe, bien que marquée par une sécularisation parfois agressive et blessée par les régimes passés, a créé une culture humaniste capable de donner un visage à la dignité de la personne et à l'édification du bien commun; les chrétiens européens ne doivent pas se laisser abattre par les difficultés du présent, mais ils doivent les percevoir comme un défi. À l'Océanie, enfin, il est demandé de s'engager encore à prêcher l'Évangile.

    Enfin, le message se termine en implorant l'intercession de Marie, Étoile de la nouvelle évangélisation.

    Source : Radio Vatican.

  • La puissance du chapelet - Historique par l'Abbé Pagès

    « L'Église a toujours reconnu à cette prière une efficacité particulière, lui confiant les causes les plus difficiles dans sa récitation communautaire et dans sa pratique constante. En des moments où la chrétienté elle-même était menacée, ce fut à la force de cette prière qu'on attribua l'éloignement du danger, et la Vierge du Rosaire fut saluée comme propitiatrice du salut.
    Aujourd'hui, je recommande volontiers à l'efficacité de cette prière la cause de la paix dans le monde et celle de la famille.

    [...]

    Prière pour la paix, le Rosaire est aussi, depuis toujours, la prière de la famille et pour la famille. Il fut un temps où cette prière était particulièrement chère aux familles chrétiennes et en favorisait certainement la communion. Il ne faut pas perdre ce précieux héritage. Il faut se remettre à prier en famille et à prier pour les familles, en utilisant encore cette forme de prière...
    La famille qui est unie dans la prière demeure unie. Par tradition ancienne, le saint Rosaire se prête tout spécialement à être une prière dans laquelle la famille se retrouve...
    Recommencer à réciter le Rosaire en famille signifie introduire dans la vie quotidienne des images bien différentes, celles du mystère qui sauve : l'image du Rédempteur, l'image de sa Mère très sainte. La famille qui récite le Rosaire reproduit un peu le climat de la maison de Nazareth : on place Jésus au centre, on partage avec lui les joies et les souffrances, on remet entre ses mains les besoins et les projets, on reçoit de lui espérance et force pour le chemin. »

    Bx Jean-Paul II, Lettre Apostolique Rosarium Virginis Mariae, n° 39-41, 16 octobre 2002.

  • 17 août : Toute l'année avec les Pères de l'Eglise

    « Que faut-il que tu dises à ta femme ? Dis-lui avec beaucoup de douceur : "...Je t'ai choisie, je t'aime et te préfère à ma propre vie. L'existence présente n'est rien ; c'est pourquoi mes prières, mes recommandations et toutes mes actions, je les fais pour qu'il nous soit donné de passer cette vie de manière à pouvoir être réunis dans la vie future sans plus aucune crainte de séparation. Le temps que nous vivons est court et fragile. S'il nous est donné de plaire à Dieu durant cette vie, nous serons éternellement avec le Christ et l'un avec l'autre dans un bonheur sans limites. Ton amour me ravit plus que tout et je ne connaîtrais pas de malheur plus insupportable que d'être séparé de toi. Quand je devrais tout perdre et devenir plus pauvre qu'un mendiant, encourir les derniers périls, et endurer n'importe quoi, tout me sera supportable tant que ton affection pour moi demeure. Ce n'est qu'en comptant sur cet amour que je souhaiterai des enfants."

    Il faudra aussi conformer ta conduite à ces paroles... Montre à ta femme que tu apprécies beaucoup de vivre avec elle et que tu aimes mieux, à cause d'elle, être à la maison que sur la place. Préfère-la à tous les amis et même aux enfants qu'elle t'a donnés ; et que ceux-ci soient aimés de toi à cause d'elle...

    Vos prières, faites-les en commun. Que chacun de vous aille à l'église et qu'à la maison le mari demande compte à sa femme, et la femme à son mari, de ce qui a été dit ou lu... Apprenez la crainte de Dieu ; tout le reste coulera comme de source et votre maison s'emplira de biens innombrables. Aspirons aux biens incorruptibles, et les autres ne nous feront pas défaut. "Cherchez d'abord le Royaume de Dieu, nous dit l'Évangile, et tout le reste vous sera donné par surcroît" (Mt 6, 33). »

    Saint Jean Chrysostome (v.345-407), Homélie 20 sur la lettre aux Éphésiens, 4,8,9 : PG 62, 140s (trad. Orval).

  • 2 août : Indulgence de la Portioncule (Notre-Dame des Anges chez les Franciscains)

    Historique et conditions d'obtention de cette indulgence :
    Version résumée   -   Version détaillée

    Cette fête est célèbre dans tout l'Ordre des Frères Mineurs de saint François. Ce saint chérissait & aimait cette petite chapelle de Notre-Dame des Anges proche d'Assise, 1°, par la grande dévotion envers la très-sainte Vierge, & pour l'honneur qu'il portait aux saints Anges : avant que saint François y résidât, c'était une petite chapelle déserte & abandonnée. 2° Parce que c'était le lieu que le Seigneur lui avait destiné pour commencer son Ordre : c'est pourquoi il voulût qu'on appelât cette église Notre-Dame de la Portioncule, comme devant être la mère & le chef d'un petit troupeau de Frères Mineurs. Il désirait que tout le monde eût ce lieu en grande vénération. Au mois de janvier 1223, saint François accompagné du Frère Massé, alla trouver le Pape Honorius III, qui était pour lors à Pérouse, & obtint de lui indulgence plénière en ce jour, chaque année, pour tous ceux qui visiteraient l'église de N.Dame des Anges depuis le soleil couchant du premier jour d'août, jusqu'au soleil couchant du jour de la fête deux dudit mois, jour auquel cette église fut dédiée solennellement par sept Evêques par ordre du Pape, & la bulle d'indulgence publiée la même année 1223. Saint Bonaventure dit qu'à l'heure de la mort saint François demanda qu'on le portât dans l'église de N.Dame des Anges, pour finir une vie temporelle dans le lieu où il avait reçu la vie spirituelle de la grâce. On dit que tous les ans à la fête de N.Dame des Anges, les pèlerins sont en si grand nombre, qu'il y a des années qu'ils y viennent jusqu'à trente mille & plus, & qu'ils campent aux environs de cette église comme une armée.

    [Antoine-Martial Lefevre], Calendrier historique, chronologique et moral de la très-sainte et très-glorieuse Vierge Marie Mère de Dieu..., A Paris, Chez Claude Hérissant Fils, 1749.

  • 1er août : Méditation

    « En cette période estivale, ne mettez pas Dieu en vacances. Pensez à prier, à aller à la messe le dimanche. »
    Benoît XVI, Angélus du 8 juillet 2012.

    « La formation et l'initiation des enfants à la prière est l'une des tâches les plus importantes de l'enseignement religieux. Nul enseignement théorique de catéchisme ne pourrait jamais la remplacer. Les notions acquises au catéchisme sont importantes, mais ne suffisent pas pour faire de l'enfant un chrétien. Car le chrétien n'est pas un être théorique qui "sait" les choses intellectuellement, mais aussi et surtout celui qui "vit" l'enseignement reçu. La prière ne s'enseigne pas en conférences ou en leçons. Mais l'enfant y entre et croît par participation à la vie de ses parents. Nul ne peut entièrement les remplacer. En effet, plus encore qu'en tout autre domaine, c'est l'exemple qui marquera l'enfant.

    Une erreur fréquente consiste à penser qu'il faut faire prier les enfants. Cela ne suffit pas et peut même être néfaste si les enfants s'imaginent que la prière est une action "pour enfants". (N'entend-on pas dire par ailleurs quelquefois : "Mon enfant ne va plus au catéchisme, il a maintenant des études sérieuses à faire.") Ce qui importe, c'est de prier avec les enfants. il est essentiel pour les enfants de savoir que leurs parents vivent de la prière, qu'ils ne sauraient s'en passer, et qu'ils l'aiment. Car il ne faudrait pas que la prière soit une "corvée" obligatoire. »

    P. Pierre Koppel, "Feuillets Orthodoxes" n°31-32, in La douloureuse joie - Aperçus sur la prière personnelle de l'Orient chrétien, Abbaye de Bellefontaine, Spiritualité Orientale n°14, 1974.

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  • 30 Juillet : Méditation

    « En Dieu, la réalité du mariage est toujours vivante. Ce qui fait la beauté du mariage chrétien, c'est l'amour des époux, certes, mais aussi la fidélité inlassable de Dieu et la tendresse avec laquelle Il demeure gardien de cet amour conjugal, y compris lorsqu'il y a divorce aux yeux des hommes. Lorsque l'amour humain semble mort, l'amour de Dieu demeure. D'où la force de ceux et celles qui, divorcés, choisissent de ne pas se remarier pour rester fidèle à leur mariage : ils savent qu'ils ne sont pas seuls puisque Dieu s'est engagé avec eux, dans une alliance à trois.
    Pour qu'un tabouret soit stable, il lui faut au moins trois pieds. La famille qui repose sur le mariage est assise sur un trépied (les deux époux et Dieu)... alors que la famille qui se constitue sans mariage est comme assise sur un tabouret à deux pieds : en équilibre instable. On voit bien les limites de cette comparaison : les trois "pieds" du mariage ne sont pas de même nature. Mais cette image du trépied dit bien que pour être assis de manière stable, il faut que le poids du corps repose sur les trois pieds du tabouret. Or, que se passe-t-il trop souvent, même dans les familles chrétiennes ? On s'appuie sur deux pieds seulement (les époux), en oubliant le Troisième...
    Savoir que la famille repose sur le mariage ne suffit pas : encore faut-il en vivre. Une famille est chrétienne, non parce qu'elle aurait mérité quelque label en allant à l'église, mais parce qu'elle s'efforce de vivre, jour après jour, les grâces du sacrement de mariage. »

    Christine Ponsard, La Foi en famille, Editions des Béatitudes, 2004.

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  • Benoît XVI - Audience générale de ce mercredi 6 juin

    Audience générale de ce mercredi 6 juin
    après la visite pastorale de Benoît XVI à Milan pour la Rencontre des Familles

    « À la suite des témoignages des couples et des enfants de divers continents, j’ai rappelé que, pour surmonter les difficultés rencontrées par la famille, il faut préserver le temps en famille, menacé par une prédominance des engagements dus au travail. Le dimanche, jour du Seigneur, doit être libre pour la famille et libre pour Dieu. »

    Texte de l’allocution prononcée par le Saint-Père en français à lire en intégralité sur Radio Vatican.

  • 23 mai : Audience générale de Benoît XVI

    Benoît XVI - Audience générale de ce mercredi 23 mai

    « Dieu est notre Père car nous sommes ses créatures », a dit Benoît XVI à l'audience générale tenue ce matin Place Saint Pierre en présence de 20.000 personnes.

    « Le grand maître de la prière qu'est l'Esprit nous apprend à nous adresser à Dieu avec l'affection des fils, ainsi que l'a fait Jésus, y compris lors de l'épisode le plus dramatique de sa vie terrestre. Il n'a jamais perdu confiance en son Père, qu'il n'a cessé d'invoquer comme un fils aimé. »
    « La beauté, la grandeur et la consolation majeure contenues dans le mot "Père", avec lequel dans la prière nous nous adressons à Dieu, est peut-être mal perçue aujourd'hui. Souvent, la figure paternelle n'est pas assez affirmée et active... L’absence du père dans la vie d’un enfant est un grand problème de notre époque et, pour cela, il devient difficile de comprendre profondément que Dieu est notre Père... L'amour de Jésus, du Fils unique, qui s'est accompli pleinement sur la croix, révèle la véritable nature du Père, qui est Amour. »
    « Lorsque nous nous adressons au Père dans le secret de notre être, dans le silence du recueillement, nous ne sommes jamais seuls... Nous appartenons à la grande prière de l'Eglise et à la grande symphonie que la communauté chrétienne élève vers Dieu partout et en permanence... Guidée par l'Esprit, la prière qui nous fait crier Abba avec et dans le Christ nous inscrit dans la mosaïque parfaite de la famille de Dieu, où chacun trouve place et rôle dans l'unité. »

    Source : VIS Archive 01 - 23.5.12

    Message au pèlerins francophones à lire et écouter sur le site internet du Vatican

  • Intentions de prière de Benoît XVI pour le mois de mai

    Universelle :
    « Pour que soient promues dans la société des initiatives qui défendent et renforcent le rôle de la famille. »

    Missionnaire :
    « Pour que Marie, Reine du monde et Etoile de l’évangélisation, accompagne tous les missionnaires dans l’annonce de son Fils Jésus. »

    Commentaire par l'Agence Fides