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  • Méditation : ne reportons pas sans cesse à demain...

    « Si nous voulons bien y réfléchir, cette vie n'est autre chose qu'une guerre continuelle. En cet exil, en cette vallée de larmes, c'est notre partage de chaque jour, combattus que nous sommes, sans cesse, par trois mortels ennemis : le monde, le démon et la chair.
    Le monde nous appelle avec ses vices et ses richesses, nous promet une vie longue et nous dit : "Allons ! Toi qui es jeune, abandonne-toi à ton bon plaisir ; quand tu seras vieux, tu te corrigeras".

    Le démon nous tend sans cesse des pièges et des filets pour nous faire trébucher et tomber ; il nous empêche de faire le bien et de pratiquer la charité ; il nous plonge dans le souci des biens temporels pour écarter le souvenir de Dieu et du soin, que nous devons avoir, de garder notre âme pure et de l'enrichir par les bonnes œuvres. A peine sortis d'une préoccupation, nous tombons en une autre. "Oui, bientôt, disons-nous, aussitôt cette affaire terminée, je veux amender ma vie", et répétant ainsi "bientôt, bientôt", nous n'arrivons jamais à échapper aux séductions du démon, jusqu'à ce qu'enfin survienne l'heure de la mort et que disparaissent tous les faux biens, promis par le monde et le démon. Car tels le Seigneur nous trouvera, tels il nous jugera. Il serait donc bon de nous corriger à temps, et de ne pas faire comme ces gens qui disent : "Demain !", toujours "Demain !", et jamais ne commencent.

    L'autre ennemi, le plus dangereux, est comme un voleur domestique et familier qui, avec de belles paroles et sous de bonnes apparences, s'efforce sans cesse de nous entraîner à la perdition : c'est la chair, notre corps, qui ne veut que bien manger, bien boire, bien se vêtir, bien dormir, travailler peu et s'adonner au vice et à la vaine gloire.
    Contre ces trois ennemis, la protection, l'aide et la grâce de Notre-Seigneur nous sont bien nécessaires. Il faut aussi nous humilier profondément, quitter tout pour Jésus-Christ, notre tout, placer notre confiance uniquement en lui, confesser sincèrement tous nos péchés aux pieds du confesseur, accomplir la pénitence imposée, ne plus jamais pécher pour l'amour de Jésus-Christ seul ; et s'il nous arrive de faillir, nous confesser souvent. Ainsi nous pourrons vaincre ces ennemis dont j'ai parlé.

    Surtout, ne nous fions pas à nous-mêmes, sous peine de tomber mille fois par jour dans le péché, mais mettons notre confiance en Jésus-Christ seul. Pour sa bonté, pour son amour seul, évitons le péché, la médisance ; ne faisons ni tort ni mal au prochain, mais souhaitons-lui ce que nous voudrions qu'on nous fît à nous-mêmes. Désirons aussi le salut de tous les hommes et aimons, servons Jésus-Christ seul, pour lui-même et non par crainte de l'enfer. »

    St Jean de Dieu (8 mars 1495-8 mars 1550), fondateur de l'Ordre des Religieux de la Charité, extrait de la deuxième lettre à la Duchesse de Sessa. (Source)

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    L'hôpital qu'il a fondé à Grenade a donné naissance aux Frères Hospitaliers de Saint Jean de Dieu.
    Canonisé en 1690, il a été proclamé en 1886 par Léon XIII Patron des malades, des hôpitaux et des ordres hospitaliers, et en 1930 par Pie XI, Patron des infirmiers, infirmières et de leurs associations.
    Les personnes alcooliques sollicitent son aide pour guérir leur dépendance.

     

    Prière pour les malades
     
    Seigneur, daigne exaucer notre prière pour tous les affligés et ceux qui les soignent !
    Pour ceux qui t’aiment et t’offrent leurs souffrances : soutiens leur cœur devant les défaillances de leur nature.
    Pour ceux qui te cherchent : fais briller à leurs yeux la lumière de ta croix d’où descendent le pardon et la paix.
    Pour ceux qui te méconnaissent : fais entendre la parole de consolation : « Venez à moi, vous tous qui souffrez, et je vous soulagerai ».
    Pour tous ceux qui sont au service des souffrants et qui veillent sur eux : à tous Seigneur, donne le calme, le courage, la paix et la consolation.
    Accorde ta miséricorde Seigneur, à ceux que tu rappelleras à toi !
    Ô Marie, consolatrice des affligés, priez pour nous !
    Notre Père Saint Jean de Dieu, priez pour nous !

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  • Mois de mars : mois de Saint Joseph

    « Saint Joseph m’a toujours exaucée au-delà de mes prières et de mes espérances. »
    Ste Thérèse d’Avila (1515-1582)
     
    « Prosterné à vos pieds, je vous révère, ô bienheureux Joseph ! comme le père de mon Seigneur et de mon Dieu, comme le chef de cette sainte Famille qui est l'objet des complaisances et des délices du Père éternel. Quelle gloire pour vous d'être ainsi le père et le guide du Fils unique de Dieu ! Mais quel bonheur pour nous de penser que vous êtes aussi notre père et que nous sommes vos enfants, puisque nous sommes les frères de Jésus-Christ, qui a voulu être appelé votre Fils ; et en cette qualité nous avons droit à la tendresse de votre cœur paternel. Recevez-nous donc favorablement ; prenez-nous sous votre protection, et soyez notre refuge et notre asile dans toutes nos peines et dans tous nos besoins, pendant la vie et à notre dernier moment. Amen.»

    R.P. Huguet, in "Pouvoir de Saint Joseph" (Huitième jour), 15e édition, Librairie Catholique de Perisse Frères, Paris - Bruxelles, 1865.

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  • Samedi 08 mars 2014

    St Jean de Dieu, confesseur

    Calendrier liturgique

  • Gustav Mahler : Symphonie nº 5 en ut dièse mineur - IV. Adagietto

    Orchestre Philharmonique de Vienne - Dir. Leonard Bernstein

  • Méditation : le Christ transpercé sur la Croix...

    « Chers frères et sœurs, regardons le Christ transpercé sur la Croix ! Il est la révélation la plus bouleversante de l'amour de Dieu, un amour dans lequel eros et agapè, loin de s'opposer, s'illuminent mutuellement. Sur la Croix c'est Dieu lui-même qui mendie l'amour de sa créature : Il a soif de l'amour de chacun de nous. L'apôtre Thomas reconnut Jésus comme "Seigneur et Dieu" quand il mit la main sur la blessure de son flanc. Il n'est pas surprenant que, à travers les saints, beaucoup aient trouvé dans le Cœur de Jésus l'expression la plus émouvante de ce mystère de l'amour. On pourrait précisément dire que la révélation de l'eros de Dieu envers l'homme est, en réalité, l'expression suprême de son agapè. En vérité, seul l'amour dans lequel s'unissent le don désintéressé de soi et le désir passionné de réciprocité, donne une ivresse qui rend légers les sacrifices les plus lourds. Jésus a dit : "Quand je serai élevé de terre, j'attirerai à moi tous les hommes" (Jn 12, 32). La réponse que le Seigneur désire ardemment de notre part est avant tout d'accueillir son amour et de se laisser attirer par lui. Accepter son amour, cependant, ne suffit pas. Il s'agit de répondre à un tel amour pour ensuite s'engager à le communiquer aux autres : le Christ "m'attire à lui" pour s'unir à moi, pour que j'apprenne à aimer mes frères du même amour. »

    Benoît XVI, extrait du Message pour le Carême 2007.
    (Texte intégral)

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    La Bse Marie du Divin Cœur Droste zü Vischering et Ste Marguerite-Marie Alacoque
    en adoration devant le Sacré-Cœur de Jésus.

    (Source et crédit photo)

  • Mois de mars : mois de Saint Joseph

    « Saint Joseph m’a toujours exaucée au-delà de mes prières et de mes espérances. »
    Ste Thérèse d’Avila (1515-1582)
     
    « Ô saint Joseph, qui avez tant aimé le Sacré Cœur, si je cherchais dans l'Ancien Testament et dans le Nouveau tous les saints qui ont été les amis de Dieu ; si je relisais la vie de tous les bienheureux qui ont illustré l’Église catholique, je pourrais dire avec sainte Thérèse, votre fidèle servante, que vous les surpassez tous par les soins que vous avez rendus à Jésus et à Marie, par votre dignité et par le grand nombre de grâces que vous pouvez nous accorder et par la place que vous occupez dans le Ciel.

    Aussi je me jette à vos pieds et vous demande toutes les grâces spirituelles et temporelles que vous savez m'être nécessaires. Je vous confie le soin de mon âme et de mon corps, de ma vie intérieure et extérieure, de la durée de mon existence et du moment de ma mort. Je désire être à votre exemple un ami du Cœur de Jésus, un ami de Notre Dame du Sacré Cœur, un ami de vous-même. Jésus, Marie, Joseph ! ô doux noms, soyez toujours sur mes lèvres !... Que je les chante ici-bas dans les jours de mon pèlerinage, que je les chante en quittant l'exil ! que je les chante à jamais dans l'éternelle Patrie ! Amen. »

    Prière in "Neuvaine à Saint Joseph, modèle & patron des amis du Sacré Cœur" (Neuvième jour), Chez M. le directeur de l'Archiconfrérie de Notre Dame du Sacré Cœur, Issoudun, s.d. [1915].
    Imprimatur : Apud Biruricas 2 septembris 1915
    Fr. Lelong, v.g.

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  • Vendredi 07 mars 2014

    Calendrier liturgique

    (abstinence)

    1er vendredi du mois dédié au Sacré Cœur de Jésus

  • J.-S. Bach : Concerto pour 2 violons en ré mineur BWV 1043 - II. Largo ma non tanto

    Camerata Romana, Eugen Duvier, Joze Brezina, F. Elias

  • Méditation : ténèbres et lumière

    « La vérité, c'est que toute appréciation sincère repose sur un certain mystère d'humilité, presque d'obscurité. L'homme qui a dit : "Bienheureux celui qui ne s'attend à rien, parce qu'il ne sera pas déçu", exprime la béatitude d'une manière imparfaite et mensongère. La vérité est celle-ci : bienheureux celui qui ne s'attend à rien, parce qu'il sera magnifiquement surpris. Celui qui ne s'attend à rien voit les roses plus rouges que le commun des hommes ne les voit, l'herbe plus verte et le soleil plus éblouissant. Bienheureux celui qui ne s'attend à rien parce qu'il possèdera les cités et les montagnes. Bienheureux celui qui est doux parce qu'il héritera la terre. Tant que nous ne concevons pas que les choses pourraient ne pas être, nous ne pouvons pas concevoir qu'elles soient. Tant que nous n'avons pas vu l'arrière-plan des ténèbres, nous ne pouvons admirer la lumière comme une chose unique et créée. Dès que nous avons vu ces ténèbres, toute lumière est claire, soudaine, aveuglante et divine. Tant que nous ne nous sommes pas représenté le néant, nous n'apprécierons pas à sa valeur la victoire de Dieu et nous ne pouvons concevoir aucun des trophées de son ancienne guerre. La vérité a un million de jeux fantasques, l'un d'eux est que nous ne savons rien tant que nous ne sommes pas au point de ne rien savoir. »

    Gilbert Keith Chesterton (1874-1936), Hérétiques, Trad. Jenny S. Bradley, Librairie Plon, coll. "Le Roseau d'Or", Paris, 1930.

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  • Ce jeudi à 10h30 : Rencontre du Pape François avec les curés de Rome

     

    Lors de sa rencontre ce jeudi matin avec le clergé romain dans la salle Paul VI du Vatican, le Pape François, qui s’est largement confié et n’a pas hésité à se souvenir de certains épisodes de sa vie, est revenu sur la miséricorde en ce temps de Carême. Il a expliqué ce que signifie la miséricorde pour les prêtres, avant de faire le lien avec le Sacrement de la réconciliation, soulignant qu’il ne s’agissait ni de laxisme, ni de rigidité.

    En ce temps de miséricorde, c’est un Pape qui a demandé pardon, dans un geste inhabituel, aux curés de Rome. Pardon, non tant en qu’évêque, mais en tant que chef du service diplomatique du Saint-Siège, dont un des membres a accusé, notamment de pédophilie, plusieurs prêtres de Rome.

    « J’ai été très touché par la douleur de certains d’entre vous à cause des accusations formulées contre vous. J’ai parlé avec certains d’entre vous. Une folie ! moi, je suis proche des curés. Les accusés : ce sont tous les curés. Je veux vous demander pardon à vous, non en tant qu’évêque, mais comme responsable du service diplomatique du Saint-Siège parce que l’un des accusateurs appartient au service diplomatique. Mais cela n’a pas été oublié ; on étudie le problème afin d’éloigner cette personne. C’est un acte grave d’injustice et je vous demande pardon pour cela, à vous tous. »

    Le Pape François a fait référence aux accusations de pédophilie et de comportements douteux formulées à l’encontre de plusieurs prêtres du diocèse de Rome par un ex-prêtre, Patrizio Poggi, et relayées et confirmées par le conseiller de la nonciature, Mgr Luca Lorusso. Les accusés ont alors contacté le Pape, leur expliquant leur souffrance face à de telles accusations.

    Puis il a développé le thème de la miséricorde : il est parti du récit de Mathieu qui montre Jésus plein de compassion envers les personnes perdues qu'il rencontrait, « abandonnées et sans défense comme des brebis sans berger. » Nous ne sommes pas réunis, a-t-il dit à ses prêtres diocésains, « pour des exercices spirituels d'entrée en Carême mais pour entendre la voix de l'Esprit qui parle à toute l’Église en ce temps de miséricorde : On oublie trop vite jusqu'au magistère de l’Église ! Si c'est en partie inévitable, nous ne pouvons oublier les contenus principaux, les institutions majeures et les obligations faites au peuple de Dieu. La divine miséricorde est l'une d'elles. C'est à nous, ministres de l’Église, de garder vivant ce message par notre prédication, nos gestes et choix pastoraux, notamment en rendant au sacrement de la réconciliation sa place privilégiée ainsi qu'aux œuvres de miséricorde. »

    Puis le Saint-Père s'est demandé ce qu'était la miséricorde pour un prêtre : « Comme Jésus devant ces personnes perdues, le prêtre ressent de la compassion... A l'image du Bon Pasteur, il est homme de miséricorde et de compassion, qui se fait serviteur de tous... Le prêtre est tout particulièrement miséricordieux dans l'administration de la réconciliation, et il le démontre par sa manière d'accueillir, de conseiller et d'absoudre...
    Le prêtre vit le sacrement à la première personne...et il doit apprendre à avoir de la compassion. Un prêtre aseptisé est inutile. L’Église doit être conçue aujourd'hui comme un hôpital de campagne au service des blessés de la vie. Combien de blessés, combien de blessures, et combien de choses scandaleuses, y compris dans l’Église. Beaucoup de gens sont blessés par les illusions du monde, et nous les prêtres devons leur être proches. Devant l'urgence, on doit agir, sans attendre analyses et soins à long terme... Connaissez vous les blessures de vos paroissiens ? Leur êtes-vous proches ?... Souvent nous recueillons le témoignage de fidèles ayant eu à faire avec un confesseur rigide ou un autre laxiste... Si les différences de style sont normales elles ne peuvent toucher à la substance, à la doctrine morale et à la miséricorde. Pas plus le prêtre rigoriste que le prêtre laxiste ne témoigne correctement de Jésus-Christ, car l'un comme l'autre ne prend le fardeau du pénitent... La miséricorde véritable est de se charger de l'autre, de l'écouter avec attention et respect...et de l'accompagner dans son parcours de réconciliation. Le prêtre miséricordieux doit agir comme le Bon Samaritain...parce qu'il est capable de compassion. Il est le cœur du Christ. Pas plus que le laxisme le rigorisme accroît la sainteté...tandis que la miséricorde accompagne le cheminement vers elle...
    Au final nous serons jugés sur notre capacité à nous faire proche de toute personne, à chacun de nos frères... Et à la fin des temps, seuls qui aura eu pitié de son frère blessé ou exclu pourra contempler la gloire du Christ. »

    Cette rencontre fut aussi, pour le Pape, l’occasion de partager avec tous les prêtres présents quelques souvenirs de l’époque où il officiait à Buenos Aires. Il est notamment revenu sur la figure d’un vieux prêtre qui confessait sans arrêt, reconnu par les fidèles pour sa miséricorde. Au moment de son décès, lors du week-end pascal, le futur Pape a alors pris la croix du rosaire du défunt lui demandant : « donne-moi ne serait-ce que la moitié de ta miséricorde ». Depuis lors, le Pape porte sur son cœur, dans une poche en étoffe, cette croix et la touche dès qu’il a « une mauvaise pensée envers quelqu’un ». « Combien est bon l’exemple d’un prêtre miséricordieux » a ainsi conclu le Pape.

    Sources : Radio Vatican et Vatican information Service (Publié VIS Archive 01 - 6.3.14)
  • Mois de mars : mois de Saint Joseph

    « Saint Joseph m’a toujours exaucée au-delà de mes prières et de mes espérances. »
    Ste Thérèse d’Avila (1515-1582)
     
    « Seigneur Jésus-Christ, dans l'éternité Dieu de Dieu et dans le temps par votre ineffable humilité homme né d'une vierge, qui avez voulu, en saint Joseph, donner à votre mère vierge un époux vierge, à cette femme humble un humble compagnon de vie, et qui l'avez merveilleusement élevé d'un état de petitesse à un état de sublimité par une augmentation de vertus et de prérogatives, donnez-nous, nous vous en prions, par son exemple, ses mérites et ses prières, la pureté de l'âme et du corps, la vraie vertu d'humilité, et une fois fixés dans l'humilité, une augmentation de foi, d'espérance, de charité et de toutes les vertus, afin que par nos mérites vertueux nous puissions obtenir avec lui la récompense de la gloire éternelle. Vous qui étant Dieu vivez et régnez avec le Père et le Saint-Esprit dans tous les siècles des siècles. Amen. »

    Pierre d'Ailly (1350-1420), Traduction des Cahiers de Joséphologie vol.1 n°2, juillet-décembre 1953, des RR. PP. Trottier et Bertrand, C.S.C.

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  • Jeudi 06 mars 2014

    Calendrier liturgique

  • Carême en ligne 2014 avec Lourdes 1/13 : La Joie de la Conversion

    Le Père Jean-Dominique Dubois, frère franciscain et chapelain du Sanctuaire de Lourdes, anime la retraite spirituelle "Carême en ligne avec Lourdes" délivrée à plusieurs milliers d'inscrits. Aujourd'hui, mercredi 5 mars 2014, jour des Cendres et de l'entrée en Carême, il médite sur la Joie de la Conversion. Au programme : un enseignement et une prière de Bernadette. Une vidéo de la série "Carême en ligne avec Lourdes" proposée par le Sanctuaire de Lourdes en lien avec le site internet http://www.lourdes-france.org

  • Brive-la-Gaillarde, du 10 au 14 Juillet 2014 : Première Université d’été franciscaine

    La crise, les crises…

    Un nouveau monde en train de naître ?

     

    Oui, nous connaissons une période de mutations sans précédent qui affecte tous les domaines de notre vie.

    Oui, nous avons bien des raisons de nous inquiéter pour le présent comme pour l’avenir.

    Non, ce n’est pas la fin du monde même si c’est la fin d’un monde.

    Un nouveau monde est en train de naître. Comme croyants, avec lucidité et espérance, nous voulons ouvrir les yeux sur cette réalité nouvelle, y réfléchir ensemble, chercher de nouveaux modes de vie plus respectueux de l’équilibre environnemental et humain.

    C’est pourquoi nous vous proposons de nous rejoindre à la première Université d’été franciscaine, du 10 au 14 juillet 2014, à Brive-la-Gaillarde.

    Chaque matin, des invités nous aideront à mieux comprendre les mutations que nous connaissons. Ils témoigneront aussi des initiatives qu’ils prennent pour y répondre. Parmi les intervenants, citons Mgr Albert Rouet, archevêque émérite de Poitiers ; Frédérique Bedos, auteur de La petite fille à la balançoire ; Régis Laithier, formateur à Juralternance ; Pierre Giorgini, recteur de la Catho de Lille ou encore Emmanuel Marchant, directeur de Danone Communities.

    L’après-midi, la parole sera donnée aux acteurs de terrains, qui nous feront découvrir leurs initiatives, locales, associatives, en entreprise, dans les domaines social, économique, religieux... et entreront en dialogue avec nous.

    Une Université d’été franciscaine, ce sont aussi des temps de convivialité, la place faite au spectacle et à la fête, sans oublier la proposition d’un chemin spirituel par les frères franciscains de Brive. Nous pourrons partager leur prière matin et soir.

    Ce rendez-vous sera riche de la diversité de ses participants, chrétiens ou non, de toutes générations, aux expériences plurielles. Les familles y seront les bienvenues avec la mise en place d’animations spécifiques pour les enfants et les jeunes.

     

    Programme

    Jeudi 10 juillet

    20h30 : Ouverture de l’Université d’été franciscaine :

    Crise ou changement de monde : la transition fulgurante, avec  Pierre Giorgini, Président-Recteur de l’Université Catholique de Lille.

    Vendredi 11 juillet

    9h30 – 12h00 : La crise, de quoi parle-t-on ? Une crise ou des crises ? Une crise conjoncturelle ou un changement de paradigmes ? Des clés pour comprendre. Avec Loïc Pelletier, Marc Tirel et Anne-Sophie Novel.

    15h00 – 17h00 : 15 Ateliers pour découvrir, échanger avec des acteurs de terrain : initiatives locales, associatives, en entreprise, dans les domaines social, économique, religieux...

    17h00 – 18h00 : Grand témoin  Régis Laithier, formateur à l’association "Juralternance".

    20h30 : Chemin d’Assise, l’aventure intérieure. Film et rencontre avec Olivier Lemire.

    Samedi 12 juillet

    9h30 – 12h00 : A situation nouvelle, réponses nouvelles. Des clés pour agir. Avec Jean-Louis Gallaup, Emmanuel Marchant et Jérôme Vignon.

    15h00 – 16h30 :  Grand témoin : Frédérique Bedos, auteur de La petite fille à la balançoire.

    17h00 – 18h30 : Ateliers

    20h30 : Récital de Maxime Piolot. Accompagné de ses quatre musiciens, Maxime Piolot, dans des chansons pleines de profondeur et de poésie, nous emmène à la découverte de François d’Assise.

    Dimanche 13 juillet

    9h00 – 10h30 : Les mutations actuelles, un défi pour l’Eglise : réflexions et initiatives, par Mgr Albert Rouet, archevêque émérite de Poitiers.

    11h00 : Messe à la Collégiale saint Martin, présidée par l’évêque de Tulle

    15h00 – 17h00 : Ateliers

    17h00 – 18h00 : Grand témoin  Mgr Albert Rouet

    Lundi 14 juillet

    9h00 – 11h00 : Quelles actions demain pour contribuer à de nouveaux modes de vie ?

    11h00 – 12h00 : Envoi

     

    Equipe de coordination

    Elisabeth Martini, François Delmas-Goyon, Frère Nicolas Morin, Jean-François Chaumont et Bernard de Vaugiraud

    Qui est invité ?

    Cette rencontre s’adresse à toute personne désirant mieux appréhender, réfléchir et partager avec d’autres sur les mutations contemporaines et chercher des moyens concrets d’agir.

    Une place toute particulière sera faite aux familles qui logeront sur un même site. Des Scouts prendront en charge l’animation des enfants et des jeunes.

    Logement

    Le logement se fera sur trois sites, en chambres individuelles ou double, voire en chambrées pour les familles. Possibilité de dormir sous tente.

    Tous les repas se prendront aux Grottes de Saint Antoine.

    Combien ça coûte ?

    Le coût réel du rassemblement (pension complète, animation, intervenants, secrétariat) est de 260 €. Nous vous proposons de participer selon vos moyens dans une fourchette de 210 € à 310 €. Enfants et jeunes : 80 €. Gratuit pour les moins de trois ans.

    Si vous êtes logés par vos propres moyens mais prenez vos repas sur place : 190 €

    Si vous ne prenez ni repas, ni hébergement : 70 €

    Renseignements – Inscriptions

    Éditions Franciscaines - 9 rue Marie Rose - 75014 Paris - 01 45 40 73 51 - contact@editions-franciscaines.com

  • Paris, 5 avril 2014 : colloque "Evangelii gaudium"

    Invitation personnelle
    COLLOQUE EVANGELII GAUDIUM
    La pensée sociale du Pape François,
    rupture ou approfondissement ?


    Paris, 5 avril


    Un colloque de la Fondation de Service politique
    et de l'Association des économistes catholiques
    Paroisse catholique St-Pierre-du-Gros-Caillou, Paris VIIe
    SAMEDI 5 AVRIL, 14h-18h30
     

    La VIIe édition du colloque "Actualité de la doctrine sociale de l’Église" vous propose une lecture sociale de l'exhortation apostolique Evangelii gaudium.

    Le Pape François y présente la doctrine sociale de l’Église comme un vecteur décisif de la nouvelle évangélisation. Divers commentateurs ont vu dans son approche, très personnelle, une rupture avec l'enseignement de ses prédécesseurs. Il n'en est rien.

    Quand le Pape François dit de la crise économique mondiale que ses racines sont anthropologiques, il s'inscrit exactement dans la ligne ouverte en particulier par Jean Paul II, dont il fut l'homme de confiance en Amérique du Sud.

    Ce colloque a pour ambition d'examiner les défis posés aux catholiques d'aujourd'hui dans le champ propre de leur mission et de leur responsabilité dans le monde, avec le regard proposé par le Pape François.

    Avec les interventions de

    Père Antoine de Romanet, co-directeur du département de recherche Société, Liberté, Paix du Collège des Bernardins.

    Jean-Yves Naudet, président de l’Association des Économistes catholiques.

    Père Pierre Coulange, Studium Notre-Dame de Vie.

    Pierre de Lauzun, directeur général délégué de la Fédération bancaire française.

    Guido Hülsmann, professeur à l’Université d’Angers.

    François-Xavier Bellamy, professeur agrégé de philosophie, maire-adjoint de Versailles.

    François Billot de Löchner, président de la Fondation de Service politique.

    Les équipes de Liberté Politique et de l'Association des économistes catholiques seront heureuses de vous accueillir.

    Inscription sur réservation (mentionnez vos nom, adresse et nombre de personnes)
    Participation aux frais

    En savoir plus :
    Renseignements, programme, inscription

  • Claude Lejeune (v.1530-1600) : Emendemus in melius

    Ensemble Jacques Moderne - Dir. Jean-Pierre Ouvrard

    Emendemus in melius,
    Quae ignoranter peccavimus:
    Ne subito praeoccupati die mortis,
    Quaeramus spatium paenitentiae,
    Et invenire non possimus.
    Attende Domine et miserere,
    Quia peccavimus tibi.

    (Cf. Répons de l'imposition des cendres)

  • Méditation : le Carême

    « Dès les origines, donc, le Carême est vécu comme le temps de la préparation immédiate au Baptême, qu'il faut administrer solennellement au cours de la Veillée pascale. Tout le Carême était un chemin vers cette grande rencontre avec le Christ, cette immersion dans le Christ et ce renouveau de la vie. Nous sommes déjà baptisés, mais le Baptême n'est souvent pas très efficace dans notre vie quotidienne. C'est pourquoi, pour nous aussi, le Carême est un "catéchuménat" renouvelé, dans lequel nous allons à nouveau à la rencontre de notre Baptême pour le redécouvrir et le revivre en profondeur, pour devenir à nouveau réellement chrétiens. Le Carême est donc une occasion de "redevenir" chrétiens, à travers un processus constant de transformation intérieure, et de progrès dans la connaissance et dans l'amour du Christ. La conversion n'est jamais faite une fois pour toutes, mais c'est un processus, un chemin intérieur de toute notre vie. Cet itinéraire de conversion évangélique ne peut certes pas se limiter à une période particulière de l'année: c'est un chemin quotidien, qui doit embrasser tout le cours de l'existence, chaque jour de notre vie. Dans cette optique, pour chaque chrétien et pour toutes les communautés ecclésiales, le Carême est le temps spirituel favorable pour s'entraîner avec une plus grande ténacité à rechercher Dieu, en ouvrant son cœur au Christ...

    Cette conversion du cœur est tout d'abord un don gratuit de Dieu, qui nous a créés pour lui et qui nous a rachetés en Jésus Christ: notre véritable bonheur consiste à demeurer en Lui (cf. Jn 15, 3). C'est pour cette raison qu'il prévient lui-même, par sa grâce, notre désir et qu'il accompagne nos efforts de conversion. Que signifie, en réalité, se convertir ? Se convertir signifie chercher Dieu, aller avec Dieu, suivre docilement les enseignements de son Fils, de Jésus Christ... Se convertir signifie alors ne pas rechercher son propre succès personnel - qui est quelque chose qui passe - mais, en abandonnant toute certitude humaine, se placer avec simplicité et confiance à la suite du Seigneur pour que Jésus devienne pour chacun, comme aimait à le répéter la bienheureuse Teresa de Calcutta, "mon tout en tout". Celui qui se laisse conquérir par Lui ne craint pas de perdre sa propre vie, car sur la Croix Il nous a aimée et s'est donné lui-même pour nous. Et précisément en perdant notre vie par amour nous la retrouvons.

    [...]

    Chers frères et sœurs, que la période quadragésimale, que nous entreprenons aujourd'hui avec le rite austère et significatif de l'imposition des Cendres, soit pour tous une expérience renouvelée de l'amour miséricordieux du Christ, qui sur la Croix a versé son sang pour nous. Mettons-nous docilement à son école, pour apprendre à "redonner", à notre tour, son amour au prochain, en particulier à ceux qui souffrent et qui sont en difficulté. Telle est la mission de chaque disciple du Christ, mais pour l'accomplir il est nécessaire de rester à l'écoute de sa Parole et de se nourrir avec assiduité de son Corps et de son Sang. Que l'itinéraire quadragésimal, qui dans l’Église antique est l'itinéraire vers l'initiation chrétienne, vers le Baptême et l'Eucharistie, soit pour nous baptisés un temps "eucharistique" au cours duquel nous participons avec une plus grande ferveur au sacrifice de l'Eucharistie. Que la Vierge Marie qui, après avoir partagé la passion douloureuse de son divin Fils, a fait l'expérience de la joie de sa résurrection, nous accompagne au cours de ce Carême vers le mystère de la Pâque, révélation suprême de l'amour de Dieu.
    Bon Carême à tous ! »

    Benoît XVI, extrait de l'Audience générale du 21 février 2007.
    (Texte intégral)

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  • Imposition des Cendres : 1ère Antienne et Répons

    Antiphona. Iœl. 2, 13.
    Immutémur hábitu, in cínere et cilício : ieiunémus, et plorémus ante Dóminum : quia multum miséricors est dimíttere peccáta nostra Deus noster.

    Changeons de vêtements, couvrons-nous de cendre et du cilice, jeûnons et pleurons devant le Seigneur ; car notre Dieu tout miséricordieux est prêt à nous remettre nos péchés.

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    ... et Répons

     William Byrd - Emendemus in melius. Deller

    Responsorium. Esther 13 ; Iœl. 2.
    Emendémus in mélius, quæ ignoránter peccávimus : ne, subito præoccupáti die mortis, quærámus spátium pæniténtiæ, et inveníre non póssimus. Atténde, Dómine, et miserére : quia peccávimus tibi.

    Supprimons par nos progrès dans le bien les fautes dont nous nous sommes rendus coupables par ignorance, de crainte que surpris soudainement le jour de la mort, nous ne cherchions le temps de faire pénitence et ne puissions le trouver. Prêtez attention, Seigneur, et ayez pitié, parce que nous avons péché contre vous.

    V/. Ps. 78, 9.
    Adiuva nos, Deus, salutáris noster : et propter honórem nóminis tui, Dómine, líbera nos. Atténde, Dómine.

    Aidez-nous, ô Dieu, notre sauveur, et pour l’honneur de votre nom, délivrez-nous, Seigneur.
  • Messe des Cendres à 16h30 célébrée par le Pape François

    Procession pénitentielle de l'église Saint Anselme à la basilique Sainte Sabine
    et Messe célébrée par le Saint-Père

    Livret de la célébration

    Le Pape François, comme le veut la tradition, a célébré ce mercredi la Messe du mercredi des Cendres depuis la basilique Sainte-Sabine sur la colline de l'Aventin, à Rome. Juste auparavant, il avait présidé, entouré des cardinaux, des évêques, des moines bénédictins et des pères dominicains, la procession pénitentielle au chant des litanies depuis l’église bénédictine Saint-Anselme, située à quelques pas de Sainte Sabine.

    Dans son homélie, le Saint-Père a rappelé quel est le sens du Carême, en invitant à une ouverture des cœurs et non seulement de l’apparence. Pour François « la conversion ne se réduit pas à des formes extérieures, à de vagues propositions, mais doit transformer l’existence entière à partir du centre de la personne, de la conscience. »

    « Nous vivons dans un monde toujours plus artificiel, dans une culture du faire, de l’utile, dans laquelle nous excluons Dieu de notre horizon. Le Carême nous appelle à nous souvenir que nous sommes de simples créatures, que nous ne sommes pas Dieu - a souligné François qui a ajouté avec fermeté :
    Quand je vois quelques luttes de pouvoir dans mon petit environnement quotidien, je me dis que ces personnes jouent à vouloir être Dieu alors qu’elles ne le sont pas ! »

    Le Pape a ensuite détaillé les trois éléments qui bornent le chemin du Carême : la prière, le jeûne et l’aumône. « Dans la faiblesse et la fragilité de nos vies, nous pouvons nous tourner vers Dieu avec la confiance des enfants. Devant tant de blessures qui nous font mal, qui peuvent endurcir notre coeur, nous sommes appelés à nous jeter dans la mer de la prière. »

    Le Saint-Père a ainsi appelé les catholiques à dégager des temps de prière plus intenses, plus nombreux et plus assidus, capables de prendre en charge les besoins de nos frères. C’est seulement quand les difficultés et les souffrances des frères nous interpellent que nous pouvons alors initier notre chemin de conversion vers Pâques. C’est un itinéraire qui comprend la Croix et le renoncement.

    « Le jeûne comporte un style de vie sobre, une vie qui ne gâche pas, qui ne jette pas. Il est le signe de la confiance que nous remettons en Dieu et en sa Providence. » L'aumône est enfin le signe de la gratuité, cette gratuité qui devrait être l'une des caractéristiques des chrétiens. Le Saint-Père a ainsi déploré qu'aujourd'hui « la gratuité ne fait pas partie du quotidien, où tout se vend et tout s'achète, tout est calcul et mesure. L'aumône au contraire nous aide à vivre la gratuité du don. »

    « Pourquoi devons-nous revenir à Dieu ? a-t-il demandé. Parce que quelque chose ne va pas, dans nos vies, dans la société. Ceci s'appelle avoir besoin de se convertir, a t-il conclu , tout en gardant confiance qu'il est possible de réaliser quelque chose en nous-même, car Dieu est toujours fidèle. »

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral de l'homélie en italien sur le site internet du Vatican.

  • Audience générale de ce mercredi 05 mars 2014

    Le Pape François a consacré la catéchèse de l'Audience générale tenue Place St Pierre au Carême qui débute ce jour :
    Durant ces quarante jours de préparation au mémorial de la passion, mort et résurrection du Seigneur, "l’Église nous demande deux choses, prendre mieux conscience de son action rédemptrice et vivre plus intensément notre baptême. La conscience des merveilles que le Christ a accompli pour notre salut nous prépare à rendre grâce à Dieu... Vivre jusqu'au bout le baptême signifie ne pas céder à l'indifférence, ne pas s'habituer à la misère... Il y a effectivement un risque à accepter passivement certains comportements et à ne pas réagir face à certaines situations. Nous nous habituons à la violence comme si elle était naturelle, à ce que des personnes dorment en plein air...aux réfugiés à la recherche de liberté et de dignité, qui ne sont pas accueillis comme il faudrait. On s'habitue aussi à vivre dans une société qui prétend se passer de Dieu, dans laquelle les parents n'apprennent pas à prier à leurs enfants, ni même à faire le signe de croix. Vos enfants savent-ils se signer ? Savent-ils le Pater et l'Ave Maria ?... Le Carême est une occasion pour changer de route et réagir au mal qui ne cesse de nous défier, un temps de conversion et de rénovation personnelle et communautaire fait de rapprochement de Dieu et d'adhésion à l’Évangile. Le Carême permet aussi de percevoir les autres en fonction de leurs besoins...et de se convertir à l'amour du prochain, en faisant usage de la gratuité et de la miséricorde du Seigneur... En cela demandons tout particulièrement à Marie de nous aider, elle qui est la première croyante en Jésus-Christ. Puisse-t-elle nous accompagner en ces jours de prière intense et de pénitence, afin de célébrer le mystère de Pâques purifiés".

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 5.3.14).