Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Brive-la-Gaillarde, du 10 au 14 Juillet 2014 : Première Université d’été franciscaine

    La crise, les crises…

    Un nouveau monde en train de naître ?

     

    Oui, nous connaissons une période de mutations sans précédent qui affecte tous les domaines de notre vie.

    Oui, nous avons bien des raisons de nous inquiéter pour le présent comme pour l’avenir.

    Non, ce n’est pas la fin du monde même si c’est la fin d’un monde.

    Un nouveau monde est en train de naître. Comme croyants, avec lucidité et espérance, nous voulons ouvrir les yeux sur cette réalité nouvelle, y réfléchir ensemble, chercher de nouveaux modes de vie plus respectueux de l’équilibre environnemental et humain.

    C’est pourquoi nous vous proposons de nous rejoindre à la première Université d’été franciscaine, du 10 au 14 juillet 2014, à Brive-la-Gaillarde.

    Chaque matin, des invités nous aideront à mieux comprendre les mutations que nous connaissons. Ils témoigneront aussi des initiatives qu’ils prennent pour y répondre. Parmi les intervenants, citons Mgr Albert Rouet, archevêque émérite de Poitiers ; Frédérique Bedos, auteur de La petite fille à la balançoire ; Régis Laithier, formateur à Juralternance ; Pierre Giorgini, recteur de la Catho de Lille ou encore Emmanuel Marchant, directeur de Danone Communities.

    L’après-midi, la parole sera donnée aux acteurs de terrains, qui nous feront découvrir leurs initiatives, locales, associatives, en entreprise, dans les domaines social, économique, religieux... et entreront en dialogue avec nous.

    Une Université d’été franciscaine, ce sont aussi des temps de convivialité, la place faite au spectacle et à la fête, sans oublier la proposition d’un chemin spirituel par les frères franciscains de Brive. Nous pourrons partager leur prière matin et soir.

    Ce rendez-vous sera riche de la diversité de ses participants, chrétiens ou non, de toutes générations, aux expériences plurielles. Les familles y seront les bienvenues avec la mise en place d’animations spécifiques pour les enfants et les jeunes.

     

    Programme

    Jeudi 10 juillet

    20h30 : Ouverture de l’Université d’été franciscaine :

    Crise ou changement de monde : la transition fulgurante, avec  Pierre Giorgini, Président-Recteur de l’Université Catholique de Lille.

    Vendredi 11 juillet

    9h30 – 12h00 : La crise, de quoi parle-t-on ? Une crise ou des crises ? Une crise conjoncturelle ou un changement de paradigmes ? Des clés pour comprendre. Avec Loïc Pelletier, Marc Tirel et Anne-Sophie Novel.

    15h00 – 17h00 : 15 Ateliers pour découvrir, échanger avec des acteurs de terrain : initiatives locales, associatives, en entreprise, dans les domaines social, économique, religieux...

    17h00 – 18h00 : Grand témoin  Régis Laithier, formateur à l’association "Juralternance".

    20h30 : Chemin d’Assise, l’aventure intérieure. Film et rencontre avec Olivier Lemire.

    Samedi 12 juillet

    9h30 – 12h00 : A situation nouvelle, réponses nouvelles. Des clés pour agir. Avec Jean-Louis Gallaup, Emmanuel Marchant et Jérôme Vignon.

    15h00 – 16h30 :  Grand témoin : Frédérique Bedos, auteur de La petite fille à la balançoire.

    17h00 – 18h30 : Ateliers

    20h30 : Récital de Maxime Piolot. Accompagné de ses quatre musiciens, Maxime Piolot, dans des chansons pleines de profondeur et de poésie, nous emmène à la découverte de François d’Assise.

    Dimanche 13 juillet

    9h00 – 10h30 : Les mutations actuelles, un défi pour l’Eglise : réflexions et initiatives, par Mgr Albert Rouet, archevêque émérite de Poitiers.

    11h00 : Messe à la Collégiale saint Martin, présidée par l’évêque de Tulle

    15h00 – 17h00 : Ateliers

    17h00 – 18h00 : Grand témoin  Mgr Albert Rouet

    Lundi 14 juillet

    9h00 – 11h00 : Quelles actions demain pour contribuer à de nouveaux modes de vie ?

    11h00 – 12h00 : Envoi

     

    Equipe de coordination

    Elisabeth Martini, François Delmas-Goyon, Frère Nicolas Morin, Jean-François Chaumont et Bernard de Vaugiraud

    Qui est invité ?

    Cette rencontre s’adresse à toute personne désirant mieux appréhender, réfléchir et partager avec d’autres sur les mutations contemporaines et chercher des moyens concrets d’agir.

    Une place toute particulière sera faite aux familles qui logeront sur un même site. Des Scouts prendront en charge l’animation des enfants et des jeunes.

    Logement

    Le logement se fera sur trois sites, en chambres individuelles ou double, voire en chambrées pour les familles. Possibilité de dormir sous tente.

    Tous les repas se prendront aux Grottes de Saint Antoine.

    Combien ça coûte ?

    Le coût réel du rassemblement (pension complète, animation, intervenants, secrétariat) est de 260 €. Nous vous proposons de participer selon vos moyens dans une fourchette de 210 € à 310 €. Enfants et jeunes : 80 €. Gratuit pour les moins de trois ans.

    Si vous êtes logés par vos propres moyens mais prenez vos repas sur place : 190 €

    Si vous ne prenez ni repas, ni hébergement : 70 €

    Renseignements – Inscriptions

    Éditions Franciscaines - 9 rue Marie Rose - 75014 Paris - 01 45 40 73 51 - contact@editions-franciscaines.com

  • Paris, 5 avril 2014 : colloque "Evangelii gaudium"

    Invitation personnelle
    COLLOQUE EVANGELII GAUDIUM
    La pensée sociale du Pape François,
    rupture ou approfondissement ?


    Paris, 5 avril


    Un colloque de la Fondation de Service politique
    et de l'Association des économistes catholiques
    Paroisse catholique St-Pierre-du-Gros-Caillou, Paris VIIe
    SAMEDI 5 AVRIL, 14h-18h30
     

    La VIIe édition du colloque "Actualité de la doctrine sociale de l’Église" vous propose une lecture sociale de l'exhortation apostolique Evangelii gaudium.

    Le Pape François y présente la doctrine sociale de l’Église comme un vecteur décisif de la nouvelle évangélisation. Divers commentateurs ont vu dans son approche, très personnelle, une rupture avec l'enseignement de ses prédécesseurs. Il n'en est rien.

    Quand le Pape François dit de la crise économique mondiale que ses racines sont anthropologiques, il s'inscrit exactement dans la ligne ouverte en particulier par Jean Paul II, dont il fut l'homme de confiance en Amérique du Sud.

    Ce colloque a pour ambition d'examiner les défis posés aux catholiques d'aujourd'hui dans le champ propre de leur mission et de leur responsabilité dans le monde, avec le regard proposé par le Pape François.

    Avec les interventions de

    Père Antoine de Romanet, co-directeur du département de recherche Société, Liberté, Paix du Collège des Bernardins.

    Jean-Yves Naudet, président de l’Association des Économistes catholiques.

    Père Pierre Coulange, Studium Notre-Dame de Vie.

    Pierre de Lauzun, directeur général délégué de la Fédération bancaire française.

    Guido Hülsmann, professeur à l’Université d’Angers.

    François-Xavier Bellamy, professeur agrégé de philosophie, maire-adjoint de Versailles.

    François Billot de Löchner, président de la Fondation de Service politique.

    Les équipes de Liberté Politique et de l'Association des économistes catholiques seront heureuses de vous accueillir.

    Inscription sur réservation (mentionnez vos nom, adresse et nombre de personnes)
    Participation aux frais

    En savoir plus :
    Renseignements, programme, inscription

  • Claude Lejeune (v.1530-1600) : Emendemus in melius

    Ensemble Jacques Moderne - Dir. Jean-Pierre Ouvrard

    Emendemus in melius,
    Quae ignoranter peccavimus:
    Ne subito praeoccupati die mortis,
    Quaeramus spatium paenitentiae,
    Et invenire non possimus.
    Attende Domine et miserere,
    Quia peccavimus tibi.

    (Cf. Répons de l'imposition des cendres)

  • Méditation : le Carême

    « Dès les origines, donc, le Carême est vécu comme le temps de la préparation immédiate au Baptême, qu'il faut administrer solennellement au cours de la Veillée pascale. Tout le Carême était un chemin vers cette grande rencontre avec le Christ, cette immersion dans le Christ et ce renouveau de la vie. Nous sommes déjà baptisés, mais le Baptême n'est souvent pas très efficace dans notre vie quotidienne. C'est pourquoi, pour nous aussi, le Carême est un "catéchuménat" renouvelé, dans lequel nous allons à nouveau à la rencontre de notre Baptême pour le redécouvrir et le revivre en profondeur, pour devenir à nouveau réellement chrétiens. Le Carême est donc une occasion de "redevenir" chrétiens, à travers un processus constant de transformation intérieure, et de progrès dans la connaissance et dans l'amour du Christ. La conversion n'est jamais faite une fois pour toutes, mais c'est un processus, un chemin intérieur de toute notre vie. Cet itinéraire de conversion évangélique ne peut certes pas se limiter à une période particulière de l'année: c'est un chemin quotidien, qui doit embrasser tout le cours de l'existence, chaque jour de notre vie. Dans cette optique, pour chaque chrétien et pour toutes les communautés ecclésiales, le Carême est le temps spirituel favorable pour s'entraîner avec une plus grande ténacité à rechercher Dieu, en ouvrant son cœur au Christ...

    Cette conversion du cœur est tout d'abord un don gratuit de Dieu, qui nous a créés pour lui et qui nous a rachetés en Jésus Christ: notre véritable bonheur consiste à demeurer en Lui (cf. Jn 15, 3). C'est pour cette raison qu'il prévient lui-même, par sa grâce, notre désir et qu'il accompagne nos efforts de conversion. Que signifie, en réalité, se convertir ? Se convertir signifie chercher Dieu, aller avec Dieu, suivre docilement les enseignements de son Fils, de Jésus Christ... Se convertir signifie alors ne pas rechercher son propre succès personnel - qui est quelque chose qui passe - mais, en abandonnant toute certitude humaine, se placer avec simplicité et confiance à la suite du Seigneur pour que Jésus devienne pour chacun, comme aimait à le répéter la bienheureuse Teresa de Calcutta, "mon tout en tout". Celui qui se laisse conquérir par Lui ne craint pas de perdre sa propre vie, car sur la Croix Il nous a aimée et s'est donné lui-même pour nous. Et précisément en perdant notre vie par amour nous la retrouvons.

    [...]

    Chers frères et sœurs, que la période quadragésimale, que nous entreprenons aujourd'hui avec le rite austère et significatif de l'imposition des Cendres, soit pour tous une expérience renouvelée de l'amour miséricordieux du Christ, qui sur la Croix a versé son sang pour nous. Mettons-nous docilement à son école, pour apprendre à "redonner", à notre tour, son amour au prochain, en particulier à ceux qui souffrent et qui sont en difficulté. Telle est la mission de chaque disciple du Christ, mais pour l'accomplir il est nécessaire de rester à l'écoute de sa Parole et de se nourrir avec assiduité de son Corps et de son Sang. Que l'itinéraire quadragésimal, qui dans l’Église antique est l'itinéraire vers l'initiation chrétienne, vers le Baptême et l'Eucharistie, soit pour nous baptisés un temps "eucharistique" au cours duquel nous participons avec une plus grande ferveur au sacrifice de l'Eucharistie. Que la Vierge Marie qui, après avoir partagé la passion douloureuse de son divin Fils, a fait l'expérience de la joie de sa résurrection, nous accompagne au cours de ce Carême vers le mystère de la Pâque, révélation suprême de l'amour de Dieu.
    Bon Carême à tous ! »

    Benoît XVI, extrait de l'Audience générale du 21 février 2007.
    (Texte intégral)

    BXVI-cendres.jpg

  • Imposition des Cendres : 1ère Antienne et Répons

    Antiphona. Iœl. 2, 13.
    Immutémur hábitu, in cínere et cilício : ieiunémus, et plorémus ante Dóminum : quia multum miséricors est dimíttere peccáta nostra Deus noster.

    Changeons de vêtements, couvrons-nous de cendre et du cilice, jeûnons et pleurons devant le Seigneur ; car notre Dieu tout miséricordieux est prêt à nous remettre nos péchés.

    Imposition des Cendres,Antiphona,Antienne,Immutemur habitu,Répons,Responsorium,Emendemus in melius

    ... et Répons

     William Byrd - Emendemus in melius. Deller

    Responsorium. Esther 13 ; Iœl. 2.
    Emendémus in mélius, quæ ignoránter peccávimus : ne, subito præoccupáti die mortis, quærámus spátium pæniténtiæ, et inveníre non póssimus. Atténde, Dómine, et miserére : quia peccávimus tibi.

    Supprimons par nos progrès dans le bien les fautes dont nous nous sommes rendus coupables par ignorance, de crainte que surpris soudainement le jour de la mort, nous ne cherchions le temps de faire pénitence et ne puissions le trouver. Prêtez attention, Seigneur, et ayez pitié, parce que nous avons péché contre vous.

    V/. Ps. 78, 9.
    Adiuva nos, Deus, salutáris noster : et propter honórem nóminis tui, Dómine, líbera nos. Atténde, Dómine.

    Aidez-nous, ô Dieu, notre sauveur, et pour l’honneur de votre nom, délivrez-nous, Seigneur.
  • Messe des Cendres à 16h30 célébrée par le Pape François

    Procession pénitentielle de l'église Saint Anselme à la basilique Sainte Sabine
    et Messe célébrée par le Saint-Père

    Livret de la célébration

    Le Pape François, comme le veut la tradition, a célébré ce mercredi la Messe du mercredi des Cendres depuis la basilique Sainte-Sabine sur la colline de l'Aventin, à Rome. Juste auparavant, il avait présidé, entouré des cardinaux, des évêques, des moines bénédictins et des pères dominicains, la procession pénitentielle au chant des litanies depuis l’église bénédictine Saint-Anselme, située à quelques pas de Sainte Sabine.

    Dans son homélie, le Saint-Père a rappelé quel est le sens du Carême, en invitant à une ouverture des cœurs et non seulement de l’apparence. Pour François « la conversion ne se réduit pas à des formes extérieures, à de vagues propositions, mais doit transformer l’existence entière à partir du centre de la personne, de la conscience. »

    « Nous vivons dans un monde toujours plus artificiel, dans une culture du faire, de l’utile, dans laquelle nous excluons Dieu de notre horizon. Le Carême nous appelle à nous souvenir que nous sommes de simples créatures, que nous ne sommes pas Dieu - a souligné François qui a ajouté avec fermeté :
    Quand je vois quelques luttes de pouvoir dans mon petit environnement quotidien, je me dis que ces personnes jouent à vouloir être Dieu alors qu’elles ne le sont pas ! »

    Le Pape a ensuite détaillé les trois éléments qui bornent le chemin du Carême : la prière, le jeûne et l’aumône. « Dans la faiblesse et la fragilité de nos vies, nous pouvons nous tourner vers Dieu avec la confiance des enfants. Devant tant de blessures qui nous font mal, qui peuvent endurcir notre coeur, nous sommes appelés à nous jeter dans la mer de la prière. »

    Le Saint-Père a ainsi appelé les catholiques à dégager des temps de prière plus intenses, plus nombreux et plus assidus, capables de prendre en charge les besoins de nos frères. C’est seulement quand les difficultés et les souffrances des frères nous interpellent que nous pouvons alors initier notre chemin de conversion vers Pâques. C’est un itinéraire qui comprend la Croix et le renoncement.

    « Le jeûne comporte un style de vie sobre, une vie qui ne gâche pas, qui ne jette pas. Il est le signe de la confiance que nous remettons en Dieu et en sa Providence. » L'aumône est enfin le signe de la gratuité, cette gratuité qui devrait être l'une des caractéristiques des chrétiens. Le Saint-Père a ainsi déploré qu'aujourd'hui « la gratuité ne fait pas partie du quotidien, où tout se vend et tout s'achète, tout est calcul et mesure. L'aumône au contraire nous aide à vivre la gratuité du don. »

    « Pourquoi devons-nous revenir à Dieu ? a-t-il demandé. Parce que quelque chose ne va pas, dans nos vies, dans la société. Ceci s'appelle avoir besoin de se convertir, a t-il conclu , tout en gardant confiance qu'il est possible de réaliser quelque chose en nous-même, car Dieu est toujours fidèle. »

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral de l'homélie en italien sur le site internet du Vatican.

  • Audience générale de ce mercredi 05 mars 2014

    Le Pape François a consacré la catéchèse de l'Audience générale tenue Place St Pierre au Carême qui débute ce jour :
    Durant ces quarante jours de préparation au mémorial de la passion, mort et résurrection du Seigneur, "l’Église nous demande deux choses, prendre mieux conscience de son action rédemptrice et vivre plus intensément notre baptême. La conscience des merveilles que le Christ a accompli pour notre salut nous prépare à rendre grâce à Dieu... Vivre jusqu'au bout le baptême signifie ne pas céder à l'indifférence, ne pas s'habituer à la misère... Il y a effectivement un risque à accepter passivement certains comportements et à ne pas réagir face à certaines situations. Nous nous habituons à la violence comme si elle était naturelle, à ce que des personnes dorment en plein air...aux réfugiés à la recherche de liberté et de dignité, qui ne sont pas accueillis comme il faudrait. On s'habitue aussi à vivre dans une société qui prétend se passer de Dieu, dans laquelle les parents n'apprennent pas à prier à leurs enfants, ni même à faire le signe de croix. Vos enfants savent-ils se signer ? Savent-ils le Pater et l'Ave Maria ?... Le Carême est une occasion pour changer de route et réagir au mal qui ne cesse de nous défier, un temps de conversion et de rénovation personnelle et communautaire fait de rapprochement de Dieu et d'adhésion à l’Évangile. Le Carême permet aussi de percevoir les autres en fonction de leurs besoins...et de se convertir à l'amour du prochain, en faisant usage de la gratuité et de la miséricorde du Seigneur... En cela demandons tout particulièrement à Marie de nous aider, elle qui est la première croyante en Jésus-Christ. Puisse-t-elle nous accompagner en ces jours de prière intense et de pénitence, afin de célébrer le mystère de Pâques purifiés".

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 5.3.14).

  • Rappel du Message de Carême du Pape François

    "Il s'est fait pauvre pour nous enrichir par sa pauvreté" (cf. 2 Cor 8,9)

    A consulter en intégralité sur le site internet du Vatican
  • Mois de mars : mois de Saint Joseph

    « Saint Joseph m’a toujours exaucée au-delà de mes prières et de mes espérances. »
    Ste Thérèse d’Avila (1515-1582)
     
    « Nous recourons à vous dans notre tribulation, bienheureux Joseph, et, après avoir imploré le secours de votre très sainte Épouse, nous sollicitons aussi avec confiance votre patronage. Par l'affection qui vous a uni avec la Vierge Immaculée, Mère de Dieu ; par l'amour paternel dont vous avez entouré l'Enfant-Jésus, nous vous supplions de regarder avec bonté l'héritage que Jésus-Christ a conquis de son sang et de nous assister de votre puissance et de votre secours dans nos besoins.

    Protégez, ô très sage gardien de la divine Famille, la race élue de Jésus-Christ, préservez-nous, ô Père très aimant, de toute souillure, d'erreur et de corruption ; soyez-nous propice et assistez-nous du haut du Ciel, ô notre très puissant libérateur, dans ce combat que nous livrons à la puissance des ténèbres ; et de même que vous avez arraché autrefois l'Enfant Jésus au péril imminent de la mort, défendez aujourd'hui la sainte Église de Dieu contre les embûches de l'ennemi et gardez-la de toute adversité. Accordez à chacun d'entre nous votre perpétuelle protection afin que, à votre exemple et soutenus par votre secours, nous puissions vivre saintement, mourir pieusement et obtenir la béatitude éternelle dans le Ciel. Ainsi soit-il. »

    Pape Léon XIII
    Indulgence de 7 ans et de 7 quarantaines, après le chapelet ; et de 300 jours en d'autres circonstances.

    mars,mois de saint joseph,prière,joseph,st joseph,ste thérèse d'avila,Pape,Léon XIII

  • Mercredi 05 mars 2014

    Mercredi des Cendres

    (jeûne et abstinence)

    Calendrier liturgique

  • Prions et œuvrons pour l'unité !

    De tous côtés, et spécialement sur les blogs et réseaux sociaux, les "maîtres à penser", "petits chefs" et autres "guides spirituels" se multiplient, chacun tirant la couverture de la "véritable Église" à soi, et semant divisions et querelles de clochers autour d'eux comme l'on sèmerait - sous le prétexte fallacieux et ô combien triste et scandaleux d'une Vérité à défendre - le grain de la zizanie au sein d'une Église dont on se demande pourquoi ils s'en réclament encore...

    Profondément peiné par cet état de fait, je reproduis ci-dessous un article lu ce jour, qui montre que cette tendance à l'orgueil spirituel qui amène à penser que l'on a plus et meilleure raison que son voisin, et à chuter dans un individualisme en lequel la charité finit par mourir étouffée, ne date pas d'hier.

    Et je vous invite, en ce début de Carême, à prier aussi avec un redoublement de ferveur pour l'unité de l’Église, qui en a fort besoin.

    « Il y a le Paris catholique intellectuel, mais les chefs de ce mouvement sont divisés ; ils sont fractionnés en cercles, les cercles en coteries ; c’est le plus triste éparpillement de forces qu’il soit donné à l’homme de voir. Puis, au lieu de chercher à s’unir en face de l’ennemi, ces coteries dépensent leur temps à s’excommunier, leur poudre à se faire feu dessus. L’anarchie est complète, et nulle main, nulle raison assez forte pour rallier toutes ces puissances qui s’individualisent et s’affaiblissent. Il y a bien à la rigueur in necessariis unitas ; il y a trop in dubiis libertas ; il n’y a pas toujours in omnibus caritas. »

    Cardinal Gaspard Mermillod (1824-1892), le 9 mars 1852. (Source)

    eglise,uinité,divisions

  • Josquin des Prez (v.1450-1521) : In te Domine speravi (per trovar pietà)

    Hilliard Ensemble

    In te Domine speravi
    Per trovar pietà in eterno.
    Ma in un tristo e obscuro inferno
    Fui et frustra laboravi.

    Rotto e al vento ogni speranza
    Veggio il ciel voltarmi in pianto.
    Suspir lacrime m'avanza
    Del mio tristo sperar tanto.

    Fui ferito, se non quanto
    Tribulando ad te clamavi.
    In te Domine speravi.

  • Méditation : grâce de Dieu et perfection humaine

    « La perfection consommée "n'est au pouvoir ni de celui qui veut, ni de celui qui court, mais de Dieu qui fait miséricorde" (Rm 9,13). C'est lui qui nous rend victorieux des vices, sans que le mérite de nos travaux ou de notre course soit de pair avec un tel résultat ; lui qui nous donne de subjuguer notre chair et de gravir la cime escarpée de l'intégrité, alors que l'effort de notre volonté n'y peut justement prétendre. Nulle affliction corporelle, nulle contrition de cœur n'est digne de conquérir la chasteté de l'homme intérieur, ni ne saurait, par le seul labeur humain et sans le secours divin, obtenir cette si grande vertu de la pureté, naturelle aux anges seuls et habitants des cieux. L'accomplissement de tout bien dérive de la grâce de Dieu, qui, dans son infinie libéralité, accorde la pérennité de la béatitude et une immensité de gloire à l'effort chétif de notre volonté, à une course aussi brève et insignifiante que la nôtre.
    [...]
    Disant cela, je ne cherche pas à supprimer les efforts humains, ni à détourner quiconque d'être attentif à son travail et de se donner du mal, mais je déclare ceci : bien que la perfection ne puisse pas être atteinte sans ces moyens humains, pourtant personne ne peut par ces seuls moyens et sans la grâce de Dieu la réaliser dans sa plénitude. »

    St Jean Cassien (360-435), Institutions cénobitiques, L. XII, chap. 11-14 (extraits).

    marche-montagne-2a.jpg

    Photo Guillaume Pépy© (Source)

  • Mois de mars : mois de Saint Joseph

    « Saint Joseph m’a toujours exaucée au-delà de mes prières et de mes espérances. »
    Ste Thérèse d’Avila (1515-1582)

    « Je vous salue Joseph, vous que la grâce divine a comblé ; le Sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux ; vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus, l'Enfant divin de votre virginale Épouse, est béni.

    Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé et de travail, jusqu'à nos derniers jours, et daignez nous secourir à l'heure de notre mort. Amen. »

    Imprimatur : Fribourg (Suisse), le 15 mars 1957
    François Charrière, évêque

    mars,mois de saint joseph,prière,joseph,st joseph,ste thérèse d'avila,

  • Mardi 04 mars 2014

    St Casimir, confesseur

     Saint,Casimir,prince,confesseur,patron,Lituanie,Vilna,Lithuanie,Lucius Ier,Pape,martyr,Rome,voie Apienne,Adrien,compagnons,martyrs,Nicomédie,Saints,Basile,Eugène,Agathodore,Elpide,Ethère,Capiton,Ephrem,Nestor,Arcade,évêques,apôtres,Crimée,Cherson,Caïus,Archelaüs,Cyrille,Quirin,Photius,Roméo,pèlerin,confesseur,Lucques,Toscane,Sainte,Julienne,Paul,Codrat,Acace,Stratonique,Léonard,Léodowald,évêque,Avranches,Basin,Trèves,Rhénanie,Appien,ermite,Comacchio,Flaminie,Adrien,fondateur,monastère,île,May,Ecosse,Daniel de Moscou,Danilov,Félix de Rhuys,moine,abbaye,Rhuys,Morbihan,Pierre Ier,Policastro,Cluny,Cava,Campanie,Bienheureux,Humbert,Umberto,III,comte,avoie,Chambéry,Christophe Bales,prêtre,Alexandre Blake,Nicolas Horner,Londres,Anne de Jésus,religieuse,fondatrice,monastères,Bruxelles,Bienheureuse,Marie Louise Elisabeth de Lamoignon,Mère Saint-Louis,Morbihan,Placide,Eulalie Viel,vierge,supérieure,Saint-Sauveur,Saint-Sauveur-le-Vicomte,Normandie,Jean Antoine,Giovanni Antonio,Farina,Vicence,Vénétie,Miecislas Bohatkiewicz,Ladislas Mackowiak,Stanislas Pyrtek,Berezwecz,Pologne,Zoltan Ludvik,Lajos,Meszlenyi,Hongrie

    St Casimir, patron de la Lituanie

    Dévot à la sainte Vierge et inviolablement attaché à la chasteté, le prince Casimir domptait ses passions par une vie d'austères mortifications. Atteint de tuberculose pulmonaire, il mourut, à Grodno, le 4 mars 1484. Lorsqu'en 1604, on ouvrit son tombeau pour sa translation dans l'église que Sigismond III venait d'élever sous son vocable, on trouva son corps frais et entier qui, entre ses mains tenait cette hymne à la Sainte Vierge :

    « Chaque jour, ô mon âme, rends tes hommages à Marie,
    Solennise ses fêtes et célèbre ses vertus éclatantes ;
    Contemple et admire son élévation ;
    Proclame son bonheur et comme Mère et comme Vierge ;
    Honore-là afin qu'elle te délivre du poids de tes péchés ;
    Invoque-là afin de ne pas être entraîné par le torrent des passions ;
    Je le sais, personne ne peut honorer dignement Marie ;
    Il est insensé pourtant celui qui se tait sur ses louanges ;
    Tous les hommes doivent l'exalter et l'aimer spécialement,
    Et jamais nous ne devons cesser de la vénérer et de la prier ;
    O Marie, l'honneur et la gloire de toutes les femmes,
    Vous que Dieu a élevée au-dessus de toutes les créatures ;
    O Vierge miséricordieuse, exaucez les vœux de ceux qui ne cessent de vous louer ;
    Purifiez les coupables et rendez-les dignes de tous les biens célestes ;
    Salut, ô Vierge sainte, vous par qui les portes du ciel ont été ouvertes à des misérables,
    Vous que les ruses de l'ancien serpent n'ont jamais séduite ;
    Vous, la réparatrice, la consolatrice des âmes au désespoir,
    Préservez-nous des maux qui fondront sur les méchants ;
    Demandez pour moi que je jouisse d'une paix éternelle,
    Et que je n'aie pas le malheur d'être en proie aux flammes de l'étang de feu ;
    Demandez que je sois chaste et modeste, doux, bon, sobre, pieux, prudent, droit et ennemi du mensonge ;
    Obtenez-moi la mansuétude et l'amour de la concorde et de la pureté ;
    Rendez-moi ferme et constant dans la voie du bien. »

    Calendrier liturgique

  • Pape François : Discours aux évêques de la Conférence épiscopale espagnole

    Ce matin, le Pape François a reçu en audience les évêques de la Conférence épiscopale espagnole au terme de leur visite Ad Limina. Dans son discours, il a loué leur intention de "servir fidèlement le peuple de Dieu qui pérégrine en Espagne, où s'enracine très tôt la Parole de Dieu qui a donné des fruits de concorde, de culture et de sainteté", un fait que mettra en lumière de façon particulière la célébration du cinquième centenaire de la naissance de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, première femme Docteur de l’Église. "Alors que vous vivez la dure expérience de l'indifférence de nombreux baptisés et que vous faites face à une culture mondaine qui relègue Dieu à la vie privée et l'exclut du milieu public, il ne faut pas oublier votre histoire... Ayons toujours confiance en Lui et de tout ce qu'il sème dans les cœurs de ceux qui sont confiés à nos soins pastoraux", écrit le Saint-Père.

    "Je confie aux évêques - poursuit-il - la tâche de faire germer ces semences par l'annonce courageuse et vraie de l’Évangile, de veiller avec soin sur sa croissance par l'exemple, l'éducation et la proximité, de les harmoniser dans l'ensemble de la vigne du Seigneur de laquelle personne ne peut être exclu... C'est pourquoi, chers frères, ne ménagez pas vos efforts pour ouvrir de nouveaux chemins à l’Évangile qui atteignent tous les cœurs afin qu'ils découvrent leur désir profond : le Christ comme ami et frère. Il ne sera pas difficile de trouver ces chemins, si nous suivons les traces du Seigneur qui n'est pas venu pour se faire servir mais pour servir, qui sachent respecter avec humilité les temps de Dieu et, avec patience, le processus de maturité de chaque personne, sans avoir peur de faire le premier pas pour aller à leur rencontre. Il nous enseigne à écouter tout le monde cœur à cœur, avec tendresse et miséricorde, et à chercher ce qui unit vraiment et sert à une construction mutuelle".

    Dans cette recherche, "il est important que l'évêque ne se sente pas seul, ou pense être seul, qu'il soit conscient que le troupeau qui lui a été confié a aussi du flair pour les choses de Dieu... De même, l'époque actuelle, où les intermédiaires de la foi se font chaque fois plus rares et où les difficultés ne manquent pas pour sa transmission, exige de mettre vos Églises dans un véritable état de mission permanent pour appeler ceux qui se sont éloignés et fortifier leur foi, spécialement chez les enfants... La foi n'est pas un simple héritage culturel, mais un cadeau, un don qui naît de la rencontre personnelle avec Jésus et de l'acceptation libre et joyeuse de la nouvelle vie qu'il nous offre... Réveiller et raviver une foi sincère, favorise la préparation au mariage et l'accompagnement des familles, dont la vocation est d'être le lieu natif de la coexistence dans l'amour, cellule originelle de la société, transmetteur de vie et église domestique où se forge et se vit la foi. Une famille évangélisatrice est un agent d'évangélisation de grande valeur".

    Le Pape François a aussi rappelé la publication, l'an passé, du document Vocations sacerdotales pour le XXIe siècle, comme signe d'intérêt des Églises particulières dans la pastorale des vocations. "C'est un aspect - a-t-il ajouté - que tout évêque doit mettre dans son cœur comme priorité absolue, le portant dans la prière, insistant sur la sélection des candidats et préparant des équipes de bons formateurs et de professeurs compétents. L'amour et le service des pauvres - a-t-il souligné - est le signe du Royaume de Dieu que Jésus est venu apporter. Je sais bien que, ces dernières années, votre Caritas, ainsi que d'autres œuvres charitables de l’Église, ont mérité une grande reconnaissance des croyants et non croyants. Je me réjouis beaucoup et demande au Seigneur que cela soit un motif de rapprochement à la source de la charité, au Christ qui est venu faire le bien et soigner tous les opprimés, et aussi à votre Église qui est mère et ne peut jamais oublier ses enfants les plus nécessiteux". Le Pape a conclu en encourageant les évêques "à faire face au renouveau spirituel et missionnaire de ses Églises particulières, "comme des frères et pasteurs" de leurs fidèles, et "aussi de ceux qui ne le sont pas ou l'ont oublié. C'est pourquoi...une collaboration franche et fraternelle au sein de la Conférence épiscopale sera d'une grande aide, ainsi que le soutien réciproque et plein d'attentions dans la recherche des formes d'action les plus appropriées".

    Source : Vatican information Service (Publié VIS Archive 01 - 3.3.14)

  • Dietrich Buxtehude (1637-1707) : "Jubilate Domino" (BuxWV 64)

    Concerto di Viole, Basel Consort
    Andreas Scholl, contreténor

    Jubilate Domino omnis terra
    cantate et exultate et
    exultate et psallite
    Psallite Domino chitara et voca psalmi
    Psallite Domino in chitara
    in buccinis et voce tubae
    jubilate in conspectu regis Domini.

  • Méditation : de la patience en la sanctification

    « Nous devons non seulement vérifier que les choses que nous voulons soient bonnes en elles-mêmes, mais aussi que notre manière de les vouloir, la disposition du cœur dans laquelle nous la désirons soient bonnes. C'est-à-dire que notre vouloir doit toujours rester doux, paisible, patient, détaché, abandonné à Dieu. Et ne doit pas être un vouloir impatient, trop empressé, inquiet, irrité, etc. Dans la vie spirituelle, c'est souvent là que notre attitude est défectueuse : nous ne sommes plus certes de ceux qui voulaient des choses mauvaises, contraires à Dieu ; nous voulons désormais des choses qui sont bonnes, en conformité avec la volonté de Dieu. Mais nous les voulons d'une manière qui n'est pas encore la "manière de Dieu", c'est-à-dire celle de l'Esprit-Saint, esprit qui est doux, paisible, patient, mais à la manière humaine, tendue, empressée, découragée si elle n'arrive pas tout de suite à ce vers quoi elle tend.
    Tous les saints insistent pour nous dire que nous devons modérer nos désirs, même les meilleurs. Car si nous désirons à la manière humaine que nous avons décrite, cela trouble l'âme, l'inquiète, lui enlève sa paix et donc gêne les opérations de Dieu en elle et dans le prochain.
    Cela s'applique à tout, même à notre propre sanctification. Combien de fois nous perdons la paix parce que nous trouvons que notre sanctification ne progresse pas assez vite, que nous avons encore trop de défauts. Mais cela ne fait que retarder les choses ! Saint François de Sales va jusqu'à dire que "rien ne retarde tant le progrès dans une vertu que de vouloir l'acquérir avec trop d'empressement !"
    [...]
    Un désir qui fait perdre la paix, même si la chose désirée est excellente en soi, n'est pas de Dieu. Il faut vouloir et désirer, mais de manière libre et détachée, en abandonnant à Dieu la réalisation de ces désirs comme il le voudra et quand il le voudra. Éduquer son propre cœur dans ce sens est d'une très grande importance pour le progrès spirituel. C'est Dieu qui fait grandir (cf. 1Co 3,7), qui convertit, et non pas notre agitation, notre précipitation et notre inquiétude. »

    P. Jacques Philippe, Recherche la Paix et poursuis-la (2ème partie, 11), Éditions des Béatitudes, 1991.

    rose_bud_a.jpg

  • Mois de mars : mois de Saint Joseph

    « Saint Joseph m’a toujours exaucée au-delà de mes prières et de mes espérances. »
    Ste Thérèse d’Avila (1515-1582)
     
     
    « Grand Saint Joseph,
    élu de Dieu dans le décret de l'Incarnation,
    choisi pour partager la vie de la Vierge Immaculée,
    élevé à la dignité de père légal de Jésus,
    vous fûtes le voile discret où s'abrita
           le mystère de la Vierge Mère !
    vous fûtes l'ombre sainte où se cacha
           la majesté du Dieu fait chair !

    Ô vous que Marie aimait comme un époux,
    ô vous que Jésus aimait comme un père,
    introduisez-nous dans le divin sanctuaire
           de leur intimité !

    Couvrez-nous de votre voile
           d'humilité et de pureté ;
    obtenez-nous cette entière oblation de nous-mêmes,
    fruit d'une immolation généreuse et ignorée !

    Faites-nous pénétrer dans l'ombre sainte
           de votre effacement ;
    obtenez-nous cet impérieux attrait du silence,
    fruit de l'adoration et du véritable amour !

    Ô grand Saint ! image du Père des Cieux,
    à qui Jésus et Marie étaient soumis,
           nous nous soumettons tout à vous,
           guidez notre vie intérieure,
           conduisez-nous à Jésus et à Marie !
           donnez-nous Jésus et Marie ! »

    Abbaye de Sept-Fons
    100 j. d'indulg. Molini 24 feb. 1950 + Georgius Ep. Mol.

    mars,mois de saint joseph,prière,joseph,st joseph,ste thérèse d'avila,

  • Lundi 03 mars 2014

    Calendrier liturgique