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solennité - Page 3

  • Angélus, en la Solennité de l'Immaculée Conception de la Bienheureuse Vierge Marie

    « Tout est don gratuit de Dieu et de son amour pour nous »

    En ce lundi 8 décembre, solennité de l’Immaculée Conception de la Vierge Marie, le Pape François a tenu à souligner que le message de cette fête « peut se résumer facilement : tout est grâce, tout est don gratuit de Dieu et de son amour pour nous. »

    « L’attitude de Marie de Nazareth nous montre que l’être passe avant le faire, qu’il faut laisser Dieu agir pour être vraiment comment Il veut. Marie est réceptive, mais pas passive. Comme, au niveau physique, elle reçoit la puissance de l’Esprit Saint, mais ensuite donne chair et sang au Fils de Dieu qui se forme en Elle, ainsi, sur le plan spirituel, elle accueille la grâce et lui correspond avec la foi. Ce mystère de l’accueil de la grâce, qui en Marie, par un privilège unique, était sans l’obstacle du péché, est une possibilité pour nous tous. Comme Marie, nous aussi avons été bénis, c'est-à-dire aimés, et pour cela, choisis avant la création du monde pour être saints et immaculés. Marie a été préservée, alors que nous avons été sauvés grâce au Baptême et à la foi. Tous cependant, elle autant que nous, par l’intermédiaire du Christ. »

    « Face à l’amour, à la miséricorde, à la grâce divine réservée à nos cœurs, la conséquence qui s’impose est une seule : la gratuité. Comme nous avons reçu gratuitement, ainsi gratuitement nous sommes appelés à donner. Comme Marie qui à peine entendue l’annonce de l’Ange, va aussi vite partager le don de la fécondité avec sa cousine Élisabeth. Parce que, si tout nous a été donné, tout doit être redonné. De quelle manière ? En permettant que l’Esprit Saint fasse de nous un don pour les autres ; qu’il nous fasse devenir des instruments d’accueil, de réconciliation et de pardon. Si notre existence se laisse transformer par la grâce du Seigneur, nous ne pourrons retenir pour nous la lumière qui vient de son visage, mais nous la laisserons transparaître pour qu’elle illumine les autres. Apprenons de Marie, qui a constamment conservé son regard fixé sur le Fils et son visage est devenu « le visage qui ressemble le plus au Christ » (Dante, Paradis, XXXII, 87). »

    Source : Radio Vatican.

    Cérémonie Place d'Espagne

    « Cet après-midi je vais aller à Sainte Marie Majeure pour saluer la Salus Populi Romani, puis à la Place d'Espagne pour renouveler le traditionnel acte d'hommage et de prière au pied du monument à l'Immaculée. Ce sera toute une après-midi consacrée à la Vierge. Je vous demande de vous unir spirituellement à moi dans ce pèlerinage, qui exprime la dévotion filiale à notre Mère céleste. Et n'oubliez pas : la grâce est gratuite. Nous avons reçu cette grâce gratuitement, cette grâce de Dieu, et nous devons la redonner ; nous avons reçu le don et nous devons le redonner aux autres. Ne l'oubliez pas ! »

    Texte intégral en français sur Zenit.org

    Texte intégral en italien sur le site internet du Vatican.

  • Dimanche 05 octobre 2014

    27e Dimanche du Temps Ordinaire

    (Calendrier traditionnel : 17ème Dimanche après la Pentecôte)

    Calendrier liturgique

  • Messe célébrée par le Pape François en la solennité de l'Assomption en Corée

    A son arrivée à Séoul, le Pape François n’avait pu mesurer l’enthousiasme et la joie des Coréens, heureux de l’accueillir. C’est chose faite depuis qu’il est arrivé à Daejon pour y célébrer la Messe de l’Assomption dans le stade de football de la ville. L’ambiance à l’arrivée du Pape a été digne de celle d’un stade tant le bonheur des fidèles garnissant les tribunes et la pelouse était démonstratif. Chauffés pendant trois quarts d’heure par la chanteuse pop In Sooni et la chanteuse d’opéra Jo Su-Mi, toutes deux très populaires en Corée, les cinquante mille personnes présentes ont crié « Viva il Papa », agitant des mouchoirs aux couleurs du Vatican, portant tous une visière blanche sur le front, pendant de longues minutes tandis que le Pape faisait le tour de la pelouse. Le calme et le recueillement sont vite revenus en attendant le retour du Pape de la sacristie.

    En ce 15 août le Pape a célébré la première Messe publique de son voyage apostolique. Dans son homélie, il a appelé les « chrétiens de cette nation » à « être une force généreuse de renouveau spirituel en chaque milieu de la société »

    Jeudi, en rencontrant les évêques coréens, le Pape avait déjà mis en garde contre le risque de se perdre dans une société sécularisée et matérialiste. L’avertissement lancé à l’épiscopat, François l’a renouvelé aux fidèles, les invitant à combattre « l’attrait du matérialisme qui étouffe les authentiques valeurs spirituelles et culturelles, ainsi que l’esprit de compétition débridée qui génère égoïsme et conflits. » Revenant sur un thème qui lui est cher et qui est universel, le Pape a également souhaité que les Coréens « rejettent les modèles économiques inhumains qui créent de nouvelles formes de pauvreté et marginalisent les travailleurs, ainsi que la culture de la mort qui dévalue l’image de Dieu, le Dieu de la vie, et viole la dignité de chaque homme, femme et enfant. »

    La solitude des sociétés modernes

    Dans un pays champion de la mondialisation, dont les produits sont connus de la plupart de tous en Occident comme en Orient, le Pape n’a pas hésité à pointer du doigt un système capitaliste coupable d’excès. Il n’a pas non plus hésité à défendre la valeur de la vie. Mais cette dénonciation, pour ne pas rester lettre morte, « demande pour chacun la nécessité d’une conversion renouvelée à la Parole de Dieu et une vive sollicitude pour les pauvres, ceux qui sont dans le besoin et les personnes vulnérables au milieu de nous ».

    C’est là tout le sens de la liberté que Dieu nous a donnée, « la vraie liberté qui se trouve dans notre accueil amoureux de la volonté du Père. De Marie, pleine de grâce, nous apprenons que la liberté chrétienne est quelque chose de plus que la simple libération du péché. C’est la liberté qui ouvre à une nouvelle façon spirituelle de considérer les réalités terrestres, la liberté d’aimer Dieu ainsi que nos frères et sœurs d’un cœur pur, et de vivre dans la joyeuse espérance de la venue du Règne du Christ. »

    L’espérance, elle est indispensable dans nos sociétés développées. « Elle est l’antidote à l’esprit de désespoir qui semble croître, tel un cancer dans la société qui extérieurement est nantie mais qui souvent fait l’expérience de la tristesse intérieure et du vide. » Et le Pape François de penser tout particulièrement aux jeunes, surtout dans un pays où la pression sociale sur les enfants et les adolescents est forte. « A combien de nos jeunes ce désespoir a fait payer son tribut ! puissent-ils n’être jamais privés de leur espérance ».

    Angélus - La tragédie du Sewol

    Environ une trentaine de membres des familles des victimes du naufrage du Sewol, ce ferry qui sombra au large de l’île de Jindo le 16 avril dernier, ont assisté à la Messe. Une dizaine d’entre eux ont rencontré le Pape avant la Messe. François a pu leur exprimer sa proximité et leur apporter sa consolation. L'un d'eux a demandé à être baptisé par le Pape qui a accepté et qui le fera samedi matin à la nonciature. Le Pape est revenu sur ce qui constitue un vrai drame national dans son message lu en anglais lors de l’Angélus, à l’issue de la Messe. « Nous lui confions spécialement tous ceux qui ont perdu la vie dans le naufrage du ferry Se-Wol, ainsi que ceux qui continuent d’être affectés par ce grand désastre national. Que ce tragique événement qui a rassemblé tous les Coréens dans le chagrin, confirme leur engagement à œuvrer ensemble dans la solidarité pour le bien commun. » Le Pape a également une parole pour « ceux d’entre nous qui souffrent, en particulier les malades, les pauvres et ceux qui sont privés d’un travail digne, » confirmant sa préoccupation pour les périphéries de nos sociétés.

    Les dernières paroles du Pape dans cet Angélus furent pour la Corée qui célèbre en ce 15 août sa libération des Japonais. « Nous demandons à Notre-Dame de veiller sur cette noble nation et sur ses citoyens. Et nous recommandons à sa protection tous les jeunes qui nous ont rejoints venant de toute l’Asie.  Puissent-ils être de joyeux hérauts de l’aube d’un monde de paix, selon le plan bienveillant de Dieu ! ». Des jeunes que le Pape doit rencontrer dans l’après-midi à Solmoe, un des sanctuaires des martyrs qui ont marqué l’histoire du catholicisme en Corée du Sud.


    Homélie du Pape, texte intégral :

    « Chers frères et sœurs dans le Christ,

    En union avec toute l’Église, nous célébrons l’Assomption de la Vierge Marie, corps et âme, dans la gloire du ciel. L’Assomption de Marie nous montre notre propre destinée comme enfants adoptifs de Dieu et membres du Corps du Christ. Comme Marie notre mère, nous sommes appelés à participer pleinement à la victoire du Seigneur sur le péché et sur la mort, et à régner avec lui dans son Royaume éternel.

    Le "grand signe" présenté dans la première lecture – une femme vêtue de soleil et couronnée d’étoiles (cf. Ap 12, 1) – nous invite à contempler Marie intronisée dans la gloire à côté de son divin Fils. Il nous invite aussi à prendre conscience de l’avenir que, encore aujourd’hui, le Seigneur ressuscité ouvre devant nous. Traditionnellement, les Coréens célèbrent cette fête à la lumière de leur expérience historique, reconnaissant l’affectueuse intercession de Marie à l’œuvre dans l’histoire de la nation et dans la vie de son peuple.

    Dans la seconde lecture de ce jour, nous avons entendu saint Paul nous dire que le Christ est le nouvel Adam, dont l’obéissance à la volonté du Père l’a emporté sur le règne du péché et de l’esclavage, et a inauguré le règne de la vie et de la liberté (cf. 1 Co 15, 24-25). La vraie liberté se trouve dans notre accueil amoureux de la volonté du Père. De Marie, pleine de grâce, nous apprenons que la liberté chrétienne est quelque chose de plus que la simple libération du péché. C’est la liberté qui ouvre à une nouvelle façon spirituelle de considérer les réalités terrestres, la liberté d’aimer Dieu ainsi que nos frères et sœurs d’un cœur pur, et de vivre dans la joyeuse espérance de la venue du Règne du Christ.

    Aujourd’hui, en vénérant Marie, Reine du Ciel, nous nous tournons aussi vers elle en tant que Mère de l’Église en Corée. Nous lui demandons de nous aider à être fidèles à la liberté royale reçue le jour de notre baptême, de guider nos efforts pour transformer le monde selon le plan Dieu, et de rendre l’Église capable en ce pays d’être toujours plus pleinement un levain de son Royaume au sein de la société coréenne. Puissent les chrétiens de cette nation être une force généreuse de renouveau spirituel en chaque milieu de la société. Qu’ils combattent l’attrait du matérialisme qui étouffe les authentiques valeurs spirituelles et culturelles, ainsi que l’esprit de compétition débridée qui génère égoïsme et conflits. Qu’ils rejettent également les modèles économiques inhumains qui créent de nouvelles formes de pauvreté et marginalisent les travailleurs, ainsi que la culture de la mort qui dévalue l’image de Dieu, le Dieu de la vie, et viole la dignité de chaque homme, femme et enfant.

    En tant que catholiques coréens, héritiers d’une noble tradition, vous êtes appelés à valoriser cet héritage et à le transmettre aux générations futures. Cela demande pour chacun la nécessité d’une conversion renouvelée à la Parole de Dieu et une vive sollicitude pour les pauvres, ceux qui sont dans le besoin et les personnes vulnérables au milieu de nous.

    En célébrant cette fête, nous nous unissons à toute l’Église répandue à travers le monde, et nous contemplons Marie comme Mère de notre espérance. Son chant de louange nous rappelle que Dieu n’oublie jamais ses promesses de miséricorde (cf. Lc 1, 54-55). Marie est celle qui est pleine de grâce parce qu’ "elle a cru en l’accomplissement de tout ce qui lui a été dit de la part du Seigneur" (Lc 1, 45). En elle, toutes les promesses de Dieu se sont révélées véridiques. Intronisée dans la gloire, elle nous montre que notre espérance est réelle ; dès à présent, cette espérance se présente comme "une ancre sûre et solide pour l’âme" (He 6, 19), là où le Christ est assis dans la gloire.

    Cette espérance, chers frères et sœurs, l’espérance offerte par l’Évangile, est l’antidote à l’esprit de désespoir qui semble croître, tel un cancer dans la société qui extérieurement est nantie mais qui souvent fait l’expérience de la tristesse intérieure et du vide. À combien de nos jeunes ce désespoir a fait payer son tribut ! Puissent-ils, ces jeunes qui nous entourent ces jours-ci avec leur joie et leur confiance, n’être jamais privés de leur espérance !

    Tournons-nous vers Marie, Mère de Dieu, et implorons la grâce d’être joyeux dans la liberté des enfants de Dieu, d’utiliser cette liberté avec sagesse au service de nos frères et sœurs, de vivre et d’œuvrer de façon à être des signes d’espérance, cette espérance qui trouvera son accomplissement dans le Royaume éternel, là où régner, c’est servir. Amen. »

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral en italien sur le site internet du Vatican.

  • Premières Vêpres de la Solennité du Sacré-Coeur de Jésus

    A la basilique du Sacré-Coeur de Montmartre ce soir :

    Jeudi 26 juin :
    • 18h : Premières Vêpres de la Solennité du Sacré-Coeur de Jésus
    • 18h30 et 22h : Messes anticipées du Sacré-Coeur
    Vendredi 27 juin :
      • 8h : Laudes du Sacré-Coeur
      • 11h15 : Messe du Sacré-Coeur
    • 15h : Messe solennelle du Sacré-Coeur
    • Procession eucharistique
    • Chapelet de la divine Miséricorde en présence des reliques de Saint Jean-Paul II
    • 18h : Vêpres du Sacré-Coeur
    • 18h30 : Buffet (ou Messe du Sacré-Coeur)
    • 20h : Visite virtuelle panoramique de la Basilique (Salle Saint Irénée)
    • 21h : Veillée de prière au Sacré-Coeur

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  • Dimanche 22 juin 2014

    Solennité du Saint-Sacrement - Corpus Domini - Fête Dieu

    Introït de la Messe pour la Fête Dieu

    Ant. ad Introitum. Ps. 80, 17.
    Cibávit eos ex ádipe fruménti, allelúia : et de petra, melle saturávit eos, allelúia, allelúia, allelúia.
    Il les a nourris de la fleur du froment, et il les a rassasiés du miel sorti du rocher, alléluia, alléluia, alléluia.

    Ps. ib., 2.
    Exsultáte Deo, adiutóri nostro : iubiláte Deo Iacob.
    Exultez en Dieu notre protecteur : jubilez en l’honneur du Dieu de Jacob.

    Calendrier liturgique

  • Célébration de la Solennité des Très Saints Corps et Sang du Christ à Rome

    Célébration de la Solennité des Très Saints Corps et Sang du Christ à Rome
    Solennità del Santissimo Corpo e Sangue di Cristo
     
    La fête du « Corpus Domini », du « Saint-Sacrement » ou « Fête-Dieu » est maintenue au Vatican à sa place originelle, le jeudi après l'octave de la Pentecôte, tandis que dans de nombreux diocèses italiens, elle est reportée au dimanche suivant pour des raisons pastorales.

    A Rome, c'est à la fin du XVe siècle, sous Nicolas V, que l'on commença à célébrer la fête par une procession de Saint-Jean à Sainte-Marie. Mais l'actuelle via Merulana ne fut praticable qu'à partir de 1575, date de la fin des travaux voulus par Grégoire XIII.

    La tradition s'est ensuite maintenue pendant trois siècles. En 1870, année de la prise de Rome, l'usage est tombé dans l'oubli jusqu'à ce qu'il soit repris par Jean-Paul II en 1979.

    Livret de la célébration

    À 19h, le Pape François a célébré la messe à la Basilique Saint Jean de Latran.
    À la fin de la célébration eucharistique a commencé la procession le long de la Via Merulana, jusqu'à la Basilique Sainte-Marie-Majeure, où le Saint-Père a donné la bénédiction solennelle avec le Saint-Sacrement.

    À l'homélie de la célébration, le Saint-Père a rappelé que l'homme connaît aussi la faim spirituelle, d'amour et d'éternité, de la manne que Dieu accorda à Israël dans le désert, et qui préfigure l'Eucharistie. Puis le Pape a évoqué l'histoire du peuple choisi par Dieu pour sortir de l'esclavage égyptien et gagner la terre promise. L’Écriture fait mémoire de son séjour au désert, de cette période de faim et de découragement. L'invitation de Moïse est d'aller à l'essentiel, vers la dépendance totale de Dieu, lorsque la survie était laissée à la manne... Avec la faim physique, l'homme porte en lui l'autre faim... Jésus nous nous apporte la nourriture attendue, Lui-même sous les espèces eucharistiques, qui apporte la vie au monde... Le pain et le vin ne sont pas un simple aliment qui rassasie comme la manne. Le corps du Christ est le pain des derniers temps qui est en mesure d'offrir la vie éternelle. Sa substance est l'amour et l'Eucharistie communique l'amour du Seigneur pour nous, si grand qu'Il nous nourrit de Lui-même. Gratuit, cet amour est toujours à la disposition de la personne affamée qui a besoin de reprendre force. Vivre la foi signifie se laisser nourrir par le Seigneur et bâtir notre existence sur un bien qui ne périt pas, sur les dons de Dieu, sa parole et son corps. Autour de nous, il y a tant d'offres alimentaires qui ne viennent pas du Seigneur et qui, en apparence, sont plus satisfaisantes. Certains se nourrissent d'argent, de vanité, de pouvoir ou d'orgueil... La nourriture que nous assure le Seigneur est totalement différente. Elle peut nous sembler moins appétissantes que celles offertes par le monde". Alors retournons avec les hébreux au désert et refusons la nourriture de l'esclavage. N'ayons pas la mémoire sélective qui était la leur chaque fois qu'ils tombaient en tentation, n'ayons pas une mémoire malade. Dieu a dit : "Je t'ai nourri de la manne que tu ne connaissais pas ! Alors retrouvons notre bonne mémoire et apprenons à distinguer le pain faux, qui induit en erreur et corrompt, car fruit de l'égoïsme, de la suffisance et du péché... Notre manne est l'hostie. Adressons nous donc à Jésus avec confiance pour qu'il nous protège de la tentation des nourritures mondaines qui rendent esclaves. Qu'il purifie notre mémoire afin que nous ne restions pas les prisonniers de l'égoïsme sélectif et mondain".

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 20.6.14)

    Texte intégral italien : site internet du Vatican.
    Traduction française : "Dieu ou le monde, choisir la bonne table pour être rassasié" - Agence Zenit.org

  • Dimanche 11 mai 2014

    4ème Dimanche de Pâques

    (Calendrier traditionnel : 3ème Dimanche après Pâques
    En France : Solennité de Ste Jeanne d’Arc, Mémoire du Dimanche)

    Calendrier liturgique

  • Solennité de Notre Dame d'Afrique

    (pour les célébrations à Paris, voir l'annonce d'hier)

    « Ô Mère de Miséricorde,
    Nous te saluons, Mère du Rédempteur ;
    Nous te saluons, Vierge glorieuse ;
    Nous te saluons, notre Reine !

    Ô Reine de l’espérance,
    Montre-nous le visage de ton divin Fils ;
    Guide-nous sur les chemins de la sainteté ;
    Donne-nous la joie de ceux qui savent dire Oui à Dieu !

    Ô Reine de la paix,
    Comble les plus nobles aspirations des jeunes d’Afrique ;
    Comble les cœurs assoiffés de justice, de paix et de réconciliation ;
    Comble les espoirs des enfants victimes de la faim et de la guerre !

    Ô Reine de la justice,
    Obtiens-nous l’amour filial et fraternel ;
    Obtiens-nous d’être amis des pauvres et des petits ;
    Obtiens pour les peuples de la terre l’esprit de fraternité !

    Ô Notre Dame d’Afrique,
    Obtiens de ton divin Fils la guérison pour les malades, la consolation pour les affligés, le pardon pour les pécheurs ;
    Intercède pour l’Afrique auprès de ton divin Fils ;
    et obtiens pour toute l’humanité le salut et la paix ! Amen. »

    Benoît XVI, prière finale du Discours à Cotonou, le 18 novembre 2011.

  • Demain, Solennité de Notre-Dame d'Afrique

    Célébration à Paris

    - Journée de Grâces -

    Les Amis d’Afrique de la paroisse St Laurent (Paris 10ème) vous convient à la solennité de Notre Dame d'Afrique prévue par l’Église, le 30 Avril.

    Programme :

    18H45 : Accueil - Adoration - Chapelet
    19H30 (jusqu'à 20H20) : Louange avec les jeunes du Groupe de prière de St Laurent
    20H30 : Messe

    L'événement aura lieu à l'église St Laurent, 68 Boulevard Magenta, Paris 10e (Métro Gare de l'Est).
  • Vêpres - Fête de la conversion de Saint Paul

    Vêpres présidées par le Saint-Père en la solennité de la conversion de Saint Paul

    Cet office est aussi l'occasion de clôturer la semaine de prière pour l'unité des chrétiens qui s'est ouverte le 18 janvier.

    Livret de la célébration

    « "Le Christ est-il divisé ?" (1 Cor 1,13) Le vigoureux rappel que Saint Paul place au début de sa première lettre aux Corinthiens, qui a résonné dans la liturgie de ce soir, a été choisi par un groupe de frères chrétiens du Canada comme piste pour notre méditation durant la Semaine de Prière de cette année.

    L'apôtre a appris avec une grande tristesse que les chrétiens de Corinthe sont divisés en plusieurs factions. L'un qui affirme : "J'appartiens à Paul", et un autre dit : "Moi, j'appartiens à Apollos", et un autre, "Moi, j'appartiens à Céphas", et enfin il y a aussi ceux qui disent : "Et moi au Christ" (cf. v.12). Même ceux qui entendent se référer au Christ ne peuvent être loués par Paul, parce qu'ils utilisent le nom de l'unique Sauveur pour prendre leur distance avec d'autres frères à l'intérieur de la communauté. Autrement dit, l'expérience particulière de chacun, la référence à quelques personnes significatives de la communauté, deviennent le critère du jugement de la foi des autres.

    Dans cette situation de division, Paul exhorte les chrétiens de Corinthe, "par le nom de notre Seigneur Jésus-Christ," à être tous unanimes dans la façon de parler, pour qu'entre eux, il n'y ait pas de divisions, mais une parfaite union de la pensée et du sentiment (cf. v.10). La communion que l'Apôtre invoque, cependant, ne peut pas être le fruit de stratégies humaines. L'union parfaite entre les frères, en effet, n'est possible qu'en référence à la pensée et au sentiment du Christ (cf. Ph 2,5). Ce soir, alors que nous sommes réunis ici en prière, nous nous rendons compte que le Christ, qui ne peut être divisé, veut nous attirer à lui, vers les sentiments de son Cœur, vers son abandon total et confiant entre les mains du Père, vers son dépouillement radical par amour de l'humanité. Lui seul peut être le principe, la cause, le moteur de notre unité.

    Alors que nous sommes en sa Présence, devenons encore plus conscients que nous ne pouvons pas considérer les divisions dans l'Église comme un phénomène en quelque sorte naturel, inévitable dans toute forme de vie associative. Nos divisions blessent son Corps, blessent le témoignage que nous sommes appelés à lui rendre dans le monde. Le Décret de Vatican II sur l'œcuménisme, rappelant le texte de saint Paul que nous avons médité, affirme de façon significative : "Une Église une et unique a été fondée par le Christ Seigneur, et pourtant plusieurs communions chrétiennes se présentent aux hommes comme représentant le véritable héritage de Jésus Christ. Certes tous confessent qu'ils sont les disciples du Seigneur, mais ils ont des opinions différentes et suivent des chemins différents, comme si le Christ lui-même était divisé." Et puis il ajoute : "Une telle division son seulement contredit ouvertement la volonté du Christ, mais est aussi un sujet de scandale pour le monde, et une source de préjudice pour la très sainte cause de la prédication de l’Évangile à toute créature" (Unitatis redintegratio, 1). Tous nous avons été abîmés par les divisions. Tous nous ne voulons pas devenir un scandale. Et pour cela marchons tous ensemble, fraternellement, sur le chemin de l'unité, construisant l'unité aussi en marchant, cette unité qui vient de l'Esprit Saint qui nous apporte une singularité particulière, que seul l'Esprit Saint peut faire, la diversité réconciliée. Il nous accompagne tous, il est avec nous tous sur ce chemin vers l'unité. [Le Seigneur nous attend tous, nous accompagne tous, il est avec nous tous dans cette voie de l'unité.]

    Chers amis, le Christ ne peut être divisé ! Cette certitude doit nous encourager et nous soutenir à poursuivre avec humilité et avec confiance le chemin vers le rétablissement de la pleine unité visible entre tous les croyants dans le Christ. J'aime à penser en ce moment à l’œuvre du Bienheureux Jean XXIII et du Bienheureux Jean-Paul II. Pour tous les deux, au cours de leur vie, a mûri la conscience de l'urgence de la cause de l'unité, et une fois élus évêques de Rome, ils ont guidé avec détermination l'ensemble du troupeau catholique dans les routes de la démarche œcuménique : le Pape Jean en ouvrant des voies nouvelles et auparavant presque impensables, le Pape Jean-Paul en proposant le dialogue œcuménique comme dimension ordinaire et incontournable de la vie de chaque Église particulière. Je leur associe aussi le Pape Paul VI, un autre grand protagoniste du dialogue, dont nous rappelions justement en ces jours le cinquantième anniversaire de l'accolade historique à Jérusalem avec le patriarche de Constantinople, Athénagoras.

    L’œuvre de ces Pontifes a fait en sorte que la dimension du dialogue œcuménique est devenu un aspect essentiel du ministère de l'évêque de Rome, de sorte qu'aujourd'hui, on ne comprendrait pas pleinement le service pétrinien sans y inclure cette ouverture au dialogue avec tous les croyants dans le Christ. Nous pouvons également dire que le chemin œcuménique a permis d'approfondir la compréhension du ministère du Successeur de Pierre et nous devons avoir confiance qu'il continuera d'agir en ce sens aussi à l'avenir. Alors que nous regardons avec gratitude les pas que le Seigneur nous a permis d'accomplir, et sans nous cacher les difficultés que le dialogue œcuménique traverse aujourd'hui, nous demandons de pouvoir être tous revêtus des sentiments du Christ, pour pouvoir marcher vers l'unité voulue par lui. [Et marcher ensemble c'est déjà faire l'unité !]

    Dans ce climat de prière pour le don de l'unité, je voudrais adresser mes salutations cordiales et fraternelles à Son Eminence le métropolite Gennadios, représentant du Patriarcat œcuménique, à Sa Grâce David Moxon, représentant personnel à Rome de l'archevêque de Canterbury, et à tous les représentants des différentes Églises et Communautés ecclésiales, réunis ici ce soir. Avec ces deux frères, représentant de tous, nous avons prié devant la Tombe de Paul et entre nous, nous avons prié : [Ce qui suit est improvisé à partir du texte rédigé] "Chers frères et sœurs, prions le Seigneur Jésus qui nous a rendus membres vivants de son Corps, afin qu'il nous maintienne profondément unis à lui." L'unité ne viendra pas comme un miracle à la fin. Elle vient en chemin, grâce à l'Esprit Saint. Si nous ne marchons pas ensemble, si nous ne prions pas ensemble les uns pour les autres, si nous ne travaillons pas ensemble, pour le peuple de Dieu, l'unité ne viendra pas. Elle se fait pas à pas sur ce chemin. Elle est le fait de l'Esprit Saint qui voit notre bonne volonté.

    Chers frères et sœurs, prions le Seigneur Jésus, qui nous a rendus membres vivants de son Corps, afin qu'il nous maintienne profondément unis à lui, qu'il nous aide à dépasser nos conflits, nos divisions, notre égoïsme, qu'il nous aide à être unis les uns aux autres dans une unique force, celle de l'amour, que l'Esprit Saint répand dans nos cœurs (cf. Rm 5,5). Amen. »

  • Dimanche 12 janvier 2014

    Baptême du Seigneur

    Au calendrier traditionnel : La Sainte Famille

    (En France : Solennité de l’Épiphanie de Notre Seigneur)

    La fête de la Sainte Famille : pour s'y retrouver un peu...
    voir au 29 décembre 2013

     Calendrier liturgique

  • Premières Vêpres et Te Deum à la Basilique Saint-Pierre

    Premières vêpres de la solennité de Sainte Marie Mère de Dieu
    Te Deum en remerciement de l'année écoulée
    Exposition du Saint Sacrement et bénédiction Eucharistique
    Basilique vaticane à 17h00

    A 17h en la basilique vaticane, le Saint-Père a présidé les premières Vêpres en la solennité de Sainte Marie Mère de Dieu, suivies de l'exposition du Saint Sacrement, du Te Deum, chant traditionnel d'action de grâce pour la conclusion de l'année civile et de la bénédiction eucharistique. "Alors que nous terminons l'année 2013 - a dit le Pape dans son homélie - recueillons, comme dans un panier, les semaines, les mois que nous avons vécu, pour tout offrir au Seigneur, et demandons-nous courageusement : comment avons-nous vécu le temps qu'Il nous a donné ? L'avons-nous surtout utilisé pour nous-mêmes, pour nos intérêts, ou avons-nous su aussi le dépenser pour les autres ? Combien de temps avons-nous réservé pour être avec Dieu dans la prière, le silence, l'adoration ?".

    "Pensons ensuite, nous citoyens romains, à cette ville de Rome", a poursuivi le Saint-Père. Que s'est-il passé cette année ? Que se passe-t-il et que se passera-t-il ? Comment est la qualité de vie dans cette ville ? Cela dépend de nous tous ! Comment est la qualité de notre citoyenneté ? Cette année, avons-nous contribué, à notre petite échelle, à la rendre vivable, ordonnée, accueillante ? Certes, qui est investi d'autorité a une plus grande responsabilité, mais chacun de nous est coresponsable, dans le bien et dans le mal".

    "Rome est une ville d'une beauté unique. Son patrimoine spirituel et culturel est extraordinaire. Pourtant, à Rome aussi, tant de personnes sont marquées par des misères matérielles et morales, des personnes pauvres, malheureuses, souffrantes, qui interpellent la conscience de tout citoyen. A Rome, nous sentons peut-être plus fortement cette différence entre l'ambiance majestueuse et chargée de beauté artistique et la gêne sociale de celui qui a plus de mal. Rome est une ville pleine de touristes, mais aussi pleine de réfugiés. Rome est pleine de gens qui travaillent, mais aussi pleine de personnes qui ne trouvent pas de travail ou accomplissent des travaux sous payés et parfois indignes. Tous ont le droit d'être traités avec la même attitude d'accueil et d'équité, parce que chacun est porteur de dignité humaine".

    "C'est le dernier jour de l'année. Que ferons-nous, comment agirons-nous l'année prochaine pour améliorer notre ville ? Rome, cette nouvelle année, aura un visage encore plus beau s'il est encore plus riche d'humanité, hospitalier, accueillant, si nous sommes tous attentifs et généreux envers ceux qui sont dans le besoin, si nous savons collaborer avec un esprit constructif et solidaire pour le bien de tous. Rome, cette nouvelle année, sera meilleure, si personne ne la regarde de loin, comme une carte postale, ne regarde sa vie du balcon, sans s'impliquer dans les nombreux problèmes humains, les problèmes d'hommes et de femmes qui, à la fin... et depuis le début, que nous le voulions ou non, sont nos frères. Dans cette perspective - a poursuivi le Pape - l’Église de Rome se sent engagée à apporter sa contribution à la vie et à l'avenir de la ville, c'est son devoir !, elle se sent engagée à l'animer avec le levain de l’Évangile, à être un signe et un instrument de la miséricorde de Dieu". Après la célébration eucharistique, le Pape s'est rendu brièvement à la crèche dressée au pied de l'obélisque de la place.

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 2.1.14)

  • Angélus de la Solennité de Tous les Saints

    Le Pape François a présidé ce vendredi midi la récitation de l’Angélus Place Saint-Pierre.

    « La fête de Tous les Saints que nous célébrons aujourd’hui, a déclaré le Pape, nous rappelle que le point d’arrivée de notre existence n’est pas la mort, c’est le Paradis ! C’est ce qu’écrit l’apôtre Jean : « Ce que nous serons n’a pas encore été révélé. Pourtant nous savons que quand il se sera manifesté, nous serons pareils à lui car nous le verrons tel qu’il est » (Jn 1, Jn 3, 2). Les Saints, les amis de Dieu nous assurent que cette promesse ne déçoit pas. Dans leur existence sur terre, en effet, ils ont tellement vécu en communion profonde avec Dieu qu’ils sont devenus comme lui. Sur le visage des frères plus petits et méprisés, ils ont vu le visage de Dieu et maintenant ils le contemplent face à face dans sa beauté glorieuse. »

    Les Saints ne sont pas des surhommes

    « Les Saints ne sont pas des surhommes et ne sont pas nés parfaits. Ils sont comme nous, comme chacun de nous. Ce sont des personnes qui avant d’atteindre la gloire du ciel ont vécu une vie normale avec ses joies et ses douleurs, ses fatigues et ses espérances. Mais lorsqu’ils ont connu l’amour de Dieu, ils l’ont suivi de tout leur cœur, sans condition ni hypocrisie ; ils ont passé leur vie au service des autres, ils ont supporté les souffrances et les adversités sans haine et en répondant au mal par le bien, en répandant la joie et la paix. Les Saints sont des hommes et des femmes qui ont la joie dans le cœur et qui la transmettent aux autres. »

    « Être Saints n’est pas un privilège pour certains mais une vocation pour tous. Tous sont appelés à marcher sur la voie de la sainteté et cette voie a un nom, un visage : Jésus Christ. Il nous montre la voie dans l’Évangile : celle des Béatitudes (cf. Mt 5, 1-12). Le Règne des cieux, en effet, est pour tous ceux qui ne placent pas leur confiance dans les choses mais dans l’amour de Dieu ; pour ceux qui ont un cœur simple, humble, qui ne prétendent pas être justes et qui ne jugent pas les autres, pour ceux qui savent souffrir avec ceux qui souffrent et se réjouir avec ceux qui se réjouissent, qui ne sont pas violents mais miséricordieux et qui cherchent à être artisans de la réconciliation et de la paix. »

    Leur témoignage doit nous encourager à aller à contre-courant

    « Que disent les Saints aujourd’hui ? Ils nous disent : ayez confiance dans le Seigneur car il ne déçoit pas ! Avec leur témoignage, ils nous encouragent à ne pas avoir peur d’aller à contre-courant ou d’être incompris et moqués, lorsqu’on parle de Lui dans l’Évangile ; ils nous montrent par leur vie que ceux qui restent fidèles à Dieu et à sa Parole expérimentent déjà sur cette terre le réconfort de son amour et le « centuple » dans l’éternité. C’est ce que nous espérons et ce que nous demandons au Seigneur pour nos frères et sœurs défunts. Avec sagesse, l’Église a mis en étroite corrélation la fête de Tous les Saints et la Commémoration de tous les fidèles défunts. À notre prière de louanges à Dieu et de vénération des esprits bienheureux nous unissons une prière de suffrage pour ceux qui nous ont précédé dans le passage de ce monde à la vie éternelle.

    Le Pape François prie pour les chrétiens persécutés et les migrants

    Cette après-midi, le Pape se rendra au cimetière monumental du Verano à l’est de Rome. Il y présidera la Messe à partir de 16 heures « uni spirituellement à tous ceux qui ces jours-ci visitent les cimetières où reposent ceux qui nous ont précédé dans le signe de la foi et attendent le jour de la résurrection ». Au terme de cette célébration est prévu un moment de prière pour les défunts avec la bénédiction des tombes.

    A l’issue de la prière de l’Angélus, le Pape François a assuré qu’il y prierait « en particulier pour les victimes des violences, spécialement les chrétiens qui ont perdu la vie à cause des persécutions ». Le Pape a enfin évoqué le drame qui s’est joué dans le Sahel cette semaine : « Je prierais de manière toute particulière pour nos frères et sœurs, ces hommes, femmes et enfants morts de soif, de faim et de fatigue sur le chemin menant à des conditions de vie meilleures : ces derniers jours, nous avons vu les images du désert cruel ». Le Pape a demandé aux fidèles de prier en silence pour ces migrants.

    Source : Radio Vatican.

  • Dimanche 6 octobre 2013

    Calendrier liturgique

    Mois du Rosaire

  • Lundi 30 septembre 2013

    St Jérôme, confesseur, père et docteur de l’Église

    Calendrier liturgique

  • Solennité des Saints Apôtres Pierre et Paul - Messe et imposition du Pallium aux nouveaux Métropolites

    Homélie du Pape François :
    "confirmer dans la foi, confirmer dans l’amour, confirmer dans l’unité"

    Texte intégral sur le site internet du Vatican.

  • Dimanche 9 juin 2013

    En certains lieux : Solennité de la Fête du Sacré-Coeur

    Calendrier liturgique

  • Vendredi 7 juin 2013

    Fête du Sacré-Coeur

    Calendrier liturgique

  • P. Michel-Marie Zanotti-Sorkine - Solennité du Très Saint Sacrement du Corps et du Sang du Christ

    (N'arrêtons pas nos regards sur le prêtre qui parle, mais portons-les vers Celui qu'il nous montre...)

  • Dimanche 2 juin 2013

    Solennité du Saint-Sacrement
    (en France, dans la Tradition : Fête-Dieu)

    Calendrier liturgique